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Le maître international de qwan ki do, Lahcen Guedjedibi, sera l’hôte de l'Algérie dès aujourd’hui. L’expert marocain animera, deux jours durant (jeudi et vendredi), un stage de perfectionnement pour environ 300 entraîneurs algériens, et ce, au niveau de la salle omnisports de Dar-El-Beïda. Le spécialiste marocain de cet art martial fait partie des quatre experts de renommée mondiale ayant le 7e dan.
C’est à travers lui que cette discipline sino-vietnamienne a fait son entrée dans le circuit des sports en Algérie. Un jeune technicien, Farid Mously (aujourd’hui âgé de 34 ans) faisait la navette Alger- Casablanca pour aller à la découverte d’un art martial, disposant aujourd’hui de quelque 1 200 adeptes en Algérie. «Je me rappelle bien du premier jour où j’ai lancé ma première section de qwan ki do. C’était le 25 septembre 2005 à la salle de Bouzaréah. J’ai ouvert par la suite deux nouvelles salles, respectivement à Ruisseau et à Birtouta où j’ai été bien accueilli par les responsables des clubs», dirat- il. Farid Mously ne connaîtra pas que du bonheur dans sa quête d’introduire puis faire reconnaître ce sport en Algérie. L’association nationale des arts martiaux lui avait tendu pas mal de pièges. Mais sa volonté d’aller de l’avant finira par payer. «J’ai réussi à faire admettre le qwan ki do au niveau de la Ligue d’Alger des arts martiaux dès 2006.
L’association comptait alors huit sections. Désormais, nous avons des athlètes à travers les wilayas d’El-Oued, Djelfa, Blida et Aïn-Defla. Ceux-ci sont encadrés par 30 entraîneurs. Nous avons aussi obtenu la reconnaissance de la Fédération mondiale (WUQKD) basée à Milan (Italie) et nous prenons part, quand nos moyens le permettent, à des tournois et autres championnats internationaux organisés sous l’égide de cette instance née en 1981», tient-il à préciser.
La première sortie officielle d’une équipe algérienne à l’étranger eut lieu en novembre 2004, à Bucarest (Roumanie), à l‘occasion du 4e Championnat du monde où nos athlètes ont obtenu la troisième place, derrière la Roumanie et l’Italie, sur 20 pays participants. Depuis, Farid Mously (2e dan) ne cesse d’aller à la quête du savoir d’un art qu’il compte développer à travers les 48 wilayas du pays. Ses objectifs intermédiaires restent ce tournoi international interclubs prévu à Sherbrooke (Canada) en mai prochain puis le mondial- 2010 annoncé à Sao Paolo (Brésil) et, enfin, le Championnat du monde des nations de 2011 programmé au Vietnam.
Avec la reconnaissance de la nouvelle équipe fédérale (FAAM), le qwan ki do semble parti pour gagner du terrain autant en termes de nombre de pratiquants qu’en ce qui concerne la quête des titres au cours des grandes manifestations internationales.
Par Le Soir
C’est à travers lui que cette discipline sino-vietnamienne a fait son entrée dans le circuit des sports en Algérie. Un jeune technicien, Farid Mously (aujourd’hui âgé de 34 ans) faisait la navette Alger- Casablanca pour aller à la découverte d’un art martial, disposant aujourd’hui de quelque 1 200 adeptes en Algérie. «Je me rappelle bien du premier jour où j’ai lancé ma première section de qwan ki do. C’était le 25 septembre 2005 à la salle de Bouzaréah. J’ai ouvert par la suite deux nouvelles salles, respectivement à Ruisseau et à Birtouta où j’ai été bien accueilli par les responsables des clubs», dirat- il. Farid Mously ne connaîtra pas que du bonheur dans sa quête d’introduire puis faire reconnaître ce sport en Algérie. L’association nationale des arts martiaux lui avait tendu pas mal de pièges. Mais sa volonté d’aller de l’avant finira par payer. «J’ai réussi à faire admettre le qwan ki do au niveau de la Ligue d’Alger des arts martiaux dès 2006.
L’association comptait alors huit sections. Désormais, nous avons des athlètes à travers les wilayas d’El-Oued, Djelfa, Blida et Aïn-Defla. Ceux-ci sont encadrés par 30 entraîneurs. Nous avons aussi obtenu la reconnaissance de la Fédération mondiale (WUQKD) basée à Milan (Italie) et nous prenons part, quand nos moyens le permettent, à des tournois et autres championnats internationaux organisés sous l’égide de cette instance née en 1981», tient-il à préciser.
La première sortie officielle d’une équipe algérienne à l’étranger eut lieu en novembre 2004, à Bucarest (Roumanie), à l‘occasion du 4e Championnat du monde où nos athlètes ont obtenu la troisième place, derrière la Roumanie et l’Italie, sur 20 pays participants. Depuis, Farid Mously (2e dan) ne cesse d’aller à la quête du savoir d’un art qu’il compte développer à travers les 48 wilayas du pays. Ses objectifs intermédiaires restent ce tournoi international interclubs prévu à Sherbrooke (Canada) en mai prochain puis le mondial- 2010 annoncé à Sao Paolo (Brésil) et, enfin, le Championnat du monde des nations de 2011 programmé au Vietnam.
Avec la reconnaissance de la nouvelle équipe fédérale (FAAM), le qwan ki do semble parti pour gagner du terrain autant en termes de nombre de pratiquants qu’en ce qui concerne la quête des titres au cours des grandes manifestations internationales.
Par Le Soir