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TIC:Le Maroc améliore de manière significative son niveau

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  • TIC:Le Maroc améliore de manière significative son niveau

    «Le Maroc a amélioré de manière significative son niveau dans le domaine des Technologies de l'information et de la communication (TIC)» au cours des cinq dernières années, indique un rapport de l'Union internationale des télécommunications (UIT), rendu public lundi à Genève.
    Selon la dernière édition du rapport «Measuring the information society», le Maroc est ainsi passé de la 111e place en 2002 avec un Indice de développement (ID) de 1,37 à la 101e place en 2007 avec un ID de 2,34, dans le classement mondial établi par l'UIT concernant l'indice de développement (ID) en matière de TIC, mettant en compétition 154 pays.

    D'après le rapport, le Maroc a ainsi réalisé le gain de points le plus élevé en Afrique, après l'Ile Maurice, précisant que les performances du Royaume ont porté principalement sur l'accès (taux de pénétration mobile et largeur de bande Internet internationale) et des compétences (secondaire).

    L'Ile Maurice est passée d'un ID de 2,45 en 2002 à 3,45 en 2007.

    Le Maroc a, également, été bien classé au niveau de l'Afrique, notamment les pays du Maghreb au cours de cette même période, s'agissant du sous-indice d'accès aux TIC, qui inclut cinq indicateurs portant sur le taux de pénétration du téléphone fixe et mobile, la largeur de bande Internet internationale par Internet, la proportion de ménages disposant d'ordinateurs et celle de ménages ayant accès à Internet.

    Avec un indice qui a évolué de 1,64 en 2002 à 3,03 en 2007, le Royaume occupe en effet la première place au Maghreb devant la Tunisie (1,58-2,98), la Libye (1,20-2,92), l'Algérie (1,27-2,86) et la Mauritanie (1,39-2,13).

    L'Indice de développement en matière de TIC établit une comparaison de l'évolution du domaine des technologies de l'information et de la communication (TIC) dans 154 pays sur une période de cinq ans de 2002 à 2007.

    Selon l'UIT, cet indice combine 11 indicateurs en une seule mesure qui peut être utilisée comme un outil de référence aux niveaux mondial et régional et à l'échelle des pays.

    La Suède est classée à la tête des pays les plus avancés en matière de TIC suivie de la République de Corée, du Danemark, des Pays-Bas, de l'Islande, de la Norvège, du Luxembourg, de la Suisse, de la Finlande, du Royaume Uni et d'autres pays d'Europe, d'Asie et d'Amérique du Nord, souligne encore le rapport, précisant que l'indice de développement de certains pays en développement a progressé considérablement au cours des cinq dernières années, dont le Pakistan, l'Arabie saoudite, la Chine et le Vietnam, essentiellement en raison de la forte croissance du téléphone cellulaire, associée à une augmentation des utilisateurs de l'Internet.

    La Chine (du 73 rang en 2007 comparativement à 90 en 2002), a fait des progrès significatifs en matière d'augmentation du nombre de téléphones fixes et mobiles, ainsi que des abonnements à haut débit fixe.

    Le document fait, par ailleurs, remarquer que les pays développés et en développement, bien qu'ils aient augmenté leurs niveaux de plus de 30% dans le domaine des TIC au cours de cette période, demeurent encore en retard dans le domaine de l'accès aux TIC et de leur utilisation.

    L'UIT ajoute que les pays ayant un faible niveau des TIC sont principalement des pays en développement, précisant qu'étant donné la relation étroite entre les TIC et le PIB, nombre de pays pauvres, en particulier en Afrique, occupent les rangs les plus bas avec peu de changements dans le classement depuis 2002 pour ce qui est de l'Indice de Développement des TIC.

    Quant aux pays pauvres, en particulier les pays les moins avancés, ils disposent d'un accès limité à l'infrastructure des TIC, y compris la téléphonie fixe et mobile, Internet et à large bande, relève l'Organisation.

