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Ayyad Hadrami, président de l'Association Kétama pour le développement, l'environnement et la culture a été arrêté au début de cette semaine.
Selon des sources proches de M. Hadrami, cette arrestation ferait suite aux déclarations d'une des personnes poursuivies dans l'affaire du démantèlement du réseau de trafic de drogue de Nador et impliquent le président de cette ONG. L'interpellation de Ayyad Hadrami serait également liée à l'arrestation de Chakib El Khiyari, président de l'Association Rif des droits de l'homme (ARDU).
Celle-ci a déjà travaillé avec l'association Kétama pour le développement, mais dans le cadre d'une seule activité, assure le vice-président de l'ARDH. Ayyad Hadrami a été arrêté devant son domicile à Hay Ryad à Rabat. Son avocat a décidé de déposer une plainte pour enlèvement, arguant que la famille M. Hadrami n'a pas été informée de son arrestation. L'Association Kétama pour le développement, l'environnement et la culture est une petite association qui n'a pas trop fait parler d'elle, explique une source associative qui connaît bien son président. « Toutes les activités de l'association sont centralisées par M. Hadrami, le seul contact que nous avons avec cette organisation se fait à travers son président», poursuit notre source.
Toujours est-il que cette arrestation inquiète les milieux associatifs.
Après la mise sous mandat de dépôt du président de l'ARDH Chakib El Khiyari pour «atteinte aux corps constitués» (suite à des déclarations remettant en questionlapolitique anti-drogue marocaine), et celle de Ayyad Hadrami, les autres militants se sentent menacés. «J'ai reçu un appel de la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) ce mercredi matin. Je dois me rendre à Casablanca pour m'expliquer sur les déclarations que j'ai faites à la presse suite à l'arrestation du président de l'ARDH. C'est exactement de la même manière que Chakib El Khiyari s'est retrouvé en prison», confie Mohamed Hammouchi, avant de nous remettre les coordonnées de la personne qui prendra sa relève au cas où ...
Selon des sources proches de M. Hadrami, cette arrestation ferait suite aux déclarations d'une des personnes poursuivies dans l'affaire du démantèlement du réseau de trafic de drogue de Nador et impliquent le président de cette ONG. L'interpellation de Ayyad Hadrami serait également liée à l'arrestation de Chakib El Khiyari, président de l'Association Rif des droits de l'homme (ARDU).
Celle-ci a déjà travaillé avec l'association Kétama pour le développement, mais dans le cadre d'une seule activité, assure le vice-président de l'ARDH. Ayyad Hadrami a été arrêté devant son domicile à Hay Ryad à Rabat. Son avocat a décidé de déposer une plainte pour enlèvement, arguant que la famille M. Hadrami n'a pas été informée de son arrestation. L'Association Kétama pour le développement, l'environnement et la culture est une petite association qui n'a pas trop fait parler d'elle, explique une source associative qui connaît bien son président. « Toutes les activités de l'association sont centralisées par M. Hadrami, le seul contact que nous avons avec cette organisation se fait à travers son président», poursuit notre source.
Toujours est-il que cette arrestation inquiète les milieux associatifs.
Après la mise sous mandat de dépôt du président de l'ARDH Chakib El Khiyari pour «atteinte aux corps constitués» (suite à des déclarations remettant en questionlapolitique anti-drogue marocaine), et celle de Ayyad Hadrami, les autres militants se sentent menacés. «J'ai reçu un appel de la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) ce mercredi matin. Je dois me rendre à Casablanca pour m'expliquer sur les déclarations que j'ai faites à la presse suite à l'arrestation du président de l'ARDH. C'est exactement de la même manière que Chakib El Khiyari s'est retrouvé en prison», confie Mohamed Hammouchi, avant de nous remettre les coordonnées de la personne qui prendra sa relève au cas où ...
et il ose toujours pretendre qu ' il est marocain.
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