Bouteflika transgresse la constitution
Le secrétaire général de l’Union nationale des Agriculteurs Algériens, Mohamed Alioui, a fait un appel, et sans contour, aux agriculteurs et fournisseurs pour renvoyer l’ascenseur à Bouteflika, et ce, en votant pour lui lors des élections du neuf Avril prochain. Cela intervient après la décision qu’il (Bouteflika) a prise quant à l’effacement des dettes des agriculteurs estimées à 41 milliards de dinars.
La question qui se pose après cette sortie du secrétaire général de l’union des agriculteurs est : sommes-nous devant un chantage exercé par ce dernier sur le Président en contrepartie de la décision de l’effacement des dettes, comme quoi Alioui avait le choix de ne pas le soutenir ?
Chose qui n’est pas seulement écartée mais bien utopique, du fait que le chef de l’organisation des agriculteurs et ses semblables sur les têtes d’autres organisations de la société civile n’ont été, et durant toutes leurs histoires, que des comités de soutien au Président.
Ce qui nous intéresse ici, c’est que le Président à pris cette décision, considérée du point de vue constitutionnel et de la loi, comme acte préférentiel entre les agriculteurs, d’une part, et entre l’agriculture et d’autres secteurs, de l’autre. Or la constitution stipule, dans son article 29, que tous les citoyens sont égaux devant la loi, et sans distinction aucune. Le Président s’est engagé durant son serment qu’il a prêté avant sa prise de fonction, officielle, à respecter la constitution, alors où on est-t-on du respect du serment ?.
Devant cette situation, quelle est la place des agriculteurs qui se sont acquittés de leurs dettes avant la dernière décision du Président : Peuvent-ils, alors, réclamer, maintenant, cet argent ? Surtout qu’avec ce qui s’est passé, considéré comme un encouragement des fainéants à payer leurs dettes, et donc c’est un découragement pour ceux qui respectent la loi et se plient à ses clauses.
Le mieux pour le Président aurait été d’encourager, et avec ces montants faramineux, les agriculteurs producteurs, et non pas les grévistes et les opportunistes des élections Présidentielles, et il aurait procédé au développement de l’agriculture et du travail agricole. Mais après ce qui s’est passé, Est-il possible pour Bouteflika ou pour toute autre personne concernée de rendre public la liste des bénéficiaires de l’effacement des dettes, et cela non pas pour connaître la vérité, mais pour faire taire les spéculateurs indiquant que la plupart des bénéficiaires de la décision du Président sont des « Begars », qui ont dépensé l’argent qu’ils ont emprunté dans des night clubs, alors est -il concevable que le peuple rembourse ces gaspilleurs, frères des diables?
Le plus embarrassant dans la décision du Président de la République c’est d’avoir annoncé, durant le mois de Décembre dernier à Ghardaïa, qu’il n’avait pas un sou de plus ….alors, d’où proviennent ces 41 milliards de dinars ?
Le secrétaire général de l’Union nationale des Agriculteurs Algériens, Mohamed Alioui, a fait un appel, et sans contour, aux agriculteurs et fournisseurs pour renvoyer l’ascenseur à Bouteflika, et ce, en votant pour lui lors des élections du neuf Avril prochain. Cela intervient après la décision qu’il (Bouteflika) a prise quant à l’effacement des dettes des agriculteurs estimées à 41 milliards de dinars.
La question qui se pose après cette sortie du secrétaire général de l’union des agriculteurs est : sommes-nous devant un chantage exercé par ce dernier sur le Président en contrepartie de la décision de l’effacement des dettes, comme quoi Alioui avait le choix de ne pas le soutenir ?
Chose qui n’est pas seulement écartée mais bien utopique, du fait que le chef de l’organisation des agriculteurs et ses semblables sur les têtes d’autres organisations de la société civile n’ont été, et durant toutes leurs histoires, que des comités de soutien au Président.
Ce qui nous intéresse ici, c’est que le Président à pris cette décision, considérée du point de vue constitutionnel et de la loi, comme acte préférentiel entre les agriculteurs, d’une part, et entre l’agriculture et d’autres secteurs, de l’autre. Or la constitution stipule, dans son article 29, que tous les citoyens sont égaux devant la loi, et sans distinction aucune. Le Président s’est engagé durant son serment qu’il a prêté avant sa prise de fonction, officielle, à respecter la constitution, alors où on est-t-on du respect du serment ?.
Devant cette situation, quelle est la place des agriculteurs qui se sont acquittés de leurs dettes avant la dernière décision du Président : Peuvent-ils, alors, réclamer, maintenant, cet argent ? Surtout qu’avec ce qui s’est passé, considéré comme un encouragement des fainéants à payer leurs dettes, et donc c’est un découragement pour ceux qui respectent la loi et se plient à ses clauses.
Le mieux pour le Président aurait été d’encourager, et avec ces montants faramineux, les agriculteurs producteurs, et non pas les grévistes et les opportunistes des élections Présidentielles, et il aurait procédé au développement de l’agriculture et du travail agricole. Mais après ce qui s’est passé, Est-il possible pour Bouteflika ou pour toute autre personne concernée de rendre public la liste des bénéficiaires de l’effacement des dettes, et cela non pas pour connaître la vérité, mais pour faire taire les spéculateurs indiquant que la plupart des bénéficiaires de la décision du Président sont des « Begars », qui ont dépensé l’argent qu’ils ont emprunté dans des night clubs, alors est -il concevable que le peuple rembourse ces gaspilleurs, frères des diables?
Le plus embarrassant dans la décision du Président de la République c’est d’avoir annoncé, durant le mois de Décembre dernier à Ghardaïa, qu’il n’avait pas un sou de plus ….alors, d’où proviennent ces 41 milliards de dinars ?
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