Ah Ah, elles sont grandes les cartes que la Turquie a en mains.
Go Erdogan, Go Erdogan, , une Turquie avec ses quatres fenêtes ouvertes ..vers la federation de Russie, vers l'espace de turcophonie en Caucase et Asie centrale, vers l'Ouest et la Mediterranée, vers le Proche et moyen orient
Go Erdogan, pour un Etat palestinien avec Al Qods Jerusalem comme capitale commune aux 2 Etats
Go Erdogan ... Tout le monde veut être bien avec la Turquie .. .Quitus pour un'' Neo Ottomanisme '' non imperialiste , facteur de developpement pour la Turquie, d'importance croissante geopolitique et geostrategique, de Paix et d'equilibre et permettant l'engloutissement dans la mer Noire , la mer Caspienne et le Caucase de la doctrine Neo cons et des fervents de la realisation de la theorie criminogene d'Huntigton dite du choc des civilisations
Erdogan a dit ''dialogue avec les palestiniens rassemblés ''et 3 semaines apres , Clinton dit le même slogan .
Go Erdogan, Go Erdogan, , une Turquie avec ses quatres fenêtes ouvertes ..vers la federation de Russie, vers l'espace de turcophonie en Caucase et Asie centrale, vers l'Ouest et la Mediterranée, vers le Proche et moyen orient
Go Erdogan, pour un Etat palestinien avec Al Qods Jerusalem comme capitale commune aux 2 Etats
Go Erdogan ... Tout le monde veut être bien avec la Turquie .. .Quitus pour un'' Neo Ottomanisme '' non imperialiste , facteur de developpement pour la Turquie, d'importance croissante geopolitique et geostrategique, de Paix et d'equilibre et permettant l'engloutissement dans la mer Noire , la mer Caspienne et le Caucase de la doctrine Neo cons et des fervents de la realisation de la theorie criminogene d'Huntigton dite du choc des civilisations
Erdogan a dit ''dialogue avec les palestiniens rassemblés ''et 3 semaines apres , Clinton dit le même slogan .
Barack Obama se rendra en visite en Turquie en avril
Par Reuters, publié le 07/03/2009 à 20:05
ANKARA - La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a annoncé samedi que le président américain Barack Obama se rendrait en Turquie au mois d'avril. Il s'agira de son premier voyage dans un pays musulman depuis son accession à la Maison blanche le 20 janvier.
La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a annoncé que le président américain Barack Obama se rendrait en Turquie au mois d'avril. Il s'agira de son premier voyage dans un pays musulman depuis son accession à la Maison blanche le 20 janvier. (Reuters/Umit Bektas)
La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a annoncé que le président américain Barack Obama se rendrait en Turquie au mois d'avril. Il s'agira de son premier voyage dans un pays musulman depuis son accession à la Maison blanche le 20 janvier. (Reuters/Umit Bektas)
Clinton a effectué samedi à Ankara une courte visite, en provenance de Genève où elle s'était entretenue la veille avec son homologue russe Sergueï Lavrov.
Le choix de la Turquie - pays à population musulmane et dont l'Etat est laïque, qui appartient à l'Otan et aspire à rejoindre l'Union européenne - reflète l'importance accordée par Washington à ses relations avec Ankara, au moment où les Américains s'emploient à améliorer leurs rapports avec le monde musulman.
"La démocratie, la modernité et l'islam peuvent coexister, tous", a estimé Clinton à Ankara, où elle a pris part à un talk show de la télévision turque.
"Je considère réellement que le rôle de la Turquie en tant que puissance internationale est très important", a-t-elle dit.
La rumeur veut qu'Obama, au cours de son voyage en Turquie, prononce un important discours sur les relations entre les Etats-Unis et le monde musulman.
"Il se rendra en visite en Turquie au cours du mois à venir. La date exacte sera annoncée sous peu. Nous nous coordonnons avec le gouvernement turc pour trouver une date viable", a dit Clinton au cours d'une conférence de presse avec le ministre turc des Affaires étrangères, Ali Babacan.
Clinton, qui a été reçue par le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, et par le président, Abdullah Gül, a indiqué que sa visite était centrée sur le rôle d'Ankara dans le processus de paix proche-oriental, notamment sa médiation entre Israël et la Syrie.
Selon Clinton, rien n'est plus important, dans ce domaine, que les pourparlers indirects qui ont eu lieu entre Damas et Israël. "La Turquie a joué un rôle très important", a-t-elle fait remarquer.
