Karim Djoudi, ministre des finances, à propos des transferts de fonds à l’étranger:
Finalement, les très graves révélations faites à propos de nombreux transferts de fonds illégaux opérés par Djezzy vers l’étranger n’étaient pas de la rumeur.
Le ministre des Finances, Karim Djoudi a dans des déclarations, ne souffrant aucuns ambages admis en filigrane que Djezzy a bel et bien eu recours à ce genre de pratiques délictueuses.
En marge de la cérémonie de mise en place de la caisse nationale de suivi et de financement des investissements, le responsable algérien a en effet annoncé « la création d’organismes spéciaux chargés exclusivement de surveiller chez Djezzy et aussi chez d’autres opérateurs étrangers, les opérations de transfert de fonds vers leurs maisons-mères ».
Cette annonce a sans doute dû donner des sueurs froides aux responsables de Djezzy au moment où cette entreprise donne l’air de parer surtout au plus pressé.
Des compressions d’effectifs dans certains postes non essentiels, telle que la sécurité, nous sont en effet signalés. Dans le même temps, et après le départ de l’incontournable directeur technique, sans lequel Djezzy trouve de plus en plus de difficultés à fonctionner correctement, de nombreuses démissions de techniciens hautement qualifiés, démoralisé par le climat actuel qui règne au sein de cette boîte, auraient eux aussi déposé leurs démissions.
Djezzy, est-il besoin de le rappeler, a commencé à vivre des crises à répétition après un départ opéré sur les chapeaux de roues à cause de sa position de monopole de l’époque, ainsi que ses tarifs prohibitifs qui lui avaient permis de récolter un véritable trésor.
Djezzy a commencé à essuyer les revers, entrant même en conflit ouvert avec l’Autorité de régulation depuis que des changements salutaires ont été opérés à la tête de ce secteur et qu’il a été épinglé dans différentes décisions pour pratiques anti-concurrentielles et d’abus flagrant de sa position dominante au sein du marché algérien de la téléphonie mobile.
Ayant cessé d’investir depuis bientôt deux années, espérant revendre « l’affaire » depuis que le vent a commencé à tourner pour lui, Djezzy a fini par admettre être dépassé sur le plan technique dès le moment où il avait lancé son offre millenium.
Par la suite, les choses ont empiré pour Djezzy lorsque les services compétents, flairant anguille sous roche, ont commencé à enquêter sur ces fameuses affaires, pour ne pas dire scandales à répétition, liées à des transferts de fonds vers l’étranger.
La somme globale serait équivalente à plus d’un milliard de dollars. Mais comme un malheur ne vient que rarement seul, voilà que l’agression sauvage dont a été victime Ghaza a coïncidé avec une très vaste campagne appelant à boycotter les produits Orascom, dont sa filiale algérienne.
La raison en était toute simple : Orascom constitue le plus important investisseur arabe au sein d’une entreprise sioniste, à hauteur de 150 millions de dollars. Les départs massifs d’abonnés ont été accentués par la suite lorsque Nedjma a lancé son offre révolutionnaire, la formule « Free ».
Cela a eu pour conséquences, au demeurant dénuées d’effets, de déclencher une cabale basée sur des propos diffamatoires et mensongers à l’encontre de Nedjma.
Son premier responsable, au demeurant expert en communication, y a mis un terme définitif en rencontrant les représentants de la presse pour mettre les points sur les « i ».
Finalement, les très graves révélations faites à propos de nombreux transferts de fonds illégaux opérés par Djezzy vers l’étranger n’étaient pas de la rumeur.
Le ministre des Finances, Karim Djoudi a dans des déclarations, ne souffrant aucuns ambages admis en filigrane que Djezzy a bel et bien eu recours à ce genre de pratiques délictueuses.
En marge de la cérémonie de mise en place de la caisse nationale de suivi et de financement des investissements, le responsable algérien a en effet annoncé « la création d’organismes spéciaux chargés exclusivement de surveiller chez Djezzy et aussi chez d’autres opérateurs étrangers, les opérations de transfert de fonds vers leurs maisons-mères ».
Cette annonce a sans doute dû donner des sueurs froides aux responsables de Djezzy au moment où cette entreprise donne l’air de parer surtout au plus pressé.
Des compressions d’effectifs dans certains postes non essentiels, telle que la sécurité, nous sont en effet signalés. Dans le même temps, et après le départ de l’incontournable directeur technique, sans lequel Djezzy trouve de plus en plus de difficultés à fonctionner correctement, de nombreuses démissions de techniciens hautement qualifiés, démoralisé par le climat actuel qui règne au sein de cette boîte, auraient eux aussi déposé leurs démissions.
Djezzy, est-il besoin de le rappeler, a commencé à vivre des crises à répétition après un départ opéré sur les chapeaux de roues à cause de sa position de monopole de l’époque, ainsi que ses tarifs prohibitifs qui lui avaient permis de récolter un véritable trésor.
Djezzy a commencé à essuyer les revers, entrant même en conflit ouvert avec l’Autorité de régulation depuis que des changements salutaires ont été opérés à la tête de ce secteur et qu’il a été épinglé dans différentes décisions pour pratiques anti-concurrentielles et d’abus flagrant de sa position dominante au sein du marché algérien de la téléphonie mobile.
Ayant cessé d’investir depuis bientôt deux années, espérant revendre « l’affaire » depuis que le vent a commencé à tourner pour lui, Djezzy a fini par admettre être dépassé sur le plan technique dès le moment où il avait lancé son offre millenium.
Par la suite, les choses ont empiré pour Djezzy lorsque les services compétents, flairant anguille sous roche, ont commencé à enquêter sur ces fameuses affaires, pour ne pas dire scandales à répétition, liées à des transferts de fonds vers l’étranger.
La somme globale serait équivalente à plus d’un milliard de dollars. Mais comme un malheur ne vient que rarement seul, voilà que l’agression sauvage dont a été victime Ghaza a coïncidé avec une très vaste campagne appelant à boycotter les produits Orascom, dont sa filiale algérienne.
La raison en était toute simple : Orascom constitue le plus important investisseur arabe au sein d’une entreprise sioniste, à hauteur de 150 millions de dollars. Les départs massifs d’abonnés ont été accentués par la suite lorsque Nedjma a lancé son offre révolutionnaire, la formule « Free ».
Cela a eu pour conséquences, au demeurant dénuées d’effets, de déclencher une cabale basée sur des propos diffamatoires et mensongers à l’encontre de Nedjma.
Son premier responsable, au demeurant expert en communication, y a mis un terme définitif en rencontrant les représentants de la presse pour mettre les points sur les « i ».
Mohamed Abdoun
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