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Partenariat UE-Afrique: l'Algérie et la France appellent à passer à l'action
Par AFP , le 19/02/2009
La France et l'Algérie ont lancé jeudi à Nairobi un appel à un « passage à l'action » afin de renforcer l'alliance Europe-Afrique en matière de lutte contre le changement climatique avec des « projets concrets », sans attendre le sommet de Copenhague sur le climat. « Nous en appelons à l'action avant Copenhague », où un sommet décisif sur le changement climatique est prévu en décembre, a lancé la secrétaire d'Etat français à l'Ecologie Chantal Jouanno, lors d'un débat sur le partenariat UE-Afrique pour la négociation d'un futur accord contre le changement climatique, au siège du Programme des Nations unies sur l'environnement (Pnue). « Nous n'avancerons que sur des projets concrets », a-t-elle estimé, évoquant les possibilités de développement de l'Afrique dans le secteur des énergies renouvelables - géothermie, solaire ou hydroélectricité.
Le ministre de l'Environnement Chérif Rahmani a de son côté suggéré d'organiser des « réunions informelles » Europe-Afrique pour « faciliter le chemin vers Copenhague ». Il a évoqué « un plan d'action Europe-Afrique fondé sur des projets concrets » pour assurer la transition de l'Afrique vers « une économie verte ». « Je souscris pleinement à cette proposition d'avoir un groupe de ministres qui se réunissent régulièrement de manière informelle » pour travailler sur un plan d'action d'ici Copenhague, a répondu Mme Jouanno.
TSA
La France et l'Algérie ont lancé jeudi à Nairobi un appel à un « passage à l'action » afin de renforcer l'alliance Europe-Afrique en matière de lutte contre le changement climatique avec des « projets concrets », sans attendre le sommet de Copenhague sur le climat. « Nous en appelons à l'action avant Copenhague », où un sommet décisif sur le changement climatique est prévu en décembre, a lancé la secrétaire d'Etat français à l'Ecologie Chantal Jouanno, lors d'un débat sur le partenariat UE-Afrique pour la négociation d'un futur accord contre le changement climatique, au siège du Programme des Nations unies sur l'environnement (Pnue). « Nous n'avancerons que sur des projets concrets », a-t-elle estimé, évoquant les possibilités de développement de l'Afrique dans le secteur des énergies renouvelables - géothermie, solaire ou hydroélectricité.
Le ministre de l'Environnement Chérif Rahmani a de son côté suggéré d'organiser des « réunions informelles » Europe-Afrique pour « faciliter le chemin vers Copenhague ». Il a évoqué « un plan d'action Europe-Afrique fondé sur des projets concrets » pour assurer la transition de l'Afrique vers « une économie verte ». « Je souscris pleinement à cette proposition d'avoir un groupe de ministres qui se réunissent régulièrement de manière informelle » pour travailler sur un plan d'action d'ici Copenhague, a répondu Mme Jouanno.
TSA