Les années 2008 et 2009 constituent un nouvel indice de fermeture du domaine de l’investissement en Algérie et de sa restriction à travers les nouvelles règles, qui ont soulevé des questions et provoqué l’indignation de nombreux opérateurs étrangers.
Apres la modification de la loi sur les hydrocarbures et l’imposition d’une nouvelle taxe sur les revenus exceptionnels avec la transcendance des prix du pétrole, les décisions promulguées en juillet 2008 qui ont freiné l’ensemble des opérations de transfert de revenus des sociétés et empêché les entreprises étrangères de rentrer en tant que partenaire avec un taux dépassant les 50 %, pour que viennent ensuite les instructions du premier ministre, Ahmed Ouyahia, en février 2009, portant la cessation des entreprises étrangères opérant dans l’importation un taux de 30 % du capital et faire participer un partenaire Algérien.
Les nouvelles mesures restrictives qui ont été prises en 2008 ont coïncidé avec les critiques virulentes du Président Bouteflika à l’égard des investisseurs étrangers en Algérie en date du 26 juillet 2008, ce qui est considéré comme étant un indice sur l’apparition d’une nouvelle orientation, et considéré comme un retour à ce qui est appelé de « Nationalisme économique ». D’autres parts, les opérateurs étrangers ont critiqué cette action parce qu’elle sous entend le repli sur l’ouverture économique, et la libération de l’économie et le commerce extérieur qui ont été agréés en 1990.
Selon les observateurs, la question qui se pose actuellement réside dans l’incapacité de l’état à continuer à se focaliser sur les dépenses publiques, notamment avec le recul important des revenus prévus d’atteindre cette année les environs de 32 à 35 milliards de dollars.
Apres la modification de la loi sur les hydrocarbures et l’imposition d’une nouvelle taxe sur les revenus exceptionnels avec la transcendance des prix du pétrole, les décisions promulguées en juillet 2008 qui ont freiné l’ensemble des opérations de transfert de revenus des sociétés et empêché les entreprises étrangères de rentrer en tant que partenaire avec un taux dépassant les 50 %, pour que viennent ensuite les instructions du premier ministre, Ahmed Ouyahia, en février 2009, portant la cessation des entreprises étrangères opérant dans l’importation un taux de 30 % du capital et faire participer un partenaire Algérien.
Les nouvelles mesures restrictives qui ont été prises en 2008 ont coïncidé avec les critiques virulentes du Président Bouteflika à l’égard des investisseurs étrangers en Algérie en date du 26 juillet 2008, ce qui est considéré comme étant un indice sur l’apparition d’une nouvelle orientation, et considéré comme un retour à ce qui est appelé de « Nationalisme économique ». D’autres parts, les opérateurs étrangers ont critiqué cette action parce qu’elle sous entend le repli sur l’ouverture économique, et la libération de l’économie et le commerce extérieur qui ont été agréés en 1990.
Selon les observateurs, la question qui se pose actuellement réside dans l’incapacité de l’état à continuer à se focaliser sur les dépenses publiques, notamment avec le recul important des revenus prévus d’atteindre cette année les environs de 32 à 35 milliards de dollars.
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