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L’investissement en Algérie séduit les Britanniques
Le ministre britannique du Commerce et de l’Investissement, Lord Marvin Davies, a indiqué que l’environnement de l’investissement en Algérie est en amélioration continue, au point de susciter l’intérêt de grands pôles économiques mondiaux en matière de partenariat et de coopération économique.
Dans une déclaration à l’APS en marge de sa visite, mardi, dans la wilaya d’Oran, Lord Davies a souligné que la Grande-Bretagne accorde un grand intérêt au rythme de l'évolution de l’économie algérienne qui connait «une ouverture remarquable», à la faveur de la levée de plusieurs entraves commerciales, tout en faisant remarquer que le marché algérien constitue désormais «une grande priorité pour l’économie britannique». Le ministre britannique du Commerce a également indiqué que sa visite, en Algérie, s’inscrit dans le cadre de la recherche de mécanismes de promotion du partenariat entre les deux pays, notamment en matière de développement du volume d'échanges commerciaux et leur diversification, en ajoutant que son pays s’intéresse au renforcement du partenariat dans différents secteurs hors hydrocarbures. Lord Davies a exprimé, en outre, son optimise quant au développement de la dynamique commerciale entre l’Algérie et le Grande-Bretagne dans une prochaine étape, tout en soulignant que le volume des transactions entre les deux pays a atteint plus d’un milliard de livres sterlings en 2008. La crise économique mondiale a imposé aux grands pays, à l’instar de l’Angleterre, de s’orienter vers des marchés importants à l’exemple de l’Algérie afin de redresser leur économie, a-t-il encore indiqué.
Rencontre avec Temmar
Pour sa part, l’ambassadeur de la Grande-Bretagne en Algérie, Andrew Hendersen, a exprimé sa conviction quant au développement du volume de partenariat et d’investissement britannique en Algérie, en soulignant que ceci est palpable à travers l’intérêt accordé par les grands pôles économiques à l’investissement dans divers créneaux dans ce pays particulièrement en matière des énergies renouvelables, d’industrie pharmaceutique, de technologie de la santé, des prestations, des banques et des assurances entre autres. Le ministre britannique a visité, cet après-midi, la société SSK spécialisée dans la fabrication des lubrifiants, qui est une société mixte algéro-britannique, créée dans le cadre d'un partenariat entre «British Petroleum» (BP) et «Petroser-SPA». Il s'est rendu également à la société «Uniliver», spécialisée dans la fabrication de détergents, de produits cosmétiques et autres produits et leur commercialisation dans le cadre d’un partenariat avec un groupe britannique spécialisé. Les deux entreprises visitées sont implantées à Hassi Ameur, à l’Est d’Oran. A rappeler que le ministre britannique du Commerce a rencontré, lundi, le ministre algérien de l’Industrie et de la Promotion des investissements, Abdelhamid Temmar, et ont discuté des voies et moyens de promotion du partenariat et de la coopération entre les deux pays et de développement de l’investissement hors hydrocarbures. Lord Davies a exprimé, à son arrivée à Alger, qu'il visite, pour la première fois, son admiration pour les opportunités de partenariat et d’investissement qui s'offrent aux deux pays, notamment en matière des énergies renouvelables.
Le Financier
Dans une déclaration à l’APS en marge de sa visite, mardi, dans la wilaya d’Oran, Lord Davies a souligné que la Grande-Bretagne accorde un grand intérêt au rythme de l'évolution de l’économie algérienne qui connait «une ouverture remarquable», à la faveur de la levée de plusieurs entraves commerciales, tout en faisant remarquer que le marché algérien constitue désormais «une grande priorité pour l’économie britannique». Le ministre britannique du Commerce a également indiqué que sa visite, en Algérie, s’inscrit dans le cadre de la recherche de mécanismes de promotion du partenariat entre les deux pays, notamment en matière de développement du volume d'échanges commerciaux et leur diversification, en ajoutant que son pays s’intéresse au renforcement du partenariat dans différents secteurs hors hydrocarbures. Lord Davies a exprimé, en outre, son optimise quant au développement de la dynamique commerciale entre l’Algérie et le Grande-Bretagne dans une prochaine étape, tout en soulignant que le volume des transactions entre les deux pays a atteint plus d’un milliard de livres sterlings en 2008. La crise économique mondiale a imposé aux grands pays, à l’instar de l’Angleterre, de s’orienter vers des marchés importants à l’exemple de l’Algérie afin de redresser leur économie, a-t-il encore indiqué.
Rencontre avec Temmar
Pour sa part, l’ambassadeur de la Grande-Bretagne en Algérie, Andrew Hendersen, a exprimé sa conviction quant au développement du volume de partenariat et d’investissement britannique en Algérie, en soulignant que ceci est palpable à travers l’intérêt accordé par les grands pôles économiques à l’investissement dans divers créneaux dans ce pays particulièrement en matière des énergies renouvelables, d’industrie pharmaceutique, de technologie de la santé, des prestations, des banques et des assurances entre autres. Le ministre britannique a visité, cet après-midi, la société SSK spécialisée dans la fabrication des lubrifiants, qui est une société mixte algéro-britannique, créée dans le cadre d'un partenariat entre «British Petroleum» (BP) et «Petroser-SPA». Il s'est rendu également à la société «Uniliver», spécialisée dans la fabrication de détergents, de produits cosmétiques et autres produits et leur commercialisation dans le cadre d’un partenariat avec un groupe britannique spécialisé. Les deux entreprises visitées sont implantées à Hassi Ameur, à l’Est d’Oran. A rappeler que le ministre britannique du Commerce a rencontré, lundi, le ministre algérien de l’Industrie et de la Promotion des investissements, Abdelhamid Temmar, et ont discuté des voies et moyens de promotion du partenariat et de la coopération entre les deux pays et de développement de l’investissement hors hydrocarbures. Lord Davies a exprimé, à son arrivée à Alger, qu'il visite, pour la première fois, son admiration pour les opportunités de partenariat et d’investissement qui s'offrent aux deux pays, notamment en matière des énergies renouvelables.
Le Financier