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Nonobstant le démantèlement de plusieurs réseaux de vol de véhicules dans la wilaya de Tizi-ouzou, ayant des ramifications dans plusieurs wilayas du centre, de nouveaux gangs se sont formés ces dernières semaines, particulièrement au sud de la ville des Genêts.
Ainsi, un citoyen roulant à bord de sa Toyota Hilux, tôt ce 1er mars à 6 h, sur le chemin reliant Beni-Douala à Beni-Zmenzer, a été délesté de son véhicule par un groupe d’individus armés dans un faux barrage. La victime, commerçant de son état, a également perdu de l’argent et son téléphone mobile. Une plainte a été, d’ailleurs, déposée immédiatement après les faits auprès des services de sécurité compétents.
Pour mémoire, une autre camionnette avait été dérobée à un chauffeur travaillant pour une entreprise de travaux publics, au lieudit Tizi- Lillane sur le CW147, dans la commune de Maâtkas, tout récemment. La victime, qui a commis l’imprudence de laisser le moteur allumé pendant qu’elle prenait un thé dans un café du village, a vu son véhicule démarrer en trombe, conduit par un individu qui a surgi d’on ne sait où.
Au village Takhribt, toujours dans la commune de Maâtkas, une Renault Express a été également volée, il y a de cela quelques semaines. Tout porte à croire que ce sont les mêmes individus qui ont procédé à ces actes répréhensibles, d’autant plus qu’ils opèrent avec le visage encagoulé. Mais le comble, c’est la facilité avec laquelle ce gang arrive à dissimuler ou à transporter sa «marchandise».
Il convient de souligner que ces malfaiteurs, spécialisés dans le blanchiment d’argent, en revendant en pièces détachées des véhicules volés ou en trafiquant de nouveaux numéros de chassis dans de véritables cavernes d’Ali Baba (caches et casses secrètes) travaillent, selon une source généralement au fait de la situation sécuritaire, de connivence avec les terroristes d’Al Qaïda. C’est dire que, malgré les coups de boutoir assénés ces derniers temps au grand banditisme et aux groupes terroristes par les services de sécurité, il n’en demeure pas moins que ces réseaux de criminels se régénèrent d’une manière très atavique.
Les routes et quelques chemins vicinaux du sud de la wilaya de Tizi-Ouzou sont redevenus, en l’espace de quelques semaines, de véritables coupe-gorges particulièrement durant la nuit. Inutile de rappeler que la prudence doit toujours être de mise.
Par le soir
Ainsi, un citoyen roulant à bord de sa Toyota Hilux, tôt ce 1er mars à 6 h, sur le chemin reliant Beni-Douala à Beni-Zmenzer, a été délesté de son véhicule par un groupe d’individus armés dans un faux barrage. La victime, commerçant de son état, a également perdu de l’argent et son téléphone mobile. Une plainte a été, d’ailleurs, déposée immédiatement après les faits auprès des services de sécurité compétents.
Pour mémoire, une autre camionnette avait été dérobée à un chauffeur travaillant pour une entreprise de travaux publics, au lieudit Tizi- Lillane sur le CW147, dans la commune de Maâtkas, tout récemment. La victime, qui a commis l’imprudence de laisser le moteur allumé pendant qu’elle prenait un thé dans un café du village, a vu son véhicule démarrer en trombe, conduit par un individu qui a surgi d’on ne sait où.
Au village Takhribt, toujours dans la commune de Maâtkas, une Renault Express a été également volée, il y a de cela quelques semaines. Tout porte à croire que ce sont les mêmes individus qui ont procédé à ces actes répréhensibles, d’autant plus qu’ils opèrent avec le visage encagoulé. Mais le comble, c’est la facilité avec laquelle ce gang arrive à dissimuler ou à transporter sa «marchandise».
Il convient de souligner que ces malfaiteurs, spécialisés dans le blanchiment d’argent, en revendant en pièces détachées des véhicules volés ou en trafiquant de nouveaux numéros de chassis dans de véritables cavernes d’Ali Baba (caches et casses secrètes) travaillent, selon une source généralement au fait de la situation sécuritaire, de connivence avec les terroristes d’Al Qaïda. C’est dire que, malgré les coups de boutoir assénés ces derniers temps au grand banditisme et aux groupes terroristes par les services de sécurité, il n’en demeure pas moins que ces réseaux de criminels se régénèrent d’une manière très atavique.
Les routes et quelques chemins vicinaux du sud de la wilaya de Tizi-Ouzou sont redevenus, en l’espace de quelques semaines, de véritables coupe-gorges particulièrement durant la nuit. Inutile de rappeler que la prudence doit toujours être de mise.
Par le soir