Tweet
Le groupe pétrolier libyen "Libya Oil Holding", qui gère un réseau de 182 stations de distribution de carburant à travers tout le Maroc et dispose d'un large portefeuille de revendeurs, a annoncé l'officialisation de son label "Oilibya" dans le royaume alaouite, indique-t-on de source officielle à Rabat.
Le groupe libyen, actif également dans les domaines de l'aviation, de la marine et de l'industrie, est engagé dans plusieurs investissements pétroliers en Afrique à travers plus de 20 sociétés opérant dans les domaines de la prospection, la production, le stockage, le transport et la distribution de produits pétroliers.
Le PDG du groupe, Ali Shamekh, dont les propos sont rapportés par l'agence de presse gouvernementale MAP, a exprimé l'intérêt accordé par son groupe à l'investissement au Maroc, rappelant le transfert de l'Europe vers Casablanca de son organe qui gère les filiales africaines du holding, "Africana corporate services".
Cette filiale aura plusieurs missions, dont la coordination des mécanismes de management du groupe et de ses filiales et le contrôle et le suivi des capacités financières, a-t-il indiqué.
"Libya Oil Maroc", a-t-il souligné, ambitionne de se positionner en tant qu'acteur essentiel dans le secteur de l'énergie à moyen terme, respectant les normes de sécurité et d'environnement et de diversifier et développer ses produits et services.
En août dernier, "Libya Oil Holding" avait racheté des filiales du groupe pétrolier anglo-néerlandais Shell au Soudan, à Djibouti et en Ethiopie.
Cette transaction portait sur un total de 240 stations de distribution de carburant dans ces trois pays.
Le groupe, qui s'est lancée dans des investissements massifs en Afrique, avait également racheté les filiales de la compagnie américaine Exxon Mobil en Tunisie et au Maroc.
A noter que le groupe libyen est, en outre, lié par une convention avec l'Office chérifien marocain des phosphates pour réaliser des investissements communs.
Le Maroc, premier producteur et exportateur des phosphates à l'échelle de la planète, possède les trois quarts des réserves mondiales évaluées à 80 milliards de tonnes. Plus de la moitié de la production (20 millions de tonnes en moyenne) est directement exportée vers l'Europe occidentale.
Le groupe libyen, actif également dans les domaines de l'aviation, de la marine et de l'industrie, est engagé dans plusieurs investissements pétroliers en Afrique à travers plus de 20 sociétés opérant dans les domaines de la prospection, la production, le stockage, le transport et la distribution de produits pétroliers.
Le PDG du groupe, Ali Shamekh, dont les propos sont rapportés par l'agence de presse gouvernementale MAP, a exprimé l'intérêt accordé par son groupe à l'investissement au Maroc, rappelant le transfert de l'Europe vers Casablanca de son organe qui gère les filiales africaines du holding, "Africana corporate services".
Cette filiale aura plusieurs missions, dont la coordination des mécanismes de management du groupe et de ses filiales et le contrôle et le suivi des capacités financières, a-t-il indiqué.
"Libya Oil Maroc", a-t-il souligné, ambitionne de se positionner en tant qu'acteur essentiel dans le secteur de l'énergie à moyen terme, respectant les normes de sécurité et d'environnement et de diversifier et développer ses produits et services.
En août dernier, "Libya Oil Holding" avait racheté des filiales du groupe pétrolier anglo-néerlandais Shell au Soudan, à Djibouti et en Ethiopie.
Cette transaction portait sur un total de 240 stations de distribution de carburant dans ces trois pays.
Le groupe, qui s'est lancée dans des investissements massifs en Afrique, avait également racheté les filiales de la compagnie américaine Exxon Mobil en Tunisie et au Maroc.
A noter que le groupe libyen est, en outre, lié par une convention avec l'Office chérifien marocain des phosphates pour réaliser des investissements communs.
Le Maroc, premier producteur et exportateur des phosphates à l'échelle de la planète, possède les trois quarts des réserves mondiales évaluées à 80 milliards de tonnes. Plus de la moitié de la production (20 millions de tonnes en moyenne) est directement exportée vers l'Europe occidentale.
Commentaire