    Le rapport fait remarquer que, globalement, l'ampleur de la fracture numérique entre pays riches et pays pauvres reste inchangée entre 2002 et 2007, notant qu'en dépit des améliorations importantes dans le monde en développement, l'écart est maintenu en matière des TIC entre les pays nantis et les pays démunis.

    D'autre part, l'UIT relève, sur la base de chiffres datant de la fin de l'année 2008, un net changement dans le monde du téléphone fixe au mobile, précisant qu'à cette date il y avait trois fois plus de souscriptions au mobile qu'au téléphone fixe au niveau mondial.

    Les estimations de l'UIT font par ailleurs, ressortir que 23 habitants sur 100 au niveau mondial ont utilisé Internet à fin de 2008, déplorant que les niveaux de pénétration dans les pays en développement reste faible, particulièrement en Afrique, qui, avec 5 pour cent de pénétration, «reste à la traîne».

    Le Rapport relève enfin que les coûts des TIC sont plus bas à Singapour, aux Etats-Unis, au Luxembourg, au Danemark, à Hong Kong (Chine) et aux Emirats arabes unis, précisant que le coût d'un appel téléphonique ou celui de la navigation sur Internet peut influencer l'utilisation des TIC.

    lematin

  • #2
    Avec un indice qui a évolué de 1,64 en 2002 à 3,03 en 2007, le Royaume occupe en effet la première place au Maghreb devant la Tunisie (1,58-2,98), la Libye (1,20-2,92), l'Algérie (1,27-2,86) et la Mauritanie (1,39-2,13).

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    • #3
      ils passent sous silence le classement :-)
      « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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      • #4
        merci dzone

        voila encore une propagande démasquée

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        • #5
          Un nouvel indice UIT de développement des TIC

          Mr Jawzia poste un dossier complet.
          http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=117101

          Mr Walid85 allume un contre feu, par la map.
          http://www.***********/nouvelles-tec...ati-re-de.html

          02-03-2009
          Le Maroc a amélioré de manière significative son niveau dans le domaine des technologies de l'information et de la communication (TIC)" au cours des cinq dernières années, indique un rapport de l'Union internationale des télécommunications (UIT), rendu public lundi à Genève.

          Selon la dernière édition du rapport "Measuring the information society", le Maroc est ainsi passé de la 111è place en 2002 avec un Indice de Développement (ID) de 1,37 à la 101è place en 2007 avec un ID de 2,34, dans le classement mondial établi par l'UIT concernant l'indice de développement (ID) en matière de TIC, mettant en compétition 154 pays.

          D'Après le rapport, le Maroc a ainsi réalisé le gain de points le plus élevé en Afrique, après l'Ile Maurice, précisant que les performances du Royaume ont porté principalement sur l'accès (taux de pénétration mobile et largeur de bande Internet internationale) et des compétences (secondaire). L'Ile Maurice est passée d'un ID de 2,45 en 2002 à 3,45 en 2007.

          Le Maroc a également été bien classé au niveau de l'Afrique, notamment les pays du Maghreb au cours de cette même période, s'agissant du sous-indice d'accès aux TIC, qui inclut cinq indicateurs portant sur le taux de pénétration du téléphone fixe et mobile, la largeur de bande Internet internationale par Internet, la proportion de ménages disposant d'ordinateurs et celle de ménages ayant accès à Internet.

          Avec un indice qui a évolué de 1,64 en 2002 à 3,03 en 2007, le Royaume occupe en effet la première place au Maghreb devant la Tunisie (1,58-2,98), la Libye (1,20-2,92), l'Algérie (1,27-2,86) et la Mauritanie (1,39-2,13).

          L'Indice de Développement en matière de TIC établit une comparaison de l'évolution du domaine des technologies de l'information et de la communication (TIC) dans 154 pays sur une période de cinq ans de 2002 à 2007.

          Selon l'UIT, cet indice combine 11 indicateurs en une seule mesure qui peut être utilisée comme un outil de référence aux niveaux mondial et régional et à l'échelle des pays.

