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Encore une fois je prend ma plume pour parler, pour parler des choses qui me touchent...
Ma premiére réflexion sera sur les choses et les gens, les gens ? ceux qui habillent nos regards d'émotions diverses, la colère, la joie, la peur...
Les gens qui marchent, sur les trottoirs aménager a cet effet, qui ne soucient presque plus de la vie-même.
Comme si l'avenir était qu'un point dans l'horizon que l'on devait atteindre, comme si la joie et le bonheur ne devait pas être immédiat, que l'on devait attendre pour être heureux.
Attendre quoi ? Les vacances ? Le Week-end ? La retraite...La mort ?
Mais que doivent attendre les gens sans emploi, il n'on n'y vacances ni Week-End à attendre, alors, qu'attendent-ils, un emploi ? Oui, surement mais aprés l'emploi il ne seront semblables qu'a ceux qui attendent leurs vacances, ils ne passent que d'un moule à un autre, d'un formatage à un autre, d'un modéle à un autre.
Et moi quesque j'attend ? Moi j'attend le bus, le 173 qui m'amenera à la gare, et de cette gare je prendrais le train, et la conscience soigneusement corrompue j'ouvrirais la porte de ma maison l'air satisfait, et je m'endormirais car j'aurais mériter ce repos...oui, un repos bien mériter. Et qui peut bien me blâmer.
Qui me dira que je suis mauvais ?
J'ai attendu le train, j'ai vu les gens aussi fatigué que moi les regards que nous nous échangions faisait de nous des fréres, une force nous liaient, alors si je veux m'assoir on me fera de la place et notre peau ne fera qu'une et notre sueur jaillira de la même source.
Qui me dira que j'ai tort ?
Mais j'attends, suis-je pour autant attentiste, suis-je pourtant sans ambitions, l'ambition ultime n'est elle pas finalement la quête étérnelle du repos de l'ame, ou l'on arrive a s'endormir sans qu'elle nous demande des comptes.
Mais je comprend, j'ai compris qu'il etait vital d'avoir cette integrité, cette legitimité au bonheur, puisque je suis là, puisque je suis humain pourquoi ne pas faire en sorte de vivre en bonne intelligence avec cette peau qui m'enveloppe.
Alors qui peut nous blamer d'attendre les vacances le Week-End, et meme celui qui attend la mort..
Me viennent à l'esprit d'autres images, d'autre réactions.
Cannes le festival, les marches, le tapis rouge, les robes channel...
Je me suis mis devant mon téléviseur, plutôt le télé-viseur ou une tache rouge vise mon coeur, mais ma clairvoyance fait devié ce rayon...
Les marches, l'art oui ok je veux bien, le cinéma ...
Mais pourquoi tant de folklore ce fric ces soirée VIP ces filles a poils, hein ces injection de colagéne, a quoi cela rime ??
Ceux là on ils oublier que derriére les cameras où il tremoussent leurs jolis petites fesses, il existe une population moins aisée, dans leurs studio ou l'humidité s'est déja chargé de decollé le papier des murs, où les lettres de l'huissier de justice jonchent le sol.
Ceux qui vous regardent ne sont pas du même rang, alors oui j'ai beau me dire "les lumiéres ne sont pas les mêmes" les décorations aussi là-bas on ne prend pas de bus, c'est sur.
Mais c'est l'éxès qui me révolte, pourquoi balancer ces images a grand renfort de clichés et de plans de caméras à la face d'hommes et de femmes qui vivent sous le seuil de pauvreté. Avec peut être 200 euros pour vivre...
Pour cette population sa sera un "Joséphine, ange gardien" et au lit !!!, on régle le reveil a 4h30 et en avant la bête !!!
Et apres on vient vous dire "L'inégalité entre couches sociales tend à diminuer", difficile de ne pas couvrir de malédiction l'auteur de tel propos.
Je dis que l'éxés, les caprices en compraisons au reste de la population est une insulte à la dignité humaine.
Ni plus, ni moins.
Une dernière réflexion, dans la region parisienne dans un centre commercial de proche banlieue une célèbre agence de mannequinat a organisé une journée de "detection", bien que cela soit une chose louable ( 3 sélectionnées sur plus de 70 candidates tout de même...) un commentaire du journaliste retient mon attention il disait :
"_ La tendance de nos jours et de mettre le projecteur sur les cités,
En effet un grand vivier de talent sort des cités"
Et le journaliste de continuer a associé le mot "cité" au mot "jeunes", et les "jeunes des cités" par ci les "jeunes des cités" par là.
Et de cité les exemples : Jamel debbouze, Zidane, Thuram et autre Grand corps malade.
