Après la fermeture des unités industrielles de fabrication de produits agricoles
Le front social perd 100 milles emplois
Les cinq dernières années ont enregistré une importante chute dans la production de tomates industrielles dans les wilayas productrices, à savoir Annaba, El Taref, Skikda et Guelma. 14 sur 19 unités de transformation et la conservation de tomates ont été fermées, et la superficie de 30 milles hectares, qui permettait la création de pas moins de 100 milles postes d’emploi par année, a été réduite à 9 milles hectares.
Les experts agriculteurs relevant du domaine des conserves, ont estimé à l’unanimité que les différentes formes d’aides de l’état qui ont été destinées aux agriculteurs afin de rendre la gloire, perdue, à la tomate industrielle, ont échouées durant la dernière décennie.
Les fonds de soutien ont versé des tonnes de production avariée dans les cols, les rivières et les routes à cause de la faiblesse de la capacité de la conservation, après la fermeture de ces 14 unités industrielles, reparties dans les wilayas productrices.
La culture de la tomate industrielle occupait, 10 années auparavant, une superficie de 30 milles hectares dans les wilayas productrices du Nord-Est pour un nombre de 5000 agriculteurs producteurs, et ce, à partir de la préparation de leurs pépinières, durant le mois de janvier jusqu'au mois de Mars qui est le mois de la plantation, pour les cueillir durant les derniers jours du mois de Juin, et enfin les commercialiser, durant la période qui s’étend jusqu’à la fin du mois d’Août. Cela permettait la création de plus de 100 milles postes d’emploi pour une durée de 8 mois. La plupart de cette main d’œuvre faisait partie de la classe sociale pauvre des quartiers avoisinant les terres agricoles, et cette culture attirait, durant les vacances scolaires estivales,15 milles enfants scolarisés et 500 étudiants faisant partie des familles les plus démunies.
Elkhabar
Le front social perd 100 milles emplois
Les cinq dernières années ont enregistré une importante chute dans la production de tomates industrielles dans les wilayas productrices, à savoir Annaba, El Taref, Skikda et Guelma. 14 sur 19 unités de transformation et la conservation de tomates ont été fermées, et la superficie de 30 milles hectares, qui permettait la création de pas moins de 100 milles postes d’emploi par année, a été réduite à 9 milles hectares.
Les experts agriculteurs relevant du domaine des conserves, ont estimé à l’unanimité que les différentes formes d’aides de l’état qui ont été destinées aux agriculteurs afin de rendre la gloire, perdue, à la tomate industrielle, ont échouées durant la dernière décennie.
Les fonds de soutien ont versé des tonnes de production avariée dans les cols, les rivières et les routes à cause de la faiblesse de la capacité de la conservation, après la fermeture de ces 14 unités industrielles, reparties dans les wilayas productrices.
La culture de la tomate industrielle occupait, 10 années auparavant, une superficie de 30 milles hectares dans les wilayas productrices du Nord-Est pour un nombre de 5000 agriculteurs producteurs, et ce, à partir de la préparation de leurs pépinières, durant le mois de janvier jusqu'au mois de Mars qui est le mois de la plantation, pour les cueillir durant les derniers jours du mois de Juin, et enfin les commercialiser, durant la période qui s’étend jusqu’à la fin du mois d’Août. Cela permettait la création de plus de 100 milles postes d’emploi pour une durée de 8 mois. La plupart de cette main d’œuvre faisait partie de la classe sociale pauvre des quartiers avoisinant les terres agricoles, et cette culture attirait, durant les vacances scolaires estivales,15 milles enfants scolarisés et 500 étudiants faisant partie des familles les plus démunies.
Elkhabar
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