          La Suède est classée à la tête des pays les plus avancés en matière de TIC suivie de la République de Corée, du Danemark, des Pays-Bas, de l'Islande, de la Norvège, du Luxembourg, de la Suisse, de la Finlande, du Royaume Uni et d'autres pays d'Europe, d'Asie et d'Amérique du Nord, souligne encore le rapport, précisant que l'indice de développement de certains pays en développement a progressé considérablement au cours des cinq dernières années, dont le Pakistan, l'Arabie saoudite, la Chine et le Viet Nam, essentiellement en raison de la forte croissance du téléphone cellulaire, associée à une augmentation des utilisateurs de l'Internet.

          La Chine (du 73 rang en 2007 comparativement à 90 en 2002), a fait des progrès significatifs en matière d'augmentation du nombre de téléphones fixes et mobiles, ainsi que des abonnements à haut débit fixe.

          Le document fait, par ailleurs, remarquer que les pays développés et en développement, bien qu'ils aient augmenté leurs niveaux de plus de 30 pc dans le domaine des TIC au cours de cette période, demeurent encore en retard dans le domaine de l'accès aux TIC et de leur utilisation.

          L'UIT ajoute que les pays ayant un faible niveau des TIC sont principalement des pays en développement, précisant qu'étant donné la relation étroite entre les TIC et le PIB, nombre de pays pauvres, en particulier en Afrique, occupent les rangs les plus bas avec peu de changements dans le classement depuis 2002 pour ce qui est de l'Indice de Développement des TIC.

          Quant aux pays pauvres, en particulier les pays les moins avancés, ils disposent d'un accès limité à l'infrastructure des TIC, y compris la téléphonie fixe et mobile, Internet et à large bande, relève l'Organisation.

          Le rapport fait remarquer que, globalement, l'ampleur de la fracture numérique entre pays riches et pays pauvres reste inchangée entre 2002 et 2007, notant qu'en dépit des améliorations importantes dans le monde en développement, l'écart est maintenu en matière des TIC entre les pays nantis et les pays démunis.

          D'autre part, l'UIT relève, sur la base de chiffres datant de la fin de l'année 2008, un net changement dans le monde du téléphone fixe au mobile, précisant qu'à cette date il y avait trois fois plus de souscriptions au mobile qu'au téléphone fixe au niveau mondial.

          Les estimations de l'UIT font par ailleurs, ressortir que 23 habitants sur 100 au niveau mondial ont utilisé Internet à fin de 2008, déplorant que les niveaux de pénétration dans les pays en développement reste faible, particulièrement en Afrique, qui, avec 5 pour cent de pénétration, "reste à la traîne".

          Le Rapport relève enfin que les coûts des TIC sont plus bas à Singapour, aux Etats-Unis, au Luxembourg, au Danemark, à Hong Kong (Chine) et aux Emirats arabes unis, précisant que le coût d'un appel téléphonique ou celui de la navigation sur Internet peut influencer l'utilisation des TIC.

          L'UIT ajoute que les pays ayant un faible niveau des TIC sont principalement des pays en développement, précisant qu'étant donné la relation étroite entre les TIC et le PIB, nombre de pays pauvres, en particulier en Afrique, occupent les rangs les plus bas avec peu de changements dans le classement depuis 2002 pour ce qui est de l'Indice de Développement des TIC.

          Quant aux pays pauvres, en particulier les pays les moins avancés, ils disposent d'un accès limité à l'infrastructure des TIC, y compris la téléphonie fixe et mobile, Internet et à large bande, relève l'Organisation.

          Le rapport fait remarquer que, globalement, l'ampleur de la fracture numérique entre pays riches et pays pauvres reste inchangée entre 2002 et 2007, notant qu'en dépit des améliorations importantes dans le monde en développement, l'écart est maintenu en matière des TIC entre les pays nantis et les pays démunis.

          D'autre part, l'UIT relève, sur la base de chiffres datant de la fin de l'année 2008, un net changement dans le monde du téléphone fixe au mobile, précisant qu'à cette date il y avait trois fois plus de souscriptions au mobile qu'au téléphone fixe au niveau mondial.

