j'ai trouver ces paroles dans un ancien calepin ou j'avais l'habitude d'ecrire ou de recopier des poemes que je trouve beaux
mais je ne connais pas nom de l'auteur
Si profondément enfoui dans les méandres de mon désespoir,
Ce sentiment de vide qui m’étreint un peu plus chaque soir,
Le mur qui s’épaissit encore et toujours, m’isolant d’avantage,
Ces rêves d’amours qui me fuient comme de futiles bavardages.
L’araignée qui tisse ce voile toujours plus sur mon cœur,
La flamme en lui qui ne brille plus que d’une si faible lueur,
Ma main qui tremble et se refuse à faire ce dernier geste,
Celui qui abrégerait cette lente agonie d’un avenir de miettes et de restes.
L’infime espoir qui gémit encore perdu dans son quelque part,
Cet ange salvateur qui poserait sur moi son doux regard,
Cette corde suffisamment longue qui plongerait au fond de mes enfers,
La force de m’y agripper pour ne pas tomber plus bas que terre.
Moi qui en arrive à ne plus croire que le simple fait de naître,
Que pour cette longue sentence d’une solitude encrée à votre être,
Le mal en mon cœur qui ne s’apaise et s’écoule en mes veines,
Reste pourtant blottit en moi tout cet amour qui pleure et saigne
inconnu
mais je ne connais pas nom de l'auteur
Si profondément enfoui dans les méandres de mon désespoir,
Ce sentiment de vide qui m’étreint un peu plus chaque soir,
Le mur qui s’épaissit encore et toujours, m’isolant d’avantage,
Ces rêves d’amours qui me fuient comme de futiles bavardages.
L’araignée qui tisse ce voile toujours plus sur mon cœur,
La flamme en lui qui ne brille plus que d’une si faible lueur,
Ma main qui tremble et se refuse à faire ce dernier geste,
Celui qui abrégerait cette lente agonie d’un avenir de miettes et de restes.
L’infime espoir qui gémit encore perdu dans son quelque part,
Cet ange salvateur qui poserait sur moi son doux regard,
Cette corde suffisamment longue qui plongerait au fond de mes enfers,
La force de m’y agripper pour ne pas tomber plus bas que terre.
Moi qui en arrive à ne plus croire que le simple fait de naître,
Que pour cette longue sentence d’une solitude encrée à votre être,
Le mal en mon cœur qui ne s’apaise et s’écoule en mes veines,
Reste pourtant blottit en moi tout cet amour qui pleure et saigne
inconnu
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