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9 prétendants à la course présidentielle

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  • 9 prétendants à la course présidentielle

    Ils ont défilé au conseil constitutionnel
    9 prétendants à la course présidentielle
    Par :Souhila Hammadi

    Djahid Younsi, Ali Zeghdoud, Rachid Bouaziz, Mohamed Saïd, Moussa Touati, Faouzi Rebaïne, Mohamed Hadef, Louisa Hanoune et le président sortant Abdelaziz Bouteflika ont déposé leur dossier de candidature à la présidentielle au Conseil constitutionnel, avant l’expiration du délai fixé à hier minuit.
    Dix prétendants à la candidature à la prochaine élection présidentielle ont pris rendez-vous, auprès du greffe du Conseil constitutionnel pour déposer officiellement leur dossier. En définitive, seulement neuf postulants potentiels au scrutin du 9 avril prochain ont honoré leurs engagements. Peu avant l’heure de son rendez-vous, pris pour hier à 11h15, l’écrivain Amar Douaifi Essaifi, a joint le Conseil constitutionnel, par téléphone, pour dire qu’il ne pourrait pas venir, sans donner davantage d’explications sur les motifs de sa défection.
    Une heure auparavant, l’arrivée à l’institution de Louisa Hanoune, porte-parole du Parti des travailleurs, est annoncée par des klaxons et des youyous. Une ambiance qui évoque immédiatement les cortèges de mariées. Et c’est telle une future épousée que la secrétaire générale du PT est sortie de la Passat noire aux vitres teintées, sous les crépitements des appareils des photographes de la presse nationale et des youyous de ses accompagnatrices.
    Elle s’est engouffrée à l’intérieur de la bâtisse qui abrite le Conseil constitutionnel, escortée de ses deux lieutenants Djelloul Djoudi et Taâzibt ainsi que de quelques cadres et députés du parti. Elle en est ressortie 20 minutes plus tard, encore une fois sous les effusions de joie de ses militantes. Aux journalistes qui lui ont posé automatiquement la question, elle a affirmé que son dossier de candidature est conforté par 140 850 signatures de citoyens et 969 paraphes d’élus. Elle a rapporté que l’étape de la collecte des signatures s’est transformée “en véritable campagne politique”. “Nous avons constaté une réalité dans certaines wilayas de l’extrême-sud de l’Algérie que nous ne connaissions pas. Beaucoup de citoyens ont des problèmes de pièces d’identité”, a-t-elle raconté. Elle s’est dite confiante quant à ses chances de passer, sans encombre, l’écueil du Conseil constitutionnel. “Nous avons vérifié la conformité des formulaires, pendant 3 jours. Nous avons écarté d’emblée 4 000 souscriptions auxquelles manquaient des informations. Nous avons procédé à ce premier contrôle pour faciliter le travail du Conseil constitutionnel”, a-t-elle soutenu. Elle ne nourrit pas non plus de craintes particulières sur les auspices de la prochaine élection. “Nous avons espoir que ce scrutin se déroule dans de bonnes conditions et que la campagne électorale sera basée sur un combat d’idées, loin des manipulations”, a déclaré la porte-parole du Parti des travailleurs, dans une illusion à l’épisode relative à l’élection présidentielle de 2004 qui a connu l’opposition de la candidature de Ali Benflis à celle du président de la République qui briguait à l’époque un deuxième mandat. Louisa Hanoune a attribué des bons points au Premier ministre Ahmed Ouyahia, qui a donné instruction pour autoriser les représentants des candidats à la magistrature suprême de suivre directement les travaux des commissions électorales de wilaya. La candidate du PT a souhaité que cette présence soit étendue aux commissions communales qui représentent, à son avis, “un maillon important dans le contrôle des bureaux et centres de vote et de dépouillement”. Parce qu’elle s’est qualifiée de “responsable politique sérieuse”, Mme Hanoune n’a pas voulu se prononcer sur le taux d’abstention qui serait fatalement important, selon les pronostics des observateurs de la scène politique nationale. “La tendance serait peut-être à l’abstention ou inversée, car la situation est différente de celle de 2007”, a-t-elle assuré.