          Les estimations de l'UIT font par ailleurs, ressortir que 23 habitants sur 100 au niveau mondial ont utilisé Internet à fin de 2008, déplorant que les niveaux de pénétration dans les pays en développement reste faible, particulièrement en Afrique, qui, avec 5 pour cent de pénétration, "reste à la traîne".

          Le Rapport relève enfin que les coûts des TIC sont plus bas à Singapour, aux Etats-Unis, au Luxembourg, au Danemark, à Hong Kong (Chine) et aux Emirats arabes unis, précisant que le coût d'un appel téléphonique ou celui de la navigation sur Internet peut influencer l'utilisation des TIC.



          MAP

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          • #6
            Avec un indice qui a évolué de 1,64 en 2002 à 3,03 en 2007, le Royaume occupe en effet la première place au Maghreb devant la Tunisie (1,58-2,98), la Libye (1,20-2,92), l'Algérie (1,27-2,86) et la Mauritanie (1,39-2,13).
            quelle arnaque!

            ils sont vraiment futés ces makhznesites.

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            • #7
              Le royaume est le dernier dans les TIC d'après l'Union Internationale des Telecoms.

              Penser qu'avoir un opérateur français qui s'appelle maroc telecom qui fait de bon résultats financiers est synonyme de progrès dans les TIC

              les classements se succèdent et se ressemblent... last is last


              Dernière modification par bledard_for_ever, 03 mars 2009, 20h02.
              « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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              • #8
                Ah la mauvaise foi !

                il faut bien lire l article :

                D'après le rapport, le Maroc a ainsi réalisé le gain de points le plus élevé en Afrique, après l'Ile Maurice,


                Pays 2007 2002 Gain
                egypte 2,54 1,81 0,73
                tunisie2,73 1,86 0,87
                algerie 2,52 1,61 0,91
                maroc 2,34 1,37 0,97


                Je vous laisse le soin de verifier pour tout les pays d afrique pour voir si le journaliste a bien fait ses petits calculs .....

                Commentaire


                • #9
                  Ah la mauvaise foi !
                  pas que ça, la petite cervelle a ses limites

                  et si vous voulez voir un classement "purement" TIC, allez voir celui du DOI (digital opportunity index)

                  le Maroc est 3 ème en Afrique (derrière les seychelles et l'ile maurice)

                  Commentaire


                  • #10
                    hahahha upup

                    on va t'explqiuer...

                    alors c'est comme çi un corueur de 100m a fait un progrés notable, il a battu son propre record.

                    tu fais un zoom sur ça, comme si la course ne concernait que ce coureur aux performances limitées. C'est le seul vainqueur.

                    En plus le rapport dit que ce vainqueur qui est presque dernier n'a pas le potentiel de progresser. il est même 122 derriere le lesotho!!!!

                    pas d'infra, pas de formation et pas assez d'argent






                    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

                    Commentaire


                    • #11
                      Avec un indice qui a évolué de 1,64 en 2002 à 3,03 en 2007, le Royaume occupe en effet la première place au Maghreb devant la Tunisie (1,58-2,98), la Libye (1,20-2,92), l'Algérie (1,27-2,86) et la Mauritanie (1,39-2,13).

                      galek el3abha mahboul techb3a ksour (jouer au fou, ca paye)

                      ton journaleux stipule clairement que le maroc occupe la premiere place au maghreb, alors qu'il pouvait tout simplement dire que le maroc a realisé le meilleur progres pendant ces 5 dernières années, mais la mauvaise foi prevaut, comme toujours.
                      Dernière modification par amicalement, 03 mars 2009, 22h13.

                      Commentaire


                      • #12
                        ton journaleux stipule clairement que le maroc occupe la premiere place au maghreb, alors qu'il pouvait tout simplement dire que le maroc a realisé la meilleur progres pendant ces 5 dernières années, mais la mauvaise foi prevaut, comme toujours.
                        tu sais pourquoi amicalement?

                        C'est parce que encore un autre rapport qui les classe derniers!!