Je dis, ne soyez pas dupe vos coup de projecteurs sur les murs gris des cités est totalement interssé, votre opportunisme est sans limites, et cela les jeunes on trés bien compris le buisness dans lequel vous les embarquez et ils embarquerons avec vous volontiers...
Mais.
Jamais vous ne comprenez réellement l'ampleur de la chose, pour bien saisir le microcosme "banlieue" il aura fallu au préalable usé vos basket sur les terrains en pierre, être aller a l'ecole avec des flics à l'entrée, vous être fait chopper à Leclerc, des malabars pleins les poches, avoir été ecouter "Nique la police" d' NTM dans une MGC une casquette vissé sur le crane...j'abuse un peu mais ce que je veut dire par là c'est que pour croire que du jour au lendemain la banlieue vous ouvrira ces porte aussi facilement qu'un coup de projo alors vous faites une erreur lamentable, et vous avez grandement sous-estimé la rue.
Parce qu'apres avoir limité la banlieue a un ramassis d'immigrés et de voyous, de chômeurs vivant sur le dos de l'etat, vous pensez que comme si de rien n'etait vous alliez vous pointez avec votre matos dans nos bâtiments et nous tenir de beau discours.
Ne croyez pas que je ne sois pas pour l'ouverture de la banlieue, cette ouverture ça fait longtemps qu'on l'espere mais juste les méthodes utilisé sont grosses commes des camions j'avais imaginer une entrée en matiere un peu plus douce ou plutôt moins vulgaire.
Venir vendre du rêve dans un centre commerciales pour jeunes ado pré-puberes et n'en séléctionné que trois et dire aux autres qu'elles ne conviennent pas, je m'excuse mais je trouve ça un peu limite...
Pour finir un hommage a un Luc besson qui nous a projeté un film du festival de cannes dans mon quartier, ma cité plongé dans ce film ou les dialogue ricochaient sur les murs, c'est énorme de faire cela.
Un peu gros mais c'est de l'art et mon âme de poète y fut très sensible...
Donc félicitation à Luc besson pour son initiative.
Ici s'achève cette réflexion, ma réflexion, ma pensé profonde sur ces événements vous avez le droit de ne pas être d'accord, lol
Mais je devait me vider de ces sentiments,
Je devait faire la "vidange de mon âme" en quelque sorte...lol
Merci d'avoir lu
C'est un ancien de mes textes, mais tout de même voulu vous le faire partager
Ma premiére réflexion sera sur les choses et les gens, les gens ? ceux qui habillent nos regards d'émotions diverses, la colère, la joie, la peur...
Les gens qui marchent, sur les trottoirs aménager a cet effet, qui ne soucient presque plus de la vie-même.
Comme si l'avenir était qu'un point dans l'horizon que l'on devait atteindre, comme si la joie et le bonheur ne devait pas être immédiat, que l'on devait attendre pour être heureux.
Attendre quoi ? Les vacances ? Le Week-end ? La retraite...La mort ?
Mais que doivent attendre les gens sans emploi, il n'on n'y vacances ni Week-End à attendre, alors, qu'attendent-ils, un emploi ? Oui, surement mais aprés l'emploi il ne seront semblables qu'a ceux qui attendent leurs vacances, ils ne passent que d'un moule à un autre, d'un formatage à un autre, d'un modéle à un autre.
Et moi quesque j'attend ? Moi j'attend le bus, le 173 qui m'amenera à la gare, et de cette gare je prendrais le train, et la conscience soigneusement corrompue j'ouvrirais la porte de ma maison l'air satisfait, et je m'endormirais car j'aurais mériter ce repos...oui, un repos bien mériter. Et qui peut bien me blâmer.
Qui me dira que je suis mauvais ?
J'ai attendu le train, j'ai vu les gens aussi fatigué que moi les regards que nous nous échangions faisait de nous des fréres, une force nous liaient, alors si je veux m'assoir on me fera de la place et notre peau ne fera qu'une et notre sueur jaillira de la même source.
Qui me dira que j'ai tort ?
Mais j'attends, suis-je pour autant attentiste, suis-je pourtant sans ambitions, l'ambition ultime n'est elle pas finalement la quête étérnelle du repos de l'ame, ou l'on arrive a s'endormir sans qu'elle nous demande des comptes.
Mais je comprend, j'ai compris qu'il etait vital d'avoir cette integrité, cette legitimité au bonheur, puisque je suis là, puisque je suis humain pourquoi ne pas faire en sorte de vivre en bonne intelligence avec cette peau qui m'enveloppe.
Alors qui peut nous blamer d'attendre les vacances le Week-End, et meme celui qui attend la mort..
Me viennent à l'esprit d'autres images, d'autre réactions.
