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Le président Bouteflika, candidat indépendant à l’élection présidentielle d’avril a déposé hier en milieu d’après-midi son dossier de candidature auprès du Conseil constitutionnel.
Le dossier est appuyé par «4 038 008 signatures de citoyens et 11 736 signatures d’élus locaux, collectées à travers les 48 wilayas, a déclaré à la presse Abdelmalek Sellal, le directeur de campagne de Bouteflika, précisant que la palme par wilaya revient à la capitale qui en a récolté le plus grand nombre.
Ce nombre représente près du quart de l’ensemble du corps électoral estimé à 18 millions d’électeurs par le ministre de l’Intérieur.
M. Sellal était arrivé avant le président candidat au siège du Conseil constitutionnel. Il était «accompagné» de pas moins de 7 grands fourgons transportant le lot impressionnant de formulaires.
Il a fallu quelque deux heures à la dizaine de jeunes hommes pour décharger les sept véhicules ornés de posters de Bouteflika sur lesquels on pouvait lire «Boutef, c’est mon choix». Les formulaires de parrainage étaient empaquetés dans des cartons portant chacun le nom d’une wilaya et même de la communauté algérienne vivant à l’étranger, avons-nous constaté.
Hasard surprenant, c’est à 14h27 exactement, la même heure à laquelle il était apparu le 12 février à la Coupole pour l’annonce de sa candidature, que Bouteflika est arrivé au bas du perron de l’entrée principale du Conseil constitutionnel. Il a été accueilli par un adjoint du président du Conseil constitutionnel, comme le veut le protocole.
Seul avec son chauffeur dans un véhicule particulier, le Président sortant n’était accompagné que par sa garde rapprochée et l’un de ses frères, Mustapha. Son directeur de campagne l’attendait sur place. Un petit geste de la main pour saluer les journalistes présents, et Bouteflika gravit les marches d’un pas sûr et alerte, confirmant une fois encore sa forme physique.
Seuls les photographes étaient autorisés à le suivre. Aux sollicitations des journalistes pour une déclaration, à sa sortie 35 minutes plus tard, le Président s’est contenté d’un sourire, l’index droit levé.
En se calant au siège avant de son véhicule, Abdelaziz Bouteflika instruit sa garde qui s’empresse de chercher Abdelmalek Sellal. Celui-ci a été invité par Bouteflika à monter dans son propre véhicule.
- Pressedz
Le dossier est appuyé par «4 038 008 signatures de citoyens et 11 736 signatures d’élus locaux, collectées à travers les 48 wilayas, a déclaré à la presse Abdelmalek Sellal, le directeur de campagne de Bouteflika, précisant que la palme par wilaya revient à la capitale qui en a récolté le plus grand nombre.
Ce nombre représente près du quart de l’ensemble du corps électoral estimé à 18 millions d’électeurs par le ministre de l’Intérieur.
M. Sellal était arrivé avant le président candidat au siège du Conseil constitutionnel. Il était «accompagné» de pas moins de 7 grands fourgons transportant le lot impressionnant de formulaires.
Il a fallu quelque deux heures à la dizaine de jeunes hommes pour décharger les sept véhicules ornés de posters de Bouteflika sur lesquels on pouvait lire «Boutef, c’est mon choix». Les formulaires de parrainage étaient empaquetés dans des cartons portant chacun le nom d’une wilaya et même de la communauté algérienne vivant à l’étranger, avons-nous constaté.
Hasard surprenant, c’est à 14h27 exactement, la même heure à laquelle il était apparu le 12 février à la Coupole pour l’annonce de sa candidature, que Bouteflika est arrivé au bas du perron de l’entrée principale du Conseil constitutionnel. Il a été accueilli par un adjoint du président du Conseil constitutionnel, comme le veut le protocole.
Seul avec son chauffeur dans un véhicule particulier, le Président sortant n’était accompagné que par sa garde rapprochée et l’un de ses frères, Mustapha. Son directeur de campagne l’attendait sur place. Un petit geste de la main pour saluer les journalistes présents, et Bouteflika gravit les marches d’un pas sûr et alerte, confirmant une fois encore sa forme physique.
Seuls les photographes étaient autorisés à le suivre. Aux sollicitations des journalistes pour une déclaration, à sa sortie 35 minutes plus tard, le Président s’est contenté d’un sourire, l’index droit levé.
En se calant au siège avant de son véhicule, Abdelaziz Bouteflika instruit sa garde qui s’empresse de chercher Abdelmalek Sellal. Celui-ci a été invité par Bouteflika à monter dans son propre véhicule.
- Pressedz
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