RapeX, premier préservatif anti-viol

[smairi]

La Sud-Africaine Sonette Ehlers a inventé un préservatif féminin dont les « épines » se plantent dans la peau du pénis du violeur. Le RapeX, une fois commercialisé, entend ainsi protéger les victimes des maladies sexuellement transmissibles, faire reculer le nombre faramineux de femmes agressées chaque année et confondre les auteurs des crimes. Mais l’invention, première du genre au monde, est controversée par plusieurs organisations, qui estiment notamment qu’elle expose les femmes à plus de violence de leur(s) violeur(s).

[Thirga.ounevdhou]

Bonjour,

Merci de poster -avec le sujet- la source de l’infomation ou de l’article :

http://www.advalvas.be/fr/index.php?...k=view&id=2230

Merci pour l’info. Et bonne journee.

Une femme vient de présenter un préservatif féminin anti-viol qui « harponne » l'agresseur. Le « rapex » se porte comme un tampon et en cas de pénétration, des crochets se referment sur le pénis de l'agresseur. Meurtri, le violeur sera obligé de s'encourir à l'hôpital « la queue entre les jambes ».


Tel est le principe d'un nouveau dispositif anti-viol mis au point par une Sud-Africaine qui a jugé qu'il était temps de protéger les femmes contre le crime le plus odieux qui puisse leur être fait: « Personne n'a jamais rien fait pour empêcher le viol des femmes et je me suis dit qu'il était plus que temps », a dit Sonette Ehlers, 57 ans, lors de la présentation de son rapex à l'agence Reuters.

Crochets à l'intérieur
Le rapex se présente sous la forme d'un fourreau de latex à glisser dans le vagin comme un tampon. La face interne du dispositif est garnie de dents pointues dirigées vers l'intérieur qui harponnent le pénis de l'agresseur et y restent profondément enfoncées. L'effet de surprise et la douleur devraient laisser le temps à la victime de s'échapper. Seul un chirurgien pourra retirer les crochets du pénis de l'agresseur et c'est là l'utilité seconde du dispositif: les hôpitaux seront immédiatement avertis qu'un viol a été commis et pourront le signaler à la police.

Attention, crient les association d'accueil des femmes violées. Un agresseur ainsi piégé pourrait redoubler de violence envers sa victime et lui causer encore plus de mal. D'autres sceptiques qualifient le rapex d'appareil de barbarie digne du Moyen-Age. « Pas autant qu'un viol », leur répond l'inventrice.

Sonette Ehlers n'a pas encore trouvé de volontaires masculins pour tester les harpons... Elle garantit seulement qu'ils accrochent bien les pénis en plastic utilisés pour les tests. Le rapex se fait parait-il oublier par les femmes qui ont testé son confort. Pas trop, espérons-le pour les maris.

[zlabiya]

très bonne idée mais je ne pense pas que cela soit util
on manque d'information
est-ce que la femme devrait le porter toute la journée?
le changer toutes les heures?
il doit être encombrant
j ne peux pas imaginer dans une ville que toutes les femmes portent un objet en elle quotidiennement car le viol peut avoir lieu en journée comme en soirée, par un connu ou un inconnu

[orandxb]

on peut la lui faire enleve par force ou sous menace.

[zlabiya]

orandx

on peut pas la faire enlever de force ou de gré car l'agresseur n'ets aps censé le savoir
ce truc est situé dans une zone intime et seule la personne qui la met est au courant