NANTES (France) - "Tout ce que je réalise, dans le cadre de mes recherches, je le dédie à mon pays, l'Algérie", a affirmé jeudi le professeur Mohand Tazerout, chercheur, à la tête du département "Systèmes énergétiques et environnement" à l'Ecole des mines de Nantes.
Il fait partie de cette élite algérienne, patiente et persévérante, qui continue à partir du pays d'accueil à construire et réaliser des projets de développement en direction de son pays. "Notre statut d'expatriés fait que nous restons viscéralement attachés à l'Algérie par un cordon ombilical qui n'a jamais été rompu", a-t-il dit dans un entretien à l'APS, soulignant que beaucoup de chercheurs algériens, installés à Nantes, souhaitent développer leurs travaux de recherche dans leur pays et lancer des formules de partenariat avec l'université d'Alger.
APS
Il fait partie de cette élite algérienne, patiente et persévérante, qui continue à partir du pays d'accueil à construire et réaliser des projets de développement en direction de son pays. "Notre statut d'expatriés fait que nous restons viscéralement attachés à l'Algérie par un cordon ombilical qui n'a jamais été rompu", a-t-il dit dans un entretien à l'APS, soulignant que beaucoup de chercheurs algériens, installés à Nantes, souhaitent développer leurs travaux de recherche dans leur pays et lancer des formules de partenariat avec l'université d'Alger.
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