Cannes le festival, les marches, le tapis rouge, les robes channel...
Je me suis mis devant mon téléviseur, plutôt le télé-viseur ou une tache rouge vise mon coeur, mais ma clairvoyance fait devié ce rayon...
Les marches, l'art oui ok je veux bien, le cinéma ...
Mais pourquoi tant de folklore ce fric ces soirée VIP ces filles a poils, hein ces injection de colagéne, a quoi cela rime ??
Ceux là on ils oublier que derriére les cameras où il tremoussent leurs jolis petites fesses, il existe une population moins aisée, dans leurs studio ou l'humidité s'est déja chargé de decollé le papier des murs, où les lettres de l'huissier de justice jonchent le sol.
Ceux qui vous regardent ne sont pas du même rang, alors oui j'ai beau me dire "les lumiéres ne sont pas les mêmes" les décorations aussi là-bas on ne prend pas de bus, c'est sur.
Mais c'est l'éxès qui me révolte, pourquoi balancer ces images a grand renfort de clichés et de plans de caméras à la face d'hommes et de femmes qui vivent sous le seuil de pauvreté. Avec peut être 200 euros pour vivre...
Pour cette population sa sera un "Joséphine, ange gardien" et au lit !!!, on régle le reveil a 4h30 et en avant la bête !!!
Et apres on vient vous dire "L'inégalité entre couches sociales tend à diminuer", difficile de ne pas couvrir de malédiction l'auteur de tel propos.
Je dis que l'éxés, les caprices en compraisons au reste de la population est une insulte à la dignité humaine.
Ni plus, ni moins.
Une dernière réflexion, dans la region parisienne dans un centre commercial de proche banlieue une célèbre agence de mannequinat a organisé une journée de "detection", bien que cela soit une chose louable ( 3 sélectionnées sur plus de 70 candidates tout de même...) un commentaire du journaliste retient mon attention il disait :
"_ La tendance de nos jours et de mettre le projecteur sur les cités,
En effet un grand vivier de talent sort des cités"
Et le journaliste de continuer a associé le mot "cité" au mot "jeunes", et les "jeunes des cités" par ci les "jeunes des cités" par là.
Et de cité les exemples : Jamel debbouze, Zidane, Thuram et autre Grand corps malade.
Je dis, ne soyez pas dupe vos coup de projecteurs sur les murs gris des cités est totalement interssé, votre opportunisme est sans limites, et cela les jeunes on trés bien compris le buisness dans lequel vous les embarquez et ils embarquerons avec vous volontiers...
Mais.
Jamais vous ne comprenez réellement l'ampleur de la chose, pour bien saisir le microcosme "banlieue" il aura fallu au préalable usé vos basket sur les terrains en pierre, être aller a l'ecole avec des flics à l'entrée, vous être fait chopper à Leclerc, des malabars pleins les poches, avoir été ecouter "Nique la police" d' NTM dans une MGC une casquette vissé sur le crane...j'abuse un peu mais ce que je veut dire par là c'est que pour croire que du jour au lendemain la banlieue vous ouvrira ces porte aussi facilement qu'un coup de projo alors vous faites une erreur lamentable, et vous avez grandement sous-estimé la rue.
Parce qu'apres avoir limité la banlieue a un ramassis d'immigrés et de voyous, de chômeurs vivant sur le dos de l'etat, vous pensez que comme si de rien n'etait vous alliez vous pointez avec votre matos dans nos bâtiments et nous tenir de beau discours.
Ne croyez pas que je ne sois pas pour l'ouverture de la banlieue, cette ouverture ça fait longtemps qu'on l'espere mais juste les méthodes utilisé sont grosses commes des camions j'avais imaginer une entrée en matiere un peu plus douce ou plutôt moins vulgaire.
Venir vendre du rêve dans un centre commerciales pour jeunes ado pré-puberes et n'en séléctionné que trois et dire aux autres qu'elles ne conviennent pas, je m'excuse mais je trouve ça un peu limite...
Pour finir un hommage a un Luc besson qui nous a projeté un film du festival de cannes dans mon quartier, ma cité plongé dans ce film ou les dialogue ricochaient sur les murs, c'est énorme de faire cela.
Un peu gros mais c'est de l'art et mon âme de poète y fut très sensible...
Donc félicitation à Luc besson pour son initiative.
Ici s'achève cette réflexion, ma réflexion, ma pensé profonde sur ces événements vous avez le droit de ne pas être d'accord, lol
Mais je devait me vider de ces sentiments,
Je devait faire la "vidange de mon âme" en quelque sorte...lol
Merci d'avoir lu
C'est un ancien de mes textes, mais tout de même voulu vous le faire partager
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