                        ça suffit, alors il tente d'enjoliver en ne prenant qu'un indice, surtout que dans les TIC ils arretent pas de bassiner avce maroc telecom et leru centre d'appels...

                        le verdict est tombé... sous dev is sous dev surtout lorsqu'il fait le fanfaron
                        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

                        Commentaire


                        • #13
                          C'est parce que encore un autre rapport qui les classe derniers!!

                          Bledard

                          ......................................


                          Les faits sont têtus



                          Avec un indice qui a évolué de 1,64 en 2002 à 3,03 en 2007, le Royaume occupe en effet la première place au Maghreb devant la Tunisie (1,58-2,98), la Libye (1,20-2,92), l'Algérie (1,27-2,86) et la Mauritanie (1,39-2,13).

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                          • #14
                            Les faits sont têtus
                            Les classements aussi !

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                            • #15
                              Les classements aussi !

                              http://ups.imagup.com/02/1236111640_...0titre%204.jpg

                              Jawzia


                              ...........................

                              Mais ceux produits par le Jeune indépendant ( Quotidien algérien ) et il y a 8 mois à peine disent autre chose.STATISTIQUES 2007/2008



                              L’Algérie derrière la Tunisie et le Maroc dans les TIC



                              mercredi 4 juin 2008.

                              C’est ce que révèle le rapport annuel du Forum économique mondial qui indique que dans le monde arabe, l’Algérie se tient au 12e rang derrière les Emirats arabes unis, le Qatar, la Tunisie, le Bahreïn, la Jordanie, l’Arabie saoudite, le Koweït, Oman, l’Egypte et le Maroc.
                              L’Algérie se classe ainsi loin derrière la Tunisie et le Maroc, respectivement classés à la 35e et à la 74e place, alors que les Emirats arabes unis sont les mieux classés à l’échelle mondiale (29e), devançant nombre de pays asiatiques et occidentaux. La Lybie quant à elle est classée 105e et la Syrie 110e. Le Danemark est le pays le plus avancé en matière de développement technologique informatique, suivi par son voisin la Suède, puis par la Suisse, les Etats-Unis, Singapour, la Finlande, les Pays-Bas, l’Islande, la Corée du Sud et la Norvège. Les critères pris en considération dans ce classement tournent essentiellement autour du degré d’utilisation par les pays des technologies de communication, notamment Internet, qui montre que notre pays demeure en souffrance dans ce domaine, en plus du manque de ce qui est appelé « indicateurs de disposition réseaux », qui font référence au degré de disponibilité d’un pays à l’accession aux nouvelles technologies informatiques et à la participation à leur développement. Le rapport du Forum économique mondial pour l’année 2007-2008 constate que le niveau de prédisposition de l’Algérie à accéder à ces nouvelles technologies reste faible et qu’il est nécessaire d’injecter des investissements privés afin de propulser ce secteur. Contacté par le Jeune Indépendant, M. Guerar Younes, de l’Association des providers algériens, a déclaré que toutes les applications relevant du domaine du développement d’Internet sont à la traîne. « Le gouvernement avait fixé en 2003 l’objectif d’atteindre 3 millions d’abonnés à l’ADSL à l’horizon 2009. Nous ne sommes qu’à 10 % de ces objectifs », a-t-il déploré. De même pour l’opération Ousratic, où le gouvernement s’est engagé à doter 6 millions de familles de PC, « alors que la réalité est toute autre ». « Nous n’arrivons même pas à atteindre des objectifs fixés par nous-mêmes », regrette M. Younes, qui parle de « la nécessité de mobiliser nos compétences y compris celles de l’étranger ». Le retard enregistré par l’Algérie dans ce qui est appelé « la société de l’information » est dû, selon M. Younes, au « manque de vision et de stratégie claire au niveau du gouvernement ».

                              Pour découvrir le classement mondial de l’utilisation des NTIC



                              Le Jeune Independant
                              Dernière modification par chicha51, 05 mars 2009, 04h19.

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                              Chargement...
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