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La corruption a pris des proportions extraordinaires en Egypte. Le Bakchich ou pot –de- vin est devenu plus que tolérable par tout, et à tous les niveaux. C’est un mode de vie des égyptiens. Vous ne pouvez pas y échapper.
C’est ce qu’a rapporté le quotidien égyptien El Akhbar qui estime que l’Egypte a battu un record inégalable en matière de corruption. citant un rapport officiel. Des chiffres effrayants sur le comportement des gens dans une société en dégradation.
Amnesty International a placé l’Egypte aux 115 rang (sur 180 pays) à partir de l’indice de perception de la corruption, en recule de 10 places par rapport à 2007.
En effet, le rapport en question fait état 69000 cas de pots- de- vin en 2008 que des citoyens ont payé pour des agents de l’état notamment des policiers ou aux automobilistes malhonnêtes. Des pots-de-vin sont également versés à grande échelle aux haut fonctionnaires et dirigeants des institutions publics pour des interventions ou service rendu. C'est prèsque, légal vous diront les citoyens qui doivent payer le fameux bakchich, pour un quelconque service public, dans les administrations et institutions de l'état.
Des institutions indépendantes et organisations de lutte contre la corruption estiment que ces chiffres ne reflètent pas la réalité qui est bien pire. Le bakchich, un terme propre à l’Egypte, est devenu un symbole dans une société appauvrie et en totale dégradation.
Elles parlent d’un cas de pot-de-vin toutes les sept minutes en Egypte. Un chiffre record difficile à battre même dans les pays les plus pauvres et les moins stables.
- Ech-Chourouk
C’est ce qu’a rapporté le quotidien égyptien El Akhbar qui estime que l’Egypte a battu un record inégalable en matière de corruption. citant un rapport officiel. Des chiffres effrayants sur le comportement des gens dans une société en dégradation.
Amnesty International a placé l’Egypte aux 115 rang (sur 180 pays) à partir de l’indice de perception de la corruption, en recule de 10 places par rapport à 2007.
En effet, le rapport en question fait état 69000 cas de pots- de- vin en 2008 que des citoyens ont payé pour des agents de l’état notamment des policiers ou aux automobilistes malhonnêtes. Des pots-de-vin sont également versés à grande échelle aux haut fonctionnaires et dirigeants des institutions publics pour des interventions ou service rendu. C'est prèsque, légal vous diront les citoyens qui doivent payer le fameux bakchich, pour un quelconque service public, dans les administrations et institutions de l'état.
Des institutions indépendantes et organisations de lutte contre la corruption estiment que ces chiffres ne reflètent pas la réalité qui est bien pire. Le bakchich, un terme propre à l’Egypte, est devenu un symbole dans une société appauvrie et en totale dégradation.
Elles parlent d’un cas de pot-de-vin toutes les sept minutes en Egypte. Un chiffre record difficile à battre même dans les pays les plus pauvres et les moins stables.
- Ech-Chourouk
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