Bonsoir
Un jeune homme a lâché un cierge dans un cercueil ouvert, déclenchant un incendie dans la chapelle mortuaire.
Mercredi soir, un jeune Singinois de 19 ans s’est rendu dans la chapelle mortuaire de Guin, alors que le corps d’un défunt y était exposé pour les derniers hommages. Voulant lui adresser une prière, il a allumé un cierge qu’il a fait tomber par maladresse dans le cercueil ouvert. Le corps qu’il contenait et les décorations disposées dans la chapelle ont alors pris feu. «C’est un triste accident, en aucun cas un acte criminel», commente Benoît Dumas, porte-parole de la police fribourgeoise (Suisse).
Grâce à l’aide d’un passant, les pompiers de Guin ont rapidement pu maîtriser l’incendie, alors que le jeune homme était parti chercher de l’aide. «Il n’a pas cherché à fuir, précise toutefois Benoît Dumas. Il s’est ensuite rapidement annoncé auprès des autorités.» Le jeune homme n’avait pas de relations particulières avec la famille du défunt. L’accès à la chapelle était cependant libre et le garçon était le seul sur les lieux au moment de l’incident.
D’après le juge d’instruction Jean-Luc Mooser, le jeune homme risque vraisemblablement une peine pécunaire ou des jours-amendes sans sursis. «Il s’agissait d’un cas d’incendie par négligence», précise-t-il. Pour l’heure, la famille n’a pas voulu porter plainte.
Au-delà du caractère macabre de l’incident, les dégâts sont minimes. «Il s’agit surtout de dégâts psychologiques pour la famille du défunt», conclut Benoît Dumas.
20 minutes
Un jeune homme a lâché un cierge dans un cercueil ouvert, déclenchant un incendie dans la chapelle mortuaire.
Mercredi soir, un jeune Singinois de 19 ans s’est rendu dans la chapelle mortuaire de Guin, alors que le corps d’un défunt y était exposé pour les derniers hommages. Voulant lui adresser une prière, il a allumé un cierge qu’il a fait tomber par maladresse dans le cercueil ouvert. Le corps qu’il contenait et les décorations disposées dans la chapelle ont alors pris feu. «C’est un triste accident, en aucun cas un acte criminel», commente Benoît Dumas, porte-parole de la police fribourgeoise (Suisse).
Grâce à l’aide d’un passant, les pompiers de Guin ont rapidement pu maîtriser l’incendie, alors que le jeune homme était parti chercher de l’aide. «Il n’a pas cherché à fuir, précise toutefois Benoît Dumas. Il s’est ensuite rapidement annoncé auprès des autorités.» Le jeune homme n’avait pas de relations particulières avec la famille du défunt. L’accès à la chapelle était cependant libre et le garçon était le seul sur les lieux au moment de l’incident.
D’après le juge d’instruction Jean-Luc Mooser, le jeune homme risque vraisemblablement une peine pécunaire ou des jours-amendes sans sursis. «Il s’agissait d’un cas d’incendie par négligence», précise-t-il. Pour l’heure, la famille n’a pas voulu porter plainte.
Au-delà du caractère macabre de l’incident, les dégâts sont minimes. «Il s’agit surtout de dégâts psychologiques pour la famille du défunt», conclut Benoît Dumas.
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