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Les Tdijanes du Nigeria demandent à leur pays d’appuyer «la marocanité du Sahara » APA- Rabat (Maroc)
Les musulmans du Nigéria d’obédience Tdijanes ont demandé au gouvernement fédéral d’adopter une attitude « bienveillante » à l’égard de l’intégrité territoriale du Maroc et de revoir sa politique « inadéquate » à l’égard du Royaume chérifien, a appris APA jeudi à Rabat de source informée.
Lors d’un grand rassemblement à Kano (nord du pays), le président de l’association de la confrérie Tdijanie « Mujjamma’u As’habul Kahfi », a demandé aux autorités nigérianes d’adopter une attitude « bienveillante »vis-à-vis du Maroc, allusion à la question du Sahara, rapportent les médias officiels marocains.
Les adeptes de cette confrérie considèrent le Maroc « comme leur deuxième patrie, vouant un grand respect à SM le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine » (commandeur des croyants), ajoutent les mêmes sources citant un communiqué de la confrérie liée à la confrérie mère basée dans la ville impériale marocaine de Fès( nord est).
Les "Tdijanis" sont très présents notamment dans les pays de l’Afrique de l’ouest et se sentent liés au Maroc par un acte d’allégeance.
Les organisateurs ont également appelé les autorités nigérianes à « ne pas être complices de l’Algérie dans ses tentatives de balkanisation du Maroc, d’autant que plus le Nigeria est lui-même confronté à des évènements dans le delta du Niger qui menacent son intégrité territoriale ».
Le Nigeria est considéré comme un allié de l’Algérie qui soutient sans réserve le Front Polisario, basé sur son sol depuis fin 1975, date du retrait du colonisateur espagnol du Sahara, passé depuis sous la souveraineté chérifienne.
En juin 2007, un processus de négociations a été enclenché, sous l’égide de l’ONU, sur le sol américain mais il peine à trouver un terrain d’entente entre les deux principaux protagonistes, le Maroc et le Polisario.
Le cinquième round des négociations devrait être fixé de commun accord entre le Maroc et le Polisario.
Rabat avait proposé un plan d’autonomie au Sahara pour sortir de l’impasse, ce que le Polisario rejette réclamant un référendum d’autodétermination jugé « inapplicable » par le Maroc et par plusieurs capitales influentes.
Les musulmans du Nigéria d’obédience Tdijanes ont demandé au gouvernement fédéral d’adopter une attitude « bienveillante » à l’égard de l’intégrité territoriale du Maroc et de revoir sa politique « inadéquate » à l’égard du Royaume chérifien, a appris APA jeudi à Rabat de source informée.
Lors d’un grand rassemblement à Kano (nord du pays), le président de l’association de la confrérie Tdijanie « Mujjamma’u As’habul Kahfi », a demandé aux autorités nigérianes d’adopter une attitude « bienveillante »vis-à-vis du Maroc, allusion à la question du Sahara, rapportent les médias officiels marocains.
Les adeptes de cette confrérie considèrent le Maroc « comme leur deuxième patrie, vouant un grand respect à SM le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine » (commandeur des croyants), ajoutent les mêmes sources citant un communiqué de la confrérie liée à la confrérie mère basée dans la ville impériale marocaine de Fès( nord est).
Les "Tdijanis" sont très présents notamment dans les pays de l’Afrique de l’ouest et se sentent liés au Maroc par un acte d’allégeance.
Les organisateurs ont également appelé les autorités nigérianes à « ne pas être complices de l’Algérie dans ses tentatives de balkanisation du Maroc, d’autant que plus le Nigeria est lui-même confronté à des évènements dans le delta du Niger qui menacent son intégrité territoriale ».
Le Nigeria est considéré comme un allié de l’Algérie qui soutient sans réserve le Front Polisario, basé sur son sol depuis fin 1975, date du retrait du colonisateur espagnol du Sahara, passé depuis sous la souveraineté chérifienne.
En juin 2007, un processus de négociations a été enclenché, sous l’égide de l’ONU, sur le sol américain mais il peine à trouver un terrain d’entente entre les deux principaux protagonistes, le Maroc et le Polisario.
Le cinquième round des négociations devrait être fixé de commun accord entre le Maroc et le Polisario.
Rabat avait proposé un plan d’autonomie au Sahara pour sortir de l’impasse, ce que le Polisario rejette réclamant un référendum d’autodétermination jugé « inapplicable » par le Maroc et par plusieurs capitales influentes.
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