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Grupo Aresa international s’installe en Algérie

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  • Grupo Aresa international s’installe en Algérie

    La compagnie nautique espagnole Grupo Aresa International, qui a déjà vendu à l’Algérie 40 bateaux de pêche d’une valeur de 32 millions d’euros, une moyenne de 800 000 euros l’unité, dont des chalutiers, des sardiniers et des thoniers, vendus à des particuliers et sont opérationnels tout le long du littoral algérien, d’Est en Ouest, à savoir Ghazaouet, Mostaganem, Cherchell, Bouharoun, Skikda et Annaba, vient de s’installer en AlgérieDans un souci de renforcer davantage sa position sur le marché national et aider à la prospérité du secteur de la pêche, cette compagnie a ouvert une délégation en Algérie sous la dénomination «Sermar Algérie», avec un investissement initial de 60 000 euros. A l’occasion, une conférence de presse a été animée conjointement par le président du Grupo Aresa, M. Oscar Lopez, et le directeur de la nouvelle délégation de Sermar Algérie, M. Kamel Rehiou, en marge du Salon international de la pêche et de l’aquaculture qui se tient au palais des expositions aux Pins Maritimes.
    La conférence a eu pour but d’annoncer justement l’inauguration de la délégation et les projets de la compagnie en Algérie.
    Dans un premier temps, souligne M. Lopez, il s’agit d’offrir des services au secteur de la pêche et d’accompagner les pêcheurs, et même de transmettre le savoir-faire et l’expertise d’Aresa, avant d’aller vers l’installation, pourquoi pas, d’un chantier naval dans notre pays. Le président d’Aresa a fait savoir que sa compagnie a beaucoup de relations et de clients en Algérie, et que «c’est pour renforcer sa présence sur le marché national qu’elle a opté pour l’ouverture d’une délégation en Algérie». C’est aussi, ajoute-t-il, une façon d’accompagner la politique du secteur de la pêche en Algérie et de participer à sa stabilité. D’ailleurs, des contacts en ce sens sont en train d’être établis avec les autorités concernées. L’ambition du groupe est d’être «une entreprise de référence, pas seulement dans le domaine de la construction de bateaux de pêche mais aussi des bateaux de transport de passagers». Au sujet des parts de marché de la compagnie en Algérie, son premier responsable a déclaré que notre pays représente une part très importante de sa production, environ 15 à 20%. Son chiffre d’affaires était estimé à environ 28 millions d’euros en 2007, et à 40 millions d’euros en 2008. En Algérie, «ce n’est pas tant le chiffre d’affaires qui intéresse la compagnie puisque, de toute façon, il est difficile de l’évaluer au commencement, mais plutôt les services qui peuvent être fournis», déclare M. Lopez, qui ajoute que «notre intérêt c’est d’abord l’implantation des services et donner confiance à tous nos partenaires en les aidant à résoudre tous les problèmes qu’ils peuvent rencontrer». Il s’agira en somme d’«accompagner les clients depuis le choix du bateau, son achat et son entretien et jusqu’à son exploitation».

    B. A. La Tribune
    There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

  • #2
    que du commerce, pas de perpective de voir un jour sortir des bateaux fait sur place; ils faut que les Algériens se lancent dans le domaine, il n'y a rien à attendre des étrangers.
    Mr NOUBAT

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    • #3
      tres bonne chose et tres bonne nouvelle. il faut revenir a la construction naval.

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      • #4
        que du commerce, pas de perpective de voir un jour sortir des bateaux fait sur place; ils faut que les Algériens se lancent dans le domaine, il n'y a rien à attendre des étrangers.
        Exact, les colonisateurs chasses par la porte reviennent par la fenetre.

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