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Algérie : Bouteflika efface toutes les dettes des agriculteurs

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  • Algérie : Bouteflika efface toutes les dettes des agriculteurs

    L'Etat a décidé d'effacer toutes les dettes contractées par les agriculteurs et les éleveurs soit 41 milliards de dinars (410 millions d'euros), a annoncé samedi le président Abdelaziz Bouteflika. « L'Etat a décidé d'effacer totalement les dettes des agriculteurs et des éleveurs et c'est le Trésor public qui rachètera ces dettes », a affirmé M. Bouteflika à Biskra.

    Le chef de l'Etat a souligné que cette mesure devait "encourager le monde agricole à fournir l'effort intense attendu de lui pour moderniser l'activité et augmenter ses diverses productions". Les banques devront suspendre toute opération de recouvrement de ces dettes, a-t-il ajouté devant une conférence nationale consacrée au "renouveau de l'économie agricole et au renouveau rural" à laquelle participent des représentants de tous les acteurs de cette filière.

    L'agriculture algérienne a enregistré une croissance moyenne annuelle de 6% depuis 2000, année du lancement d'un plan national de développement agricole et rural (PNDAR), qui a permis un gain de plus de 500.000 ha pour la superficie agricole utile du pays, selon des chiffres officiels cités par l'APS.

    Le secteur, où un million d'emplois directs et indirects ont été créés selon la même source, a également bénéficié d'une loi sur l'orientation agricole visant à asseoir les bases garantissant la sécurité alimentaire du pays.

    source tsa

  • #2
    Les dettes des agriculteurs et des éleveurs épongées

    Le président de la République, à partir de Biskra où se déroule la rencontre nationale sur le renouveau de l’économie rurale et le renouveau rural, a annoncé: «dans le but d'encourager le monde agricole à fournir l'effort intense attendu de lui pour moderniser l'activité et augmenter ses diverses productions, j'annonce que l'Etat a décidé d'effacer la totalité de la dette des agriculteurs et des éleveurs qui s'élève actuellement à 41 milliards de dinars».

    Le chef de l’Etat a même précisé que «cette dette sera rachetée par le Trésor public et, de ce fait, les banques doivent cesser, dès ce jour, toute démarche pour le recouvrement de leurs créances auprès des agriculteurs et des éleveurs». En contrepartie à ce qu’il a qualifié de «sacrifice important», le pays attend «un saut qualitatif dans le développement de l'agriculture qui nécessitera la mobilisation d'un concours financier de l'Etat de près de 200 milliards de dinars, soit près de 3 milliards de dollars par année». Le président de la République a estimé que «cet effort que le pays entend engager est de nature à générer des résultats majeurs pour l'ensemble de l'économie nationale et pour la vie de tous les citoyens».
    Tout en sollicitant le concours de tous et une plus grande rigueur dans l'utilisation de ces importantes ressources financières, le chef de l'Eta a invité le gouvernement à «mettre à niveau les capacités et les méthodes de travail de l'administration chargée de l'agriculture afin d'accompagner ce renouveau agricole». Cette importante mesure survient dans le sillage de l’octroi de crédits Rfig sans intérêts et un train de mesures allant dans le sens de l’incitation des agriculteurs à produire plus et mieux notamment par le biais des contrats de performance lancés récemment. Cette décision, qui sera accueillie favorablement dans les milieux des agriculteurs, est une satisfaction d’une de leurs plus importantes doléances exprimées aussi bien par la Chambre nationale de l’agriculture que par l’Union nationale des paysans algériens (UNPA). Ainsi, le secrétaire général de l’Union paysanne a indiqué, lors d’une rencontre-débat tenue à la mi-février à Tlemcen, consacrée à la situation du secteur agricole, que «la mise en place par le ministère de l’Agriculture des contrats de performance constitue un premier pas vers la relance du secteur agricole et l'instauration d'une concurrence équitable entre les wilayas et qu’ils doivent toucher tous les partenaires du secteur». Toutefois, M. Aloui a précisé que cela doit offrir aux professionnels agricoles le cadre idéal pour développer le secteur.

    Ce qui reste à faire

    Le SG de l’UNPA a, par ailleurs, mis l’accent sur la nécessité d’organiser les circuits commerciaux des produits agricoles en créant des marchés pour barrer la route aux spéculateurs. A propos des nouvelles lois du secteur, notamment celles liées au foncier agricole, M. Alioui a indiqué que «l’UNPA a déjà proposé plusieurs solutions pour sortir le secteur de sa léthargie et sa désorganisation, notamment dans le domaine de la relance de la mutualité agricole, des coopératives agricoles et la création des marchés agricoles qui détermineront exactement la nature des relations entre les différents acteurs du secteur». Cette décision survient dans une conjoncture favorable si l’on tient compte des dernières évaluations établies par le premier responsable du secteur, Rachid Benaïssa, qui a précisé que le taux de croissance observé dans l’activité agricole, enregistré depuis 2000, est estimé à 6% avec en plus de l’extension de la surface agricole utile (SAU) de 500.000 has. Dans le domaine de la production et à titre illustratif, celle de la céréaliculture a connu une courbe ascendante, à part l’année 2007 qui a été très réduite en raison principalement de conditions climatiques défavorables. Même pour certains produits de grande consommation comme la pomme de terre, un excédent de 500.000 tonnes a été enregistré. C’est dire, qu’au plan de la productivité, une amélioration sensible a été obtenue, notamment suite à la mis en valeur de plusieurs terres exploitées aujourd’hui, a rappelé le ministre. Une autre mesure d’allégement au profit des éleveurs a été prise par l’ONAB qui avait décidé de réduire ses prix des intrants pour la production d’aliments de 10% et ce, suite à la baisse des prix du soja et du maïs sur le marché mondial.

