mon donjon
est sombre
la tristesse
est desormais
installée
la joie ne penettre plus
dans mes remparts
elle est complétement meurtrie
je cherche
la nuit dans le noir
le noir dans la lumière
la moindre parcelle
de celle qui habitait
la tourelle
les gueux rient
de nous voire nous déchirer
nous dechiquetter
comme des bêtes sauvages
savourent le moindre éclats de mots
hûment les paroles justifiant leur réconfort
se cachant derrière la bassesse
de leurs ricanements
en employant amitié
trahison que cela me fait rire
des mots si faibles
mais ce qu'ils ne savent pas
c'est que les épés
les glaives
les catapultes
les maux
ne sont rien
par rapport a la force de l'âme
je souris a côté de mon dragon
toujours aussi fidèle
je me rememore
les moments passés
avec le chevalier Sir St3lla
te souviens tu?
je ferme les yeux
je soupire a la paix
de ses dires
les parchemins des souvenirs
tapissent les couloirs
de mon manoir
son mouchoir flotte
refletant dans le miroire
de nos histoires noires
mais si pures
dans notre monde
mes loups hurlent
mes hyennes se chamaillent
les charognes périssantes
jonchants les dalles
je les cogne
avec dégoût
elles me répugnent
les corbeaux croassent
leurs ailes se déploient
mais ne volent pas
sont immobiles
la poussière
monte et couvre
mon visage!!!!
les vierges croyants
être belles se pavanent
de ci de là en souriant bêtement
aux courtisans affamés
cela n'a toujours pas changé!
je vous regarde
je vous épie
et je vous dis
profitez les fausses belles
encore quelques temps
mais sachez
que votre pauvre beauté
se transformera
dès notre arrivée!!!!
nos rires vous feront blêmir
et ceux qui m'ont
fait parvenir ces parchemins
essayant de détourner mon regard
au teind blafard
Moi la DIABLESSE
au sommet de mon volcan
j'hurle au vent
j'hurle au temps
au Roi des soleils levants
demain ils n'auront plus de matins!
plus de matins!
lily
la diablesse!
est sombre
la tristesse
est desormais
installée
la joie ne penettre plus
dans mes remparts
elle est complétement meurtrie
je cherche
la nuit dans le noir
le noir dans la lumière
la moindre parcelle
de celle qui habitait
la tourelle
les gueux rient
de nous voire nous déchirer
nous dechiquetter
comme des bêtes sauvages
savourent le moindre éclats de mots
hûment les paroles justifiant leur réconfort
se cachant derrière la bassesse
de leurs ricanements
en employant amitié
trahison que cela me fait rire
des mots si faibles
mais ce qu'ils ne savent pas
c'est que les épés
les glaives
les catapultes
les maux
ne sont rien
par rapport a la force de l'âme
je souris a côté de mon dragon
toujours aussi fidèle
je me rememore
les moments passés
avec le chevalier Sir St3lla
te souviens tu?
je ferme les yeux
je soupire a la paix
de ses dires
les parchemins des souvenirs
tapissent les couloirs
de mon manoir
son mouchoir flotte
refletant dans le miroire
de nos histoires noires
mais si pures
dans notre monde
mes loups hurlent
mes hyennes se chamaillent
les charognes périssantes
jonchants les dalles
je les cogne
avec dégoût
elles me répugnent
les corbeaux croassent
leurs ailes se déploient
mais ne volent pas
sont immobiles
la poussière
monte et couvre
mon visage!!!!
les vierges croyants
être belles se pavanent
de ci de là en souriant bêtement
aux courtisans affamés
cela n'a toujours pas changé!
je vous regarde
je vous épie
et je vous dis
profitez les fausses belles
encore quelques temps
mais sachez
que votre pauvre beauté
se transformera
dès notre arrivée!!!!
nos rires vous feront blêmir
et ceux qui m'ont
fait parvenir ces parchemins
essayant de détourner mon regard
au teind blafard
Moi la DIABLESSE
au sommet de mon volcan
j'hurle au vent
j'hurle au temps
au Roi des soleils levants
demain ils n'auront plus de matins!
plus de matins!
lily
la diablesse!
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