Je me rappelle, Fella
Ce jour-là, il faisait chaud à Alger
Tu marchais sous le soleil
Innocente,insouciante
Et je t'ai croisée à la gare de l'Agha
Tu souriais
Ravie, épanouie
Tu ne me connaissais pas
Je me rappelle, Fella
Un jeune homme a crié ton nom
Tu as couru vers lui, sous le soleil
Ce soleil arrogant et vaniteux
Sur ton visage heureux
Sur cette ville heureuse
Sur la gare de l'Agha
Ravie, épanouie, confiante
Tu t'es jetée dans ses bras
Je me rappelle, Fella
Ton regard fumant le désir ardent
Ton sourire divin qui invite au festin
Ton corps fertile jamais labouré
Tant de Grace, tant de noblesse
Beauté, perle cristaline
Il n'y avait de vrai, ni de beau, ni d'etrenel
Que vous deux, ce jour là, dans Alger et sous le soleil
Oh! Fella
Tu ne me connaissais pas
Je rasais tes jours à l'ombre de mes nuits
le coeur battant, la gorge sèche et le verbe tremblant
Emerveillé devant l'ange que les miroires embrassent
Mais voila deja des saisons
Je ne te croise plus à la gare de l'Agha
Qu'es-tu devenue?
Ornée de tes boucles d'oreilles
et de tes vingt ans
Apres la canicule
Voila la pluie et les nuages gris
Soucis sans fin
Oh! Fella
Il pleut sans cesse sur Alger
Il pleut à grosses gouttes
Sur cette ville, hier, heureuse
Sur la gare de l'Agha qui n'est plus pareille
Et chaque nuit, sur le seuil de l'espoir
Une petite fille au visage sage et heureux
M'accueille les bras souriants
------------------------------------------
Fella INSPIRÉ par Barbara de Jacques Prévert
Porole et Musique d' AigleNoir
Ce jour-là, il faisait chaud à Alger
Tu marchais sous le soleil
Innocente,insouciante
Et je t'ai croisée à la gare de l'Agha
Tu souriais
Ravie, épanouie
Tu ne me connaissais pas
Je me rappelle, Fella
Un jeune homme a crié ton nom
Tu as couru vers lui, sous le soleil
Ce soleil arrogant et vaniteux
Sur ton visage heureux
Sur cette ville heureuse
Sur la gare de l'Agha
Ravie, épanouie, confiante
Tu t'es jetée dans ses bras
Je me rappelle, Fella
Ton regard fumant le désir ardent
Ton sourire divin qui invite au festin
Ton corps fertile jamais labouré
Tant de Grace, tant de noblesse
Beauté, perle cristaline
Il n'y avait de vrai, ni de beau, ni d'etrenel
Que vous deux, ce jour là, dans Alger et sous le soleil
Oh! Fella
Tu ne me connaissais pas
Je rasais tes jours à l'ombre de mes nuits
le coeur battant, la gorge sèche et le verbe tremblant
Emerveillé devant l'ange que les miroires embrassent
Mais voila deja des saisons
Je ne te croise plus à la gare de l'Agha
Qu'es-tu devenue?
Ornée de tes boucles d'oreilles
et de tes vingt ans
Apres la canicule
Voila la pluie et les nuages gris
Soucis sans fin
Oh! Fella
Il pleut sans cesse sur Alger
Il pleut à grosses gouttes
Sur cette ville, hier, heureuse
Sur la gare de l'Agha qui n'est plus pareille
Et chaque nuit, sur le seuil de l'espoir
Une petite fille au visage sage et heureux
M'accueille les bras souriants
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Fella INSPIRÉ par Barbara de Jacques Prévert
Porole et Musique d' AigleNoir
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