Les sources responsables ont révélé que le Gouvernement algérien subit de grandes pressions par des laboratoires étrangers, afin d’annuler la liste de médicaments interdits d’importation. Cela intervient après que 3 de ces laboratoires ont annoncé qu’ils se sont retirés du marché algérien et créer ainsi une crise d’approvisionnement en médicaments sensibles, dont la plupart sont distribués uniquement dans les hôpitaux.
Selon les mêmes sources, les laboratoires étrangers ont mené une compagne féroce, à la fin de l’année 2005, contre l’Algérie pour la mener à annuler la liste des médicaments localement produits et interdits d’importation, en bloquant l’adhésion de l’Algérie à l’Organisation Mondiale du Commerce. Ces derniers ont déposé une plainte où ils ont accusé le Gouvernement algérien à abandonner ses engagements qu’elle a tenu dans le cadre de ses négociations avec l’OMC. Le Gouvernement algérien a été, alors, forcé de céder à ces pressions et menaces et a, effectivement, annulé cette liste.
Nos sources nous ont révélé que c’est le même scénario qui se répète actuellement et que le Gouvernement subi actuellement de grandes pressions depuis qu’il a publié la liste comprenant 340 médicaments interdits d’importations.
Alors que plusieurs laboratoires ont menacé de se retirer du marché algérien, d’autres oeuvrent à bloquer les conventions que l’Algérie va signer avec l’Union Européenne.
Toutes ces pressions finiront forcément par mettre les autorités algériennes devant le fait accompli et d’abandonner cette liste afin d’éviter de grands problèmes qui seront difficiles à maîtriser ou à gérer.
04-03-2009
Elkhabar
Selon les mêmes sources, les laboratoires étrangers ont mené une compagne féroce, à la fin de l’année 2005, contre l’Algérie pour la mener à annuler la liste des médicaments localement produits et interdits d’importation, en bloquant l’adhésion de l’Algérie à l’Organisation Mondiale du Commerce. Ces derniers ont déposé une plainte où ils ont accusé le Gouvernement algérien à abandonner ses engagements qu’elle a tenu dans le cadre de ses négociations avec l’OMC. Le Gouvernement algérien a été, alors, forcé de céder à ces pressions et menaces et a, effectivement, annulé cette liste.
Nos sources nous ont révélé que c’est le même scénario qui se répète actuellement et que le Gouvernement subi actuellement de grandes pressions depuis qu’il a publié la liste comprenant 340 médicaments interdits d’importations.
Alors que plusieurs laboratoires ont menacé de se retirer du marché algérien, d’autres oeuvrent à bloquer les conventions que l’Algérie va signer avec l’Union Européenne.
Toutes ces pressions finiront forcément par mettre les autorités algériennes devant le fait accompli et d’abandonner cette liste afin d’éviter de grands problèmes qui seront difficiles à maîtriser ou à gérer.
04-03-2009
Elkhabar
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