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Le groupe pétrochimique canadien Nova Chemicals a annoncé lundi qu'il avait accepté une offre d'achat amicale du fonds souverain d'Abou Dhabi IPIC pour 2,3 milliards de dollars américains.
Cette offre en argent comptant à 6 dollars par action (7,52 dollars canadiens) prévoit aussi la reprise de la dette de Nova par IPIC (International Petroleum Investment Company), a indiqué le canadien dans un communiqué.
A la Bourse de Toronto, l'action de Nova, qui fabrique surtout du plastique, bondissait de plus de 300% après cette offre, à 6,73 canadiens (5,38 USD). L'action de Nova a chuté récemment au plus bas depuis un an, à 1,28 dollar, alors qu'elle valait encore plus de 30 dollars en septembre dernier.
La répartition géographique des activités de Nova et d'IPIC est complémentaire, le canadien étant surtout présent en Amérique du Nord, tandis que le fonds détenu par l'émirat d'Abou Dhabi est implanté en Europe, au Moyen-Orient et en Asie.
L'offre, qui est recommandée par le conseil d'administration de Nova, devra être approuvée par plus des deux tiers des actionnaires du canadien.
"Cette acquisition va renforcer la capacité financière de Nova et faciliter sa croissance à l'international", a déclaré le directeur général d'IPIC, Khadem Al Qubaisi. "Nous pouvons assurer la stabilité de Nova et lui permettre de répondre à ses besoins opérationnels et financiers en même temps qu'il continuera de croître et d'investir dans ses affaires".
En vertu de l'accord, Nova demeurera un producteur "indépendant", ajoute le communiqué, qui précise qu'IPIC encourage "l'autonomie" de ses filiales, tout en siégeant à leur conseil d'administration.
Nova s'est engagé à payer à IPIC une pénalité de 15 millions de dollars si l'offre échoue.
AFP / 23 février 2009
Cette offre en argent comptant à 6 dollars par action (7,52 dollars canadiens) prévoit aussi la reprise de la dette de Nova par IPIC (International Petroleum Investment Company), a indiqué le canadien dans un communiqué.
A la Bourse de Toronto, l'action de Nova, qui fabrique surtout du plastique, bondissait de plus de 300% après cette offre, à 6,73 canadiens (5,38 USD). L'action de Nova a chuté récemment au plus bas depuis un an, à 1,28 dollar, alors qu'elle valait encore plus de 30 dollars en septembre dernier.
La répartition géographique des activités de Nova et d'IPIC est complémentaire, le canadien étant surtout présent en Amérique du Nord, tandis que le fonds détenu par l'émirat d'Abou Dhabi est implanté en Europe, au Moyen-Orient et en Asie.
L'offre, qui est recommandée par le conseil d'administration de Nova, devra être approuvée par plus des deux tiers des actionnaires du canadien.
"Cette acquisition va renforcer la capacité financière de Nova et faciliter sa croissance à l'international", a déclaré le directeur général d'IPIC, Khadem Al Qubaisi. "Nous pouvons assurer la stabilité de Nova et lui permettre de répondre à ses besoins opérationnels et financiers en même temps qu'il continuera de croître et d'investir dans ses affaires".
En vertu de l'accord, Nova demeurera un producteur "indépendant", ajoute le communiqué, qui précise qu'IPIC encourage "l'autonomie" de ses filiales, tout en siégeant à leur conseil d'administration.
Nova s'est engagé à payer à IPIC une pénalité de 15 millions de dollars si l'offre échoue.
AFP / 23 février 2009
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