Les Etats-Unis vont rapidement dépêcher deux hauts responsables en Syrie, a affirmé mardi la secrétaire d'Etat Hillary Clinton, lors de sa première visite au Proche-Orient.
"Nous allons envoyer un représentant du Département d'Etat et un autre de la Maison Blanche pour examiner avec la Syrie des questions bilatérales", a affirmé la chef de la diplomatie américaine à Jérusalem.
Selon un responsable américain, Jeffrey Feltman, secrétaire d'Etat adjoint par intérim au Proche-Orient, et Daniel Shapiro, conseiller à la sécurité nationale chargé du Proche-Orient à la Maison Blanche, qui voyagent avec Mme Clinton, se rendront à Damas après la fin de la visite, mercredi, de la secrétaire d'Etat en Israël et dans les territoires palestiniens.
Mme Clinton, qui s'exprimait au cours d'une conférence de presse commune avec son homologue israélienne Tzipi Livni, a souligné que les deux responsables allaient s'entretenir avec les autorités syriennes d'un "certain nombre de questions" intéressant les deux pays.
"Nous n'avons aucun moyen de prédire l'avenir de nos relations avec la Syrie", a-t-elle noté. "Mais je pense que cela vaut le coup d'y aller et d'entamer ces conversations préliminaires".
"Nous ne dialoguons pas pour le plaisir de discuter, il faut qu'il y ait un objectif et la perception d'un bénéfice possible, notamment pour les Etats-Unis et leurs alliés", a-t-elle souligné.
Mme Clinton a rappelé que l'ambassadeur de Syrie à Washington, Imad Moustapha, avait eu un long entretien la semaine dernière au département d'Etat avec M. Feltman.
Les deux pays entretiennent des relations diplomatiques mais celles-ci sont tendues depuis l'assassinat en 2005 du dirigeant libanais Rafic Hariri, pour lequel le régime syrien a été pointé du doigt.
Mme Clinton s'est brièvement entretenue avec son homologue syrien Walid Mouallem en marge de la conférence des donateurs pour la bande de Gaza lundi à Charm el-Cheikh (Egypte), selon M. Mouallem, qui s'en est dit "très heureux".
L'ex-secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice a rencontré M. Mouallem a plusieurs reprises, la dernière fois en septembre à New York, en marge de l'Assemblée générale de l'ONU.
source : AFP
"Nous allons envoyer un représentant du Département d'Etat et un autre de la Maison Blanche pour examiner avec la Syrie des questions bilatérales", a affirmé la chef de la diplomatie américaine à Jérusalem.
Selon un responsable américain, Jeffrey Feltman, secrétaire d'Etat adjoint par intérim au Proche-Orient, et Daniel Shapiro, conseiller à la sécurité nationale chargé du Proche-Orient à la Maison Blanche, qui voyagent avec Mme Clinton, se rendront à Damas après la fin de la visite, mercredi, de la secrétaire d'Etat en Israël et dans les territoires palestiniens.
Mme Clinton, qui s'exprimait au cours d'une conférence de presse commune avec son homologue israélienne Tzipi Livni, a souligné que les deux responsables allaient s'entretenir avec les autorités syriennes d'un "certain nombre de questions" intéressant les deux pays.
"Nous n'avons aucun moyen de prédire l'avenir de nos relations avec la Syrie", a-t-elle noté. "Mais je pense que cela vaut le coup d'y aller et d'entamer ces conversations préliminaires".
"Nous ne dialoguons pas pour le plaisir de discuter, il faut qu'il y ait un objectif et la perception d'un bénéfice possible, notamment pour les Etats-Unis et leurs alliés", a-t-elle souligné.
Mme Clinton a rappelé que l'ambassadeur de Syrie à Washington, Imad Moustapha, avait eu un long entretien la semaine dernière au département d'Etat avec M. Feltman.
Les deux pays entretiennent des relations diplomatiques mais celles-ci sont tendues depuis l'assassinat en 2005 du dirigeant libanais Rafic Hariri, pour lequel le régime syrien a été pointé du doigt.
Mme Clinton s'est brièvement entretenue avec son homologue syrien Walid Mouallem en marge de la conférence des donateurs pour la bande de Gaza lundi à Charm el-Cheikh (Egypte), selon M. Mouallem, qui s'en est dit "très heureux".
L'ex-secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice a rencontré M. Mouallem a plusieurs reprises, la dernière fois en septembre à New York, en marge de l'Assemblée générale de l'ONU.
source : AFP
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