    Avec 15 minutes d’avance sur l’horaire de son audience avec le président du Conseil constitutionnel, Boualem Bessaïeh, prévue à 12h, Rachid Bouaziz, syndicaliste, est arrivé à bord d’une Clio grise immatriculée en 2008.
    Il s’est présenté, aussitôt, comme “le candidat des jeunes et des étudiants”, en mettant en avant son âge, 42 ans. “Je ne suis pas connu de l’opinion publique nationale. Je suis jeune. Mais au regard de la loi, les chances de tous les candidats sont égales”, a-t-il déclaré. Il a précisé, néanmoins, que les candidats indépendants “rencontrent des problèmes comparativement aux autres, notamment quand il s’agit d’un candidat qui se présente pour la première fois”.
    Il a affirmé que son staff est parvenu, néanmoins, à obtenir 76 500 souscriptions de soutien des électeurs à sa candidature à la présidentielle. Il n’a pas voulu dévoiler les axes de son programme électoral tant que son dossier n’est pas validé par le Conseil constitutionnel. Il s’est juste limité à révéler que ledit programme a été élaboré avec l’assistance d’un cabinet d’expertise allemand.
    Dès 12h30, un branle-bas de combat commence au siège du Conseil constitutionnel, en prévision du déplacement du président de la République sortant, Abdelaziz Bouteflika, attendu à 14h. La fouille des journalistes et la vérification de leur identité deviennent plus minutieuses. Les responsables de la sécurité et du protocole s’agitent.
    Un cordon rouge limite la zone de circulation des représentants de la presse nationale qui n’ont plus le droit d’approcher le candidat. Des travailleurs de l’institution se sont attelés dès 13h à les sortir, de six fourgonnettes, les cartons contenant les formulaires de souscriptions acquis à M. Bouteflika.
    Abdelmalek Sellal, directeur de campagne du chef de l’État candidat à sa propre succession, a indiqué que 4 038 008 signatures de citoyens et 11 761 souscriptions d’élus nationaux et locaux ont été collectées en faveur du 3e mandat. ça sera la seule information du jour sur la candidature d’Abdelaziz Bouteflika. Le président candidat a fait, à peine, un geste de la main en direction des journalistes à son arrivée et s’est refusé à toute déclaration à son départ, une demi-heure plus tard. Unique image insolite : le président de la République s’est installé au siège avant de la Mercedes noire année 2006, alors que son directeur de campagne s’est mis à l’arrière.
    Trois autres candidats à la candidature étaient attendus pour hier en fin d’après-midi. Mohamed Hadef avait rendez-vous à 17h. Faouzi Rebaïne, porte flambeau de Ahd 54 et candidat à la présidentielle de 2004, devait venir à 18h, suivi une heure après par Mohamed Saïd, ex-bras droit de Taleb Ibrahim, fondateur du parti Wafa jamais agréé par le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales. La veille, le président du Rassemblement algérien (RA), Ali Zeghdoud et le secrétaire général du Mouvement El-Islah, avaient déposé leur dossier de candidature. Aussi bien l’un que l’autre n’ont présenté que des signatures d’élus. La loi électorale exige — entre autres critères — 600 souscriptions d’élus ou 75 000 signatures de citoyens, collectées dans au moins 25 wilayas, pour valider un dossier de candidature à la présidentielle. Djahid Younsi a reconnu qu’il n’avait pas eu le temps pour recueillir le nombre nécessaire de paraphes des citoyens. Il a indiqué qu’un parti de la mouvance islamiste a incité ses élus à lui accorder leur signature.
    Le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati, a été le premier à prendre le chemin, jeudi dernier, du Conseil constitutionnel pour y déposer son dossier de candidature.
    À partir d’aujourd’hui, l’institution présidée par Boualem Bessaïeh dispose d’un délai de 10 jours pour donner un avis sur
    la validité des dossiers de candidatures à la magistrature suprême. Lors du dernier scrutin présidentiel, elle a donné son quitus à 6 candidats.