Babacan a déclaré qu'Ankara était prêt à reprendre sa médiation et à accueillir ces pourparlers indirects, si les deux parties en faisaient la demande. Ils ont été interrompus à la demande la Syrie, après le déclenchement de l'offensive militaire israélienne contre la bande de Gaza fin décembre.
Dans un entretien accordé à CNN Turk, la chef de la diplomatie américaine a expliqué qu'Obama souhaite obtenir l'aide d'Ankara pour soutenir ses efforts de reprise du dialogue avec l'Iran.
"Nous allons vous demander de nous aider avec l'Iran, en particulier pour contribuer à un changement dans la position de l'Iran", a dit Clinton.
Les Etats-Unis s'opposent aux Iraniens sur un certain nombre de sujets, dont le programme nucléaire mené par Téhéran que Washington soupçonne être destiné à la confection d'armes atomiques.
L'Iran a toujours démenti chercher à se doter de telles armes.
Bureau d'Ankara, version française Eric Faye
Par Reuters, publié le 07/03/2009 à 20:05
ANKARA - La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a annoncé samedi que le président américain Barack Obama se rendrait en Turquie au mois d'avril. Il s'agira de son premier voyage dans un pays musulman depuis son accession à la Maison blanche le 20 janvier.
La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a annoncé que le président américain Barack Obama se rendrait en Turquie au mois d'avril. Il s'agira de son premier voyage dans un pays musulman depuis son accession à la Maison blanche le 20 janvier. (Reuters/Umit Bektas)
La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a annoncé que le président américain Barack Obama se rendrait en Turquie au mois d'avril. Il s'agira de son premier voyage dans un pays musulman depuis son accession à la Maison blanche le 20 janvier. (Reuters/Umit Bektas)
Clinton a effectué samedi à Ankara une courte visite, en provenance de Genève où elle s'était entretenue la veille avec son homologue russe Sergueï Lavrov.
Le choix de la Turquie - pays à population musulmane et dont l'Etat est laïque, qui appartient à l'Otan et aspire à rejoindre l'Union européenne - reflète l'importance accordée par Washington à ses relations avec Ankara, au moment où les Américains s'emploient à améliorer leurs rapports avec le monde musulman.
"La démocratie, la modernité et l'islam peuvent coexister, tous", a estimé Clinton à Ankara, où elle a pris part à un talk show de la télévision turque.
"Je considère réellement que le rôle de la Turquie en tant que puissance internationale est très important", a-t-elle dit.
La rumeur veut qu'Obama, au cours de son voyage en Turquie, prononce un important discours sur les relations entre les Etats-Unis et le monde musulman.
"Il se rendra en visite en Turquie au cours du mois à venir. La date exacte sera annoncée sous peu. Nous nous coordonnons avec le gouvernement turc pour trouver une date viable", a dit Clinton au cours d'une conférence de presse avec le ministre turc des Affaires étrangères, Ali Babacan.
Clinton, qui a été reçue par le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, et par le président, Abdullah Gül, a indiqué que sa visite était centrée sur le rôle d'Ankara dans le processus de paix proche-oriental, notamment sa médiation entre Israël et la Syrie.
Selon Clinton, rien n'est plus important, dans ce domaine, que les pourparlers indirects qui ont eu lieu entre Damas et Israël. "La Turquie a joué un rôle très important", a-t-elle fait remarquer.
Babacan a déclaré qu'Ankara était prêt à reprendre sa médiation et à accueillir ces pourparlers indirects, si les deux parties en faisaient la demande. Ils ont été interrompus à la demande la Syrie, après le déclenchement de l'offensive militaire israélienne contre la bande de Gaza fin décembre.
Dans un entretien accordé à CNN Turk, la chef de la diplomatie américaine a expliqué qu'Obama souhaite obtenir l'aide d'Ankara pour soutenir ses efforts de reprise du dialogue avec l'Iran.
"Nous allons vous demander de nous aider avec l'Iran, en particulier pour contribuer à un changement dans la position de l'Iran", a dit Clinton.
Les Etats-Unis s'opposent aux Iraniens sur un certain nombre de sujets, dont le programme nucléaire mené par Téhéran que Washington soupçonne être destiné à la confection d'armes atomiques.
L'Iran a toujours démenti chercher à se doter de telles armes.
Bureau d'Ankara, version française Eric Faye
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