    Le Financier

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    • #3
      dzone
      merci pour le complement d,information

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      • #4
        Je t'en prie ameur , j'aime bien les bonnes nouvelles ; je préfère , que l'argent du Trésor public aille à nos agriculteurs pour qu'ils redoublent d'efforts pour relever le défi de l'autosuffisance alimentaire , que de voir cet argent payer les subventions des produits agricoles importés.

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        • #5
          "j'aime bien les bonnes nouvelles"
          comme tous le monde ; sauf que je trouve les produits de notre agriculture de plus en plus chers malgré les milliard donné depuis 10ans .
          quand a l'autosuffisance c'est pas pour demain et puis qui mangeras les harricot us les lentilles du canada le bœuf brésilien .....
          "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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          • #6
            l'état algérien efface les dettes des fellah

            L'État algérien a décidé d'effacer toutes les dettes contractées par les agriculteurs et les éleveurs soit 41 milliards de dinars (410 millions d'euros), a annoncé samedi le président Abdelaziz Bouteflika.

            «L'État a décidé d'effacer totalement les dettes des agriculteurs et des éleveurs et c'est le Trésor public qui rachètera ces dettes», a affirmé M. Bouteflika à Biskra (425 km au Sud-Est d'Alger), cité par l'agence APS. Le chef de l'État a souligné que cette mesure devait «encourager le monde agricole à fournir l'effort intense attendu de lui pour moderniser l'activité et augmenter ses diverses productions».

            Les banques devront suspendre toute opération de recouvrement de ces dettes, a-t-il ajouté devant une conférence nationale consacrée au «renouveau de l'économie agricole et au renouveau rural» à laquelle participent des représentants de tous les acteurs de cette filière.

            M. Bouteflika a également inauguré à Biskra plusieurs réalisations dans différents secteurs (santé, éducation, sport).

            L'agriculture algérienne a enregistré une croissance moyenne annuelle de 6% depuis 2000, année du lancement d'un plan national de développement agricole et rural (PNDAR), qui a permis un gain de plus de 500 000 ha pour la superficie agricole utile du pays, selon des chiffres officiels cités par l'APS.

            Le secteur, où un million d'emplois directs et indirects ont été créés selon la même source, a également bénéficié d'une loi sur l'orientation agricole visant à asseoir les bases garantissant la sécurité alimentaire du pays.

            Le Conseil constitutionnel doit se prononcer avant le 6 mars sur la validité du dossier de onze candidats, dont M. Bouteflika, à l'élection présidentielle du 9 avril.

            Source : Agence France-Presse Alger (28/02/09)

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            • #7
              Très bonne initiative. Même si je me pose toujours des questions sur le calendrier de parution de cette décision
              Allez c'est de bonne guerre, tous les politiciens du monde font la même.
              La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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              • #8
                j'etais contre boutef ,mais pour ça alors vive boutefika,il nous a debarasse d'un lourd fardeau,que meme vos propres freres n'oseraient pas faire
                Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

                Gödel

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                • #9
                  Je suis contre, absolument contre!!!
                  Pourquoi...? Et bien ces fellahs qui ont bénéficiés de sommes colossales, et qui viennent d'êtres éffacées par le président de la republique devaient plutôt rendre des comptes.
                  pas plus que l'année dernière l'état a importé de la pomme de terre du canada, qui de surcroit était destinée a leurs cochons, donc impropre a la consommation.
                  une simple virée ds n'importe quel marché et vous constaterez
                  -que l'Ail est toujours importé de Chine
                  -que les prix pratiquées sont largement au dessus des moyens des ménagères
                  -que le caca de poule (oeuf) coûte 12 DA l'unité
                  -que l'orange produite localement coûte plus cher que la banane importée de costa rica etc etc , la liste est vraiment trop longue...
                  Donc au lieu de bénéficier de telles largesses au frais du contribuable, ces fellah devraient plutôt passer par les tribunaux pour dilapidations de deniers publics, faux et usage de faux ( sentant la juteuse affaire tt le monde s'est arrangé pour acquerir la fameuse attestation de fellah, avec la complicité de ceux qui sont chargés de la délivrer tt comme les fausses attestations de faux anciens moudjahidines)
                  je précise que la plupart ont plutôt changé de femmes et de bagnoles, et je parle e connaissance de cause.
                  et pendant que j'y suis c 41 milliards de dinars éffacés pour les petits fellahs, qu'en est-il des gros requins qui ont bénéficié chacun de 41 milliards de centimes voire 1000 milliards pour certaines très très grosses pointures.

