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Ça c'est une façon maroco-bushienne de voir les choses :
avec d'un côté l'axe du bien et de l'autre l'axe du mal....
Mais Non
Tu N'as Qu'à Lire Les deux Sections : Algérie Actualité et International et Tu Te Renderas Compte par Toi meme
En Principe " L'Algérien Suit De Tres Pres Ce Qui Se Passe En Algérie Et Critique tout Le Temps , et En Meme Temps , Il a TOUJOURS été Satisfait de Tout ce qui est Relations Internationales "
NB : Pour ne Pas Se Tromper , Je Parle De La Grande Majorité Des Algériens De FA et je dis pas TOUS
Deux d'entre eux contrôlent les services secrets. Deux autres verrouillent la présidence. Le cinquième commande les armées et le sixième, en retraite, est leur porte-parole. Ils sont les hommes-clés du régime
Général Larbi Belkheir
Directeur de cabinet du président Abdelaziz Bouteflika
Né en 1938 à Frenda (Ouest algérien), ce sous-lieutenant de l'armée française rejoint l'ALN en 1961. Il fait carrière dans l'ombre du colonel Chadli Bendjedid, qui deviendra président de la République en 1979. Il devient le conseiller et le confident du nouveau chef de l'Etat, puis son directeur de cabinet. Il est considéré comme l'éminence du régime.
Général Khaled Nezzar
Retraité, ancien ministre de la Défense
Né en 1937 à Seriana dans les Aurès, fils d'un sous-officier de l'armée française, il rejoint l'école des enfants de troupe de l'armée française à Koléa. Il devient sous-officier de Saint-Maixent. Il déserte et rejoint l'armée des frontières en 1958. En 1964, il entre à l'Académie militaire Frounze de Moscou, puis en 1975 à l'école de Guerre à Paris. En 1986, il devient chef des Forces terrestres. En 1988, il assure le commandement à Alger de l'état de siège pour réprimer les émeutes. Après cet épisode sa carrière connaît une ascension fulgurante. En juillet 1990, il devient ministre de la Défense, un poste réservé depuis 1965 au président de la République. Après le putsch du 11 janvier 1992, il est l'un des membres du Haut Comité d'Etat, l'autorité collégiale qui remplace le président Chadli évincé.
Général Mohamed Mediene, dit Tewfik
Directeur de la Direction du Renseignement et de la Sécurité (DRS, ex-Sécurité miltaire)
Né en 1939 à Bordj-Bou-Arreridj en Kabylie. Produit de l'armée algérienne, il suit juste après l'indépendance une formation dans les écoles du KGB. Il devient le chef de la Sécurité militaire de la deuxième région (Oranie), qui est commandée par le colonel Chadli Bendjedid, futur chef de l'Etat. En 1986, ce protégé du général Larbi Belkheir devient chef du Département Défense et Sécurité à la présidence. En 1990, Tewfik devient le chef de la DRS. En 1993, il est promu général-major.
Général Smaïn Lamari, dit El Hadj
Numéro deux de la DRS, chef de la Direction du Contre-espionnage (DCE)
Fils d'un chauffeur de taxi, né dans la banlieue est d'Alger, il rejoint très jeune les maquis de la wilaya IV (région d'Alger) de l'ALN. A l'exception d'un bref passage dans la police, cet homme du secret fait toute sa carrière dans la Sécurité militaire. Il est l'interlocuteur privilégié de la DST française (contre-espionnage), notamment pour la lutte contre les réseaux islamistes. Il est l'artisan de la reddition en juin 1999 de l'Armée islamique du Salut, la branche armée du FIS.
Général Mohamed Touati
Conseiller pour la Sécurité à la présidence
Né en Kabylie à Azzefoun. Ancien élève de l'école d'artillerie de Châlons-sur-Marne, ce lieutenant de l'armée française rejoint l'ALN 1958. Surnommé El Mokh, « le Cerveau », il est considéré comme le stratège de l'armée algérienne. On le dit proche du Rassemblement pour la Culture et la Démocratie, le RCD, parti laïque de Saïd Sadi.
Général Mohamed Lamari
Chef d'état-major des armées.
Né le 7 juin 1939 à Alger, issu de l'armée française, formé dans la cavalerie à Saumur, il rejoint l'ALN en 1961, entre à l'Académie militaire à Moscou, puis à l'école de Guerre à Paris. En 1993, il devient le chef de file des « éradicateurs » et de lutte « antiterroriste » contre les groupes islamiques armés.
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