Crépuscule
J'ai écrit au crépuscule du jour
Une poésie sans inspiration
Ma plume en dernier recours
J'ai repris ma respiration
Potence funèbre, exil bancal
Tempête fluviale, axe primordial
Civilise la haine de cet air radical
Jouxtant la maison d'un être jovial
Pourpre des consciences calquées
Sur milles et une cloisons dardées
Par nos mais trop liées
Comme on traite les fous a liés
Fictions millimétrés aux aurores
Coucher de soleil sur pisse jaunâtre
Projetant sur la mer le bel âtre
Qui vous montre ses dents en or
Pixélisation des sentiments sur écran
Plasma, elle s'appelle Asma sans placenta
Place entre nous un voile tout blanc
C'est toujours mieux que ces odeurs magenta
Parcourus les chemins tel un traine-savate
Je suis semblable au visages que j'ai torturé
J'exécute les ordre d'un culte bafoué
Je ne puis être et avoir été... (été été été...)
Ténébres fiévreuse de bamaboula céleste
Lèvres rougies, peau de Peul
Pull over sur noir acariâtre et veule
Et les voila qui me disent "reste !"
Parvis de jonquilles sur solstice d'hiver
Calculs pervers sur carton défoncés
D'un logo de sang, de croix gammées
L'immonde a toutes les raison d'être fier
Balbutiements les pied dans le ciment
Avouant la faute aux imperméables
Sentiments opaques, couleurs piment
Felafel, lune de fiel, ciel imprenable
Criant sans cesse dans un tige de verre
Mon désespoir sur papier mâché
Bâclé la remise en question terre a terre
Sera vendu par un tzigane au marché
Astronaute penché sur l'incrédule bleue
Menton gratté, front percé de foi
Sinistre suicide a milles lieues
Au dessus de moi, au dessus de toi
Bla bla bla bla bla bla
Patatati patata patata
Bla bla bla bla bla bla
J'ecris parce que j'y crois (patati patata)
Chaarar,
J'ai écrit au crépuscule du jour
Une poésie sans inspiration
Ma plume en dernier recours
J'ai repris ma respiration
Potence funèbre, exil bancal
Tempête fluviale, axe primordial
Civilise la haine de cet air radical
Jouxtant la maison d'un être jovial
Pourpre des consciences calquées
Sur milles et une cloisons dardées
Par nos mais trop liées
Comme on traite les fous a liés
Fictions millimétrés aux aurores
Coucher de soleil sur pisse jaunâtre
Projetant sur la mer le bel âtre
Qui vous montre ses dents en or
Pixélisation des sentiments sur écran
Plasma, elle s'appelle Asma sans placenta
Place entre nous un voile tout blanc
C'est toujours mieux que ces odeurs magenta
Parcourus les chemins tel un traine-savate
Je suis semblable au visages que j'ai torturé
J'exécute les ordre d'un culte bafoué
Je ne puis être et avoir été... (été été été...)
Ténébres fiévreuse de bamaboula céleste
Lèvres rougies, peau de Peul
Pull over sur noir acariâtre et veule
Et les voila qui me disent "reste !"
Parvis de jonquilles sur solstice d'hiver
Calculs pervers sur carton défoncés
D'un logo de sang, de croix gammées
L'immonde a toutes les raison d'être fier
Balbutiements les pied dans le ciment
Avouant la faute aux imperméables
Sentiments opaques, couleurs piment
Felafel, lune de fiel, ciel imprenable
Criant sans cesse dans un tige de verre
Mon désespoir sur papier mâché
Bâclé la remise en question terre a terre
Sera vendu par un tzigane au marché
Astronaute penché sur l'incrédule bleue
Menton gratté, front percé de foi
Sinistre suicide a milles lieues
Au dessus de moi, au dessus de toi
Bla bla bla bla bla bla
Patatati patata patata
Bla bla bla bla bla bla
J'ecris parce que j'y crois (patati patata)
Chaarar,
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