L’Algérie partie prenante du processus de paix au Mali entre les rebelles Touareg et le pouvoir à Bamako.
Près de trois ans après les accords d’Alger, ce processus de paix franchit une nouvelle étape aujourd’hui avec le retour sous l’autorité de l’état d’environ 500 rebelles, retour qui avait été reporté à maintes reprises.
Les rebelles Touareg déposent les armes aujourd’hui à l’occasion d’une cérémonie symbolique organisée dans la ville de Kidal. Et des retours qui isolent un peu plus le chef des rebelles dissident Ibrahim Ag Bahanga.
Le général Kafougouna Koné, ministre malien de l’administration territoriale, a dit vouloir « au nom du Mali, remercier l’Algérie qui a tout mis en oeuvre depuis 2006 (date de la signature de l’accord de paix d’Alger) pour accompagner le Mali ».
L’ambassadeur d’Algérie au Mali Abdelkrim Ghrieb et médiateur en chef dans la crise a pour sa part souligné « Nous sommes heureux que, deux ans après, les choses se dénouent. Nous attendons des uns et des autres des actes ». « La position de l’Algérie est d’aider le Mali, pays frère, à retrouver une paix définitive. C’est le message du président (algérien Abdelaziz) Bouteflika que je voulais transmettre et nous poursuivrons l’application de l’accord d’Alger », a-t-il précisé.
Ajoutons que l’Algérie, le Mali, le Burkina-Faso, le Niger, la Libye ou encore le Tchad participeront jeudi à un sommet sur la sécurité et la paix dans la région Sahélo-Saharienne, ce processus de paix donc au Mali devrait être largement évoqué.
Maghrebinfo
Près de trois ans après les accords d’Alger, ce processus de paix franchit une nouvelle étape aujourd’hui avec le retour sous l’autorité de l’état d’environ 500 rebelles, retour qui avait été reporté à maintes reprises.
Les rebelles Touareg déposent les armes aujourd’hui à l’occasion d’une cérémonie symbolique organisée dans la ville de Kidal. Et des retours qui isolent un peu plus le chef des rebelles dissident Ibrahim Ag Bahanga.
Le général Kafougouna Koné, ministre malien de l’administration territoriale, a dit vouloir « au nom du Mali, remercier l’Algérie qui a tout mis en oeuvre depuis 2006 (date de la signature de l’accord de paix d’Alger) pour accompagner le Mali ».
L’ambassadeur d’Algérie au Mali Abdelkrim Ghrieb et médiateur en chef dans la crise a pour sa part souligné « Nous sommes heureux que, deux ans après, les choses se dénouent. Nous attendons des uns et des autres des actes ». « La position de l’Algérie est d’aider le Mali, pays frère, à retrouver une paix définitive. C’est le message du président (algérien Abdelaziz) Bouteflika que je voulais transmettre et nous poursuivrons l’application de l’accord d’Alger », a-t-il précisé.
Ajoutons que l’Algérie, le Mali, le Burkina-Faso, le Niger, la Libye ou encore le Tchad participeront jeudi à un sommet sur la sécurité et la paix dans la région Sahélo-Saharienne, ce processus de paix donc au Mali devrait être largement évoqué.
Maghrebinfo
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