Rapport du secrétariat d’Etat Américain sur les Droits de l’Homme en Algérie
Washington critique l’harcèlement exercé sur la presse algérienne
Le rapport du secrétariat d’Etat Américain sur l’Algérie a accentué ses critiques sur ce qu’il a qualifié de provocations et de pressions exercées sur la liberté d’expression et de la presse en Algérie. Il a indiqué que l’incrimination des journalistes accusés de « diffamation », ainsi que la pression exercée dans la publicité et l’impression sont toujours des facteurs qui minimisent la liberté d’expression et de la presse en Algérie.
Le Bureau de la Démocratie et des Droits de l’Homme et du Travail, appartenant au Secrétariat d’Etat Américain, a indiqué que le Gouvernement Algérien exerce une pression indirecte sur la liberté d’expression, sur les éditeurs et les journalistes, en les condamnant pour « diffamation ».
Ce rapport a considéré que le Gouvernement algérien exerce des pressions sur les libertés académiques et scientifiques en réduisant les invitations des experts étrangers. Ce rapport a notamment noté qu’une pression est exercée sur la liberté des rassemblements et de manifestation, notamment, sur les rassemblements organisés par les partis de l’opposition.
Le Secrétariat d’Etat Américain a noté que la situation des Droits de l’Homme en Algérie a connu une amélioration dans plusieurs domaines. Toutefois, cette amélioration est loin de répondre aux normes américaines.
Le Secrétariat d’Etat Américain a noté qu’il n’a pas reçu de rapports sur la torture ou sur des dépassements exercées par les forces de sécurité algériennes, lors du renforcement des mesures de sécurité en 2008, après la recrudescence des actes terroristes dans plusieurs régions. Dans ce rapport, on a indiqué l’arrestation et la mise hors d’état de nuire de 1000 terroristes appartenant aux groupes Islamiques armés. Le rapport en question a, notamment, noté que 162 suspects ont été abattus en 2008 contre 670 suspects en 2007.
Washington critique l’harcèlement exercé sur la presse algérienne
Le rapport du secrétariat d’Etat Américain sur l’Algérie a accentué ses critiques sur ce qu’il a qualifié de provocations et de pressions exercées sur la liberté d’expression et de la presse en Algérie. Il a indiqué que l’incrimination des journalistes accusés de « diffamation », ainsi que la pression exercée dans la publicité et l’impression sont toujours des facteurs qui minimisent la liberté d’expression et de la presse en Algérie.
Le Bureau de la Démocratie et des Droits de l’Homme et du Travail, appartenant au Secrétariat d’Etat Américain, a indiqué que le Gouvernement Algérien exerce une pression indirecte sur la liberté d’expression, sur les éditeurs et les journalistes, en les condamnant pour « diffamation ».
Ce rapport a considéré que le Gouvernement algérien exerce des pressions sur les libertés académiques et scientifiques en réduisant les invitations des experts étrangers. Ce rapport a notamment noté qu’une pression est exercée sur la liberté des rassemblements et de manifestation, notamment, sur les rassemblements organisés par les partis de l’opposition.
Le Secrétariat d’Etat Américain a noté que la situation des Droits de l’Homme en Algérie a connu une amélioration dans plusieurs domaines. Toutefois, cette amélioration est loin de répondre aux normes américaines.
Le Secrétariat d’Etat Américain a noté qu’il n’a pas reçu de rapports sur la torture ou sur des dépassements exercées par les forces de sécurité algériennes, lors du renforcement des mesures de sécurité en 2008, après la recrudescence des actes terroristes dans plusieurs régions. Dans ce rapport, on a indiqué l’arrestation et la mise hors d’état de nuire de 1000 terroristes appartenant aux groupes Islamiques armés. Le rapport en question a, notamment, noté que 162 suspects ont été abattus en 2008 contre 670 suspects en 2007.
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