    Souhila Hammadi

  • #2
    J'ai lu ce matin qu'ils étaient 11!!!!

    dans le BBC afrique

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    • #3
      Présidentielle 2009: Une dizaine de candidats en lice

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      • #4
        Le siège du Conseil constitutionnel a été hier la destination de plusieurs candidats à la course présidentielle qui se sont déplacés pour déposer leurs dossiers de candidature conformément à la loi.

        Le candidat indépendant Abdelaziz Bouteflika s’est présenté pour déposer, en début d’après-midi d’hier, son dossier de candidature à l’élection présidentielle, prévue le 9 avril prochain.

        «4 038 000 signatures de citoyens, soit trois fois plus qu’en 2004, et 11 736 signatures d’élus locaux ont été collectées par les partis membres de l’Alliance présidentielle, les principales organisations nationales et de nombreuses associations» a précisé un communiqué de presse transmis hier à notre rédaction par la direction de campagne de M. Bouteflika.

        Le même communiqué précise également que plusieurs élus d’autres formations politiques et d’indépendants ont également apporté leur soutien à la candidature de M. Bouteflika. «Ces trois derniers jours, le nombre de signatures collectées a enregistré une forte hausse, traduisant un engouement populaire observé dans l’ensemble du pays» a encore précisé le communiqué.

        Avant le président sortant, la secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune, est arrivée en fin de matinée d’hier pour déposer sa candidature. Louisa Hanoune a affirmé que son dossier répondait à toutes les conditions requises par la loi. «Nous avons récolté 140 850 formulaires de signatures de citoyens et 996 d’élus locaux dans 47 wilayas que nous avons déposés au Conseil constitutionnel» a-t-elle précisé après avoir déposé son dossier. «Ces signatures, précise Mme Hanoune, ont été obtenues sans l’utilisation de moyens douteux comme la corruption, le chantage et la pression». Les commissions de son parti, ayant veillé depuis plusieurs jours à la vérification de l’authentification de ces signatures ont rejeté, souligne la porte-parole du (PT), pas moins de 4 000 signatures non valides. Interrogée sur le taux de participation à cette élection et le spectre de l’abstention qui continue d’alimenter la conjoncture de la préparation, Mme Louisa Hanoune reste confiante quant à une participation appréciable et surtout à la production de surprises lors de ce scrutin. Louisa Hanoune a salué les mesures prises par le Premier ministre Ahmed Ouyahia à l’issue de la réunion de la commission nationale de préparation de l’élection présidentielle concernant la présence des représentants des candidats aux travaux de la commission électorale de wilaya. Elle demande l’élargissement de cette mesure de façon à permettre à ses représentants d’assister aux travaux des commissions locales, notamment lors de dépouillement des bulletins pour assurer une plus grande transparence à cette élection. A propos du programme électoral du PT, Louisa Hanoune parle notamment de l’introduction de la langue tamazight, une constituante souveraine, et du droit à l’élection à 16 ans. Louisa Hanoune va également proposer la protection de certaines importantes entreprises étatiques comme Sonatrach, Sonalgaz, Saïdal, et Algérie Télécom, en proposant l’interdiction de leur privatisation. La prise en charge de la jeunesse est également incluse dans son programme avec la mise en place d’une politique d’emploi forte et fiable. La porte-parole du PT a également promis l’annulation du système politique bicéphale à travers l’ouverture de tous les dossiers politiques importants.

        Le deuxième à être arrivé au siège de l’immeuble dirigé par Mohamed Bessaïeh a été le candidat indépendant Rachid Bouaziz qui s’est présenté au Conseil constitutionnel après une courte conférence de presse tenue au CIP. Le candidat indépendant ayant réuni les signatures, principalement de la jeunesse, a présenté son programme traitant de trois aspects essentiels à savoir le politique, l’économique et le social. Les principales idées tournent autour de la préservation de l’identité nationale, l’amélioration des conditions de vie des citoyens et la valorisation du système éducatif. M. Bouaziz estime que «le destin de l’Algérie et des Algériens est lié aux urnes. Chaque Algérien a le devoir de donner sa voix à celui qu’il juge apte à diriger le pays», a-t-il affirmé.

        Rachid Bouaziz a, en outre, affirmé qu’il a réussi à atteindre le nombre de signatures requis pour participer à cette élection en rassemblant plus de 75 000 dans 25 wilayas du pays.

        Les deux autres candidats qui s’apprêtaient à se présenter pour déposer leurs dossiers sont Ali Zeghdoud et Mohamed Hadef du Mouvement national d’espérance (MNE), tous deux ayant assuré avoir rempli les conditions nécessaires. «Je vais me présenter en fin de journée pour déposer mon dossier. Il me reste juste les dernières retouches pour compléter la collecte des signatures», a affirmé Mohamed Hadef du MNE. La surprise a été créée par Ahd 54 qui a franchi avec succès la récolte de plus de 75 000 signatures, ce qui lui a permis de déposer son dossier hier avant l’expiration du délai de dépôt de candidature. Le rendez-vous a été pris hier en fin d’après-midi pour Fawzi Rebaine afin d’accomplir la dernière tâche. Les autres candidats indépendants n’ont pas réussi l’opération de récolte des signatures et n’ont pu déposer leur dossier. «Je continue de travailler pour la légalisation des signatures obtenues. Si j’arrive à finir cela, je pourrais présenter ma candidature avant la fin du délai», a affirmé M. Bonatero. Son camarade candidat indépendant, M. Temine a par contre annoncé le gel de sa candidature et son adhésion au boycott en annonçant la création d’un nouveau parti «Voix du peuple».