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                  • #10
                    Algérie: l'État efface toutes les dettes des agriculteurs

                    -- AFP --

                    L'État algérien a décidé d'effacer toutes les dettes contractées par les agriculteurs et les éleveurs soit 41 milliards de dinars (410 millions d'euros), a annoncé samedi le président Abdelaziz Bouteflika.

                    «L'État a décidé d'effacer totalement les dettes des agriculteurs et des éleveurs et c'est le Trésor public qui rachètera ces dettes», a affirmé M. Bouteflika à Biskra (425 km au Sud-Est d'Alger), cité par l'agence APS. Le chef de l'État a souligné que cette mesure devait «encourager le monde agricole à fournir l'effort intense attendu de lui pour moderniser l'activité et augmenter ses diverses productions».

                    Les banques devront suspendre toute opération de recouvrement de ces dettes, a-t-il ajouté devant une conférence nationale consacrée au «renouveau de l'économie agricole et au renouveau rural» à laquelle participent des représentants de tous les acteurs de cette filière.

                    M. Bouteflika a également inauguré à Biskra plusieurs réalisations dans différents secteurs (santé, éducation, sport).


                    L'agriculture algérienne a enregistré une croissance moyenne annuelle de 6% depuis 2000, année du lancement d'un plan national de développement agricole et rural (PNDAR), qui a permis un gain de plus de 500 000 ha pour la superficie agricole utile du pays, selon des chiffres officiels cités par l'APS.

                    Le secteur, où un million d'emplois directs et indirects ont été créés selon la même source, a également bénéficié d'une loi sur l'orientation agricole visant à asseoir les bases garantissant la sécurité alimentaire du pays.

                    Le Conseil constitutionnel doit se prononcer avant le 6 mars sur la validité du dossier de onze candidats, dont M. Bouteflika, à l'élection présidentielle du 9 avril.
                    "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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                    • #11
                      bouteflika annonce l'effacement total des dettes des agriculteurs et des éleveurs

                      le président algérien Abdelaziz Bouteflika a annoncé samedi la décision de procéder à l'effacement total des dettes des agriculteurs et des éleveurs qui s'élèvent à 41 milliards de dinars, selon l'agence officielle APS."L'Etat a décidé d'effacer totalement les dettes des agriculteurs et des éleveurs et c'est le Trésor public qui rachètera ces dettes", a précisé M. Bouteflika à Biskra (425km au sud-est d'Alger) lors d'une allocution à l'occasion de l'ouverture de la conférence nationale du renouveau de l'économie agricole et du renouveau rural.
                      Le président Bouteflika a ajouté que les banques devront suspendre toute opération de recouvrement de ces dettes, selon l'agence APS.
                      Cette mesure intervient après l'annonce faite par le chef d'Etat algérien mardi dernier à Oran (ouest) d'une prochaine augmentation des salaires des agents de la fonction publique.
                      Ces décisions d'Abdelaziz Bouteflika interviennent à la veille du début de la campagne électorale, prévue dans moins de trois semaines, pour la présidentielle du 9 avril à laquelle le chef de l'Etat est candidat.
                      La candidature de M. Bouteflika a été rendue possible par la révision de la Constitution qui a supprimé la limitation des mandats adoptée par le Parlement en novembre dernier.
                      Onze postulants ont déposé leurs dossiers de candidature. Le Conseil constitutionnel doit se prononcer sur leur validité le 5 mars prochain. Cependant, selon les observateurs, M. Bouteflika est le grand favori d'une élection marquée jusque-là par une certaine indifférence de la population. Le taux de participation aux législatives de mai 2007 a atteint 35%. AP


                      nouvelobs.com

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                      • #12
                        ce n'est pas normal...
                        « Puis-je rendre ma vie
                        Semblable à une flûte de roseau
                        Simple et droite
                        Et toute remplie de musique »

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                        • #13
                          je l'ai deja posté il y a quelques heures

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                          • #14
                            l'Etat est riche à ce point là?
                            C'est sa grande mesure pour réduire notre dépendance alimentaire?

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                            • #15
                              Boutef vient de s'assurer les voix d'une bonne partie des agriculteurs ...

                              Qqsoit la dette de l'agriculteur, elle est effacée ?

                              Dans ce cas, ceux qui avaient beaucoup de dettes sont nettement avantagés, c'est du grand n'importequoi, comme dit le proverbe, excès de biens ne nuit pas, ça n'est pas parceque les caisses sont pleines qu'il faut jeter l'argent par les fenêtres.
                              Everyone thinks of changing the world, but no one thinks of changing himself

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