Pourquoi les algeriens se detestent

[absent]

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[iwamachngoulek]

moi je deteste pas quelqu'un pour son appartenance nationale , mais pour ce qu'il est, y'a des algériens que j'aime pas , mais c pas parceque c des algériens

On critique les gouvernants, les voisins, les collegues, les employes, on critique tout ... quoi.

hada howa le telephone arabe c dans notre culture

[absente]

y'a pas que les algériens qui se détestent , c'est pareil pour les autres nations , les francais , Nords américains , italiens ......

[elfamilia]

Comme aussi, par moment, il suffit de rien pour que tout le monde aime tout le monde, tout le monde devient beau, souriant...On embrasse même les inconnus.

Quand ce "rien" sévit c'est le boulversement total...même lors d'un trajet de 10 mn dans les transports en commun on devient tous de la même famille, s'il y a quelqu'un qui célèbre un mariage il peut inviter tous les occupants du bus (enfin du fourgon, le bus ça fait trop).

medit, ce n'est pas un hors sujet. On parle de la même chose, du même verre; toi tu t'es occupé de la moitié vide et moi de celle qui est pleine. ou peut-être c'est le contraire...Je ne sais pas ! Après tout, tout se construit par le bas, sauf pour les trous

[absent]

medit, ce n'est pas un hors sujet. On parle de la même chose, du même verre; toi tu t'es occupé de la moitié vide et moi de celle qui est pleine. ou peut-être c'est le contraire...Je ne sais pas ! Après tout, tout se construit par le bas, sauf pour les trous

@Elfamilia,

A moi, le choix en premier
J'ai pris la moitie pleine. et a toi la moitie vide

[absente]

et moi ?

je me contente des trous

[elfamilia]

Pleine de quoi medit ?

Nedjma, toi tu es toujours dans les hauteurs...tu es nos galons.

[Rebelle]

Génial le sujet. On peut aller loin. Pourquoi tous les voisins se détestent ? Exemple comme un autre.

[Zakia]

C'est le sujet réducteur par excellence...alors lis donc cette petite histoire :

Il était une fois un vieil homme assis à l’entrée d’une ville du Moyen-Orient. Un jeune homme s’approcha et lui dit :
- Je ne suis jamais venu ici ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? Le vieil homme lui répondit par une question : Comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ? Egoïstes et méchants. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’étais bien content de partir, dit le jeune homme. Le vieillard répondit : Tu trouveras les mêmes gens ici.
Un peu plus tard, un autre jeune homme s’approcha et lui posa exactement la même question.
- Je viens d’arriver dans la région ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? Le vieille homme répondit de même : Dis-moi, mon garçon, comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ? Ils étaient bons et accueillants, honnêtes ; j’y avais de bons amis ; j’ai eu beaucoup de mal à la quitter, répondit le jeune homme. Tu trouveras les mêmes ici, répondit le vieil homme.
Un marchand qui faisait boire ses chameaux non loin de là avait entendu les deux conversations. Dès que le deuxième jeune homme se fut éloigné, il s’adressa au vieillard sur un ton de reproche : Comment peux-tu donner deux réponses complètement différentes à la même question posée par deux personnes ? Celui qui ouvre son coeur change aussi son regard sur les autres, répondit le vieillard. Chacun porte son univers dans son coeur.

En conclusion, demande-toi si tu te pose la (les) bonne(s) question(s)...