        Le Jour d'Algérie

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        • #5
          sur la photo louisa hanoune ressemble a matoub lounes

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          • #6
            IL A PRÉSENTÉ HIER SON PROGRAMME ÉLECTORAL
            Ali Fawzi Rebaine entame sa précampagne


            Pour sa deuxième participation, le parti AHD54 compte s’investir pleinement dans la course à El Mouradia.

            Le président du parti AHD54, Ali Fawzi Rebaine, a présenté, hier, les grandes lignes de son programme électoral pour l’élection présidentielle du 9 avril.

            Intervenant lors d’un point de presse tenu au niveau du Centre international de presse (CIP) à Alger, le premier responsable du parti a indiqué que sa formation a réussi le pari de dépasser l’écueil des signatures en collectant 128.000 paraphes de citoyens à travers plusieurs wilayas du pays. Parmi les points principaux du programme de M.Rebaine, figure celui ayant trait à l’amendement de la Constitution en vue de la suppression du tiers présidentiel du Conseil de la Nation, désigné par le président de la République.

            Il a, par ailleurs, souligné que l’instauration d’un véritable Etat de droit constitue l’une des priorités de son parti si jamais il est élu à la tête de l’Etat.

            Pour le système politique, le conférencier a plaidé la décentralisation et l’éloignement de l’administration de la politique.

            D’autres points ont été évoqués par l’intervenant devant une assistance constituée de quelques journalistes et invités du parti.

            Les questions afférentes à la société civile, aux syndicats, aux associations socioprofessionnelles, à la liberté d’expression, à la publicité, à l’audiovisuel seront au coeur de la campagne électorale de AHD54, si toutefois le dossier de ce dernier est validé par le Conseil constitutionnel. «Ces secteurs jouent un rôle très important dans la société», a-t-il argué. Le candidat au prochain scrutin compte également revoir le fonctionnement de la sécurité sociale et de tout ce qui lui est lié par l’introduction de changements dans le domaine de la santé dans ses deux volets: public et privé. Le conférencier a également parlé de la réhabilitation des assemblées élues et la participation des citoyens à la gestion des affaires de leur cité. Le secteur de l’agriculture n’est pas en reste du programme de Ali Fawzi Rebaine. Ce secteur sera, selon lui, promu et les investisseurs, notamment dans les cultures maraîchères et autres, seront encouragés.

            «Il faut absolument arriver à l’autosatisfaction et sortir l’Algérie de la dépendance des pays étrangers», a-t-il expliqué.

            Il s’est également dit décidé à combattre la corruption, le chômage et la crise du logement.

            L'Expression

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            • #7
              LOUISA HANOUNE
              «Je suis la seule alternative»

              La secrétaire générale du PT remet en cause l’authenticité et l’efficacité des programmes des autres candidats.

              Surprenante Louisa Hanoune, la première responsable du Parti des travailleurs (PT), a déclaré, hier, au Centre international de presse (CIP) qu’elle est la seule candidate à avoir proposé un vrai programme électoral.
              «Nous sommes les seuls à présenter une véritable alternative politique pour le pays», a-t-elle en effet, lâché devant l’étonnement des journalistes présents dans la salle.

              Avec cette déclaration, Mme Hanoune remet en cause l’authenticité et l’efficacité des programmes des autres candidats et fait allusion à la fragilité de leur «produit» même si elle ne les a pas cités nommément. Cette conclusion est tirée, selon ses dires, par le fait que le PT est le seul parti à avoir proposé l’instauration du socialisme et à dépasser le capitalisme «galopant et destructif», selon les visions trotskistes (courant qui s’oppose à toutes formes de mondialisation), de l’économie de la nation.

              En outre, a-t-elle encore avancé que sa formation est le seul parti qui a proposé et qui souhaite encore l’organisation d’une élection anticipée pour élire une véritable assemblée constituante. «On est le seul parti à avoir un programme différent des autres», a-t-elle encore soutenu avant de mettre en avant cette particularité que le PT a présenté une femme à l’élection présidentielle. «On veut une réforme politique de fond et nous nous battrons pour enregistrer des victoires et atteindre nos objectifs», a-t-elle encore affirmé.

