Dans une lettre, l’ancien numéro deux du RCD accuse et défie Saïd Sadi, président du parti. Dans cette contribution, Djamel Ferdjallah affirme que le silence politique, en référence à la décision de geler les activités du parti, est destiné aussi à museler les voix autonomes qui émergent au sein de l’encadrement du parti, au détriment des hommes du président. Et d’ajouter «traiter autrui d’anti-kabylisme, quand on n’a pas réussi soi-même à sortir du ghetto régional après 20 ans d’exercice politique, ne trompe personne. Le projet démocratique a besoin de maximum de cadres. Il est regrettable de constater que le RCD n’a même pas été capable de retenir ceux qui lui étaient spontanément acquis».
L'Expression
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