COMMUNIQUÉ DU RCD
Comme prévu, les menaces et autres pressions directes ou indirectes sur le RCD n’ont pas manqué de se produire avant même l’ouverture officielle d’une campagne électorale discréditée à l’intérieur et à l’extérieur du pays. Ces manœuvres, compte tenu de leur ampleur, n’ont eu que des effets périphériques sur le collectif militant. Les provocations et autres offres promotionnelles sont des classiques qui rythment les rapports entre le pouvoir et l’opposition, notamment dans des périodes de recomposition clanique.
Cependant, l'illégalité et l’indignité de ces méthodes qui font de l’administration un instrument de délinquance politique ne justifient en rien le reniement d’un militant, a fortiori quand il est élu ou responsable. Le pouvoir sait que le RCD s’oppose à sa gestion et ses pratiques et qu’il dénie à son premier responsable le rôle d’arbitre et de recours auquel peuvent légitimement prétendre les dirigeants issus de la volonté citoyenne librement exprimée et respectueux de l’Etat de droit. En cette phase critique pour le destin de la nation, le patriotisme exige de chacun détermination et mobilisation contre un régime qui a stérilisé le pays, déstabilisé l’Etat et humilié la nation. Le RCD, issu des luttes qui ont préfiguré les acquis démocratiques, est préparé depuis longtemps à assumer ses responsabilités.
Alger, le 4 mars 2009
Comme prévu, les menaces et autres pressions directes ou indirectes sur le RCD n’ont pas manqué de se produire avant même l’ouverture officielle d’une campagne électorale discréditée à l’intérieur et à l’extérieur du pays. Ces manœuvres, compte tenu de leur ampleur, n’ont eu que des effets périphériques sur le collectif militant. Les provocations et autres offres promotionnelles sont des classiques qui rythment les rapports entre le pouvoir et l’opposition, notamment dans des périodes de recomposition clanique.
Cependant, l'illégalité et l’indignité de ces méthodes qui font de l’administration un instrument de délinquance politique ne justifient en rien le reniement d’un militant, a fortiori quand il est élu ou responsable. Le pouvoir sait que le RCD s’oppose à sa gestion et ses pratiques et qu’il dénie à son premier responsable le rôle d’arbitre et de recours auquel peuvent légitimement prétendre les dirigeants issus de la volonté citoyenne librement exprimée et respectueux de l’Etat de droit. En cette phase critique pour le destin de la nation, le patriotisme exige de chacun détermination et mobilisation contre un régime qui a stérilisé le pays, déstabilisé l’Etat et humilié la nation. Le RCD, issu des luttes qui ont préfiguré les acquis démocratiques, est préparé depuis longtemps à assumer ses responsabilités.
Alger, le 4 mars 2009
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