              Dans ce même contexte, la conférencière a indiqué que la campagne politique de son parti au terme de laquelle ses militants ont collecté 140.850 signatures de citoyens à travers les 48 wilayas du pays et 496 paraphes d’élus à travers 47 wilayas (le PT n’ayant pas de représentants à Illizi), est une sorte de sondage d’opinion qui prouve la réussite de son parti. «On est fier de ces résultats et nous sommes sortis plus forts que jamais», a-t-elle assuré ajoutant que son parti approche de ses objectifs. Selon ses déclarations, le PT a consolidé sa stabilité après cette campagne qui a vu «déferler» plusieurs citoyens qui ont adhéré au parti. «Notre priorité c’est d’encadrer ces citoyens», a-t-elle précisé. Pour le boycott que d’aucuns disent voir se profiler à l’horizon, Mme Hanoune a indiqué que rien n’explique cette option, car il s’agit d’un grand rendez-vous qui constitue un tournant décisif pour le pays. Cependant, selon la première femme présidentiable de l’Algérie, le prochain scrutin sera plus transparent que les précédents.

              Ce faisant, elle a appelé à la révision de la loi électorale, notamment en ce qui concerne la limitation à 19 jours de la campagne électorale.
              Selon elle, cette durée est insuffisante pour parcourir un pays de plus de 2,3 millions de km², faute de moyens de communication et de liaison entre les wilayas, surtout dans le sud du pays.
              Elle a plaidé ainsi pour une campagne d’une durée de 30 jours.

              L'Expression

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              • #8
                MOHAMED SAÏD
                «J’ai été censuré au JT»


                Le candidat à la candidature à l’élection présidentielle, Mohamed Saïd, dit Belaïd Mohand Ousaïd, a récolté 119.000 signatures sur l’ensemble des wilayas d’Algérie. A cet effet, le candidat a tenu à remercier toutes les personnes qui l’ont soutenu dans une déclaration à la télévision.
                Cependant, il a tenu à dénoncer la censure dont il a fait l’objet par l’Entreprise nationale de télévision. Dans un communiqué parvenu à la rédaction, Mohamed Saïd soutient que des passages de son discours tenu à sa sortie du Conseil constitutionnel, ont été censurés lors de la diffusion au journal télévisé de vingt heures. Selon Mohamed Saïd, une grande partie de son discours n’a pas été diffusée. A cet effet, le candidat a envoyé une lettre de protestation au directeur général de la Télévision nationale mentionnant son mécontentement à ce sujet, en précisant que les autres candidats ont été épargnés. Et Mohamed Saïd de préciser que les passages censurés avaient trait au nombre de signatures collectées, d’une part, et à la célébration de la fête du 24 février 1971, date de la nationalisation des hydrocarbures par Houari Boumediene, d’autre part. Selon le même document, l’Entv aurait censuré le passage où Mohamed Saïd a déclaré que dans cette conjoncture «nous avons tant besoin de ce genre de directives qui permettent de soutenir notre indépendance économique», et dans la même circonstance, il a salué les travailleurs à l’occasion de la célébration de la fête de l’Union générale des travailleurs algériens, en incitant les gens au nationalisme dans un message d’appui pour la stabilité de notre indépendance politique et économique.

                Enfin, le troisième passage censuré était lié à son appel au peuple d’opter pour le pluralisme politique comme mode démocratique. Tout en se disant désappointé face à cette situation, Mohamed Saïd a tenu à dénoncer toute forme de censure.

                L'Expression

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                • #9
                  le PT est le seul parti à avoir proposé l’instauration du socialisme et à dépasser le capitalisme «galopant et destructif», selon les visions trotskistes (courant qui s’oppose à toutes formes de mondialisation), de l’économie de la nation.
                  yakhh laisse tomber.


                  ali fawzi me semble + interessant

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                  • #10
                    Moha

                    Le seul pour lequel ils ont trouvé une raison valable de le censurer me semble le plus intéressant, ou pardon, le SEUL intéressant.
                    Déjà une chose d'assuré avec lui, et qui est bien, c'est que si il est élu, il règlera les comptes de l'entreprise nationale de la brosse.



                    Mais bon les amis, on connait maintenant les quelques pauvres clowns qui feront que l'ex futur président ne gagne pas avant même l'élection mais le jour de l'election.

                    Dans notre république algérienne DEMOCRATIQUE et POPULAIRE, les jeux sont faits d'avance, et le peuple n'a pas le droit à la parole, il se trouve réduit à boycotter pour montrer qu'il existe à travers l'abstention!! Malheureux!!! Si les chouhadas voyaient ce qu'on a fait de leur pays, je pense qu'ils le laisseraient aux français.

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                    • #11
                      Moha

                      Pas de candidat capable de réveiller le peuple face au corrompu.


                      DONC la seule solution est le BOYCOTT.

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