Un ressortissant Algérien, de la wilaya de Khenchela, dénommé « Medref Narou Rabah », âgé de 34 ans, a rendu l’âme dans la prison « El Kasrein », sise dans la wilaya d’El Kef, en Tunisie, dans des conditions considérées par ses parents d’ambiguës, ainsi ils ont appelé les autorités Algériennes, notamment le ministère des affaires étrangères, d’ouvrir une enquête pour connaître les raison du décès.
En fait, le prisonnier était resté en Tunisie où il travaillait pour le compte d’une femme de nationalité Belge, et cette dernière lui avait promis, selon son frère, de lui obtenir un visas pour fouler le sol Belge, mais une mésentente a fait que le concerné se chamaillait avec elle et lui assenait des coups de poings, ce qui a provoqué sa mort. Suite à quoi, il a été présenté devant le tribunal Tunisien en 2004, et fut condamné à 10 ans de prison ferme. Ayant déjà purgé cinq années, il envoie une lettre à ses parents, qui résident dans la ville de « Kais », dans la wilaya de Khenchela, leurs demandant d’intervenir auprès de la direction de la prison afin qu’elle l’autorise à bénéficier des soins médicaux. Des membres de sa famille s’étaient rendus à la prison, mais ils ont été empêchés de lui rendre visite, considérant que l’histoire de sa maladie est une tentative, de sa part, pour s’évader, ou bien pour bénéficier de la compassion de la justice afin de le libérer. La famille a alors contacté le consul général à El Kef, ce dernier leur a promis d’intervenir, et effectivement, il a été admis dans un hôpital et il s’est avéré qu’il était atteint d’une grave maladie, dont la nature n’a pas été révélée.
Quelques jours après, un citoyen Tunisien a envoyé une lettre et appelé ses parents les informant que leur fils est décédé. Ses parents se sont rendus pour récupérer la dépouille sans connaître les raisons de sa mort, et ils accusent la direction de l’établissement pénitentiaire d’avoir caché le secret de la maladie de leur fils, ainsi que les circonstances de sa mort, et ils réclament une commission d’enquête aux autorités Algériennes.
courrier international
En fait, le prisonnier était resté en Tunisie où il travaillait pour le compte d’une femme de nationalité Belge, et cette dernière lui avait promis, selon son frère, de lui obtenir un visas pour fouler le sol Belge, mais une mésentente a fait que le concerné se chamaillait avec elle et lui assenait des coups de poings, ce qui a provoqué sa mort. Suite à quoi, il a été présenté devant le tribunal Tunisien en 2004, et fut condamné à 10 ans de prison ferme. Ayant déjà purgé cinq années, il envoie une lettre à ses parents, qui résident dans la ville de « Kais », dans la wilaya de Khenchela, leurs demandant d’intervenir auprès de la direction de la prison afin qu’elle l’autorise à bénéficier des soins médicaux. Des membres de sa famille s’étaient rendus à la prison, mais ils ont été empêchés de lui rendre visite, considérant que l’histoire de sa maladie est une tentative, de sa part, pour s’évader, ou bien pour bénéficier de la compassion de la justice afin de le libérer. La famille a alors contacté le consul général à El Kef, ce dernier leur a promis d’intervenir, et effectivement, il a été admis dans un hôpital et il s’est avéré qu’il était atteint d’une grave maladie, dont la nature n’a pas été révélée.
Quelques jours après, un citoyen Tunisien a envoyé une lettre et appelé ses parents les informant que leur fils est décédé. Ses parents se sont rendus pour récupérer la dépouille sans connaître les raisons de sa mort, et ils accusent la direction de l’établissement pénitentiaire d’avoir caché le secret de la maladie de leur fils, ainsi que les circonstances de sa mort, et ils réclament une commission d’enquête aux autorités Algériennes.
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