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Régions : TLEMCEN
Un nouveau look pour Mansourah
Cette banlieue située à l’ouest du chef-lieu du Grand- Tlemcen, longtemps marginalisée, peut enfin espérer redevenir ce qu’elle était jadis. Mansourah avec ses ruines et son minaret faisait rêver plus d’un. A l’époque, ces vestiges historiques étaient le passage obligé des touristes qui se dirigeaient vers le Maroc.
Le minaret, ce monument historique, symbolise à lui seul plus de sept siècles d’histoire de la civilisation mérinide. Cependant, lors de la dernière décennie, «la Victorieuse» a sombré dans une totale indifférence au point de devenir un véritable dépotoir du chef-lieu de la wilaya. Il y a quelque temps, les habitants de cette commune ont été surpris par les grands travaux lancés par la nouvelle APC ; réfection du réseau routier principal, renouvellement des conduites des eaux usées, reboisement des grands espaces et surtout l’éclairage public. Les étudiants du campus universitaire d’Imama n’auront plus à enfiler des bottes pour traverser la mare d’eau qui se forme, après la moindre précipitation, à l’entrée de l’institut de biologie, de même que les habitants des 400-Logements se trouvaient bloqués pendant les intempéries. L’embellissement de la façade de l’université a agréablement surpris les étudiants. Au niveau du siège de la daïra, il a fallu recourir aux grands moyens pour mettre fin aux fréquentes inondations qui isolaient les autres quartiers du chef-lieu de la commune. Pour illuminer les chemins secondaires et les zones reculées, l’APC a entrepris une vaste campagne d’électrification. Cette mue a redonné en peu de temps un nouveau visage à cette commune en attendant le bitumage des grandes artères. Il semble bien que les nouveaux élus ont bien compris les besoins des citoyens, ce qui augure une ère nouvelle pour la plus belle commune de la wilaya. Toutefois, si des efforts sont consentis par les pouvoirs publics, on notera l’absence de civisme des entreprises privées qui n’hésitent pas à défoncer des routes récemment goudronnées. L’exemple frappant reste le tronçon traversant la cité El Badr, près des villas de l’AFIT, ainsi que celui qui passe par le nouveau CFPA qui ont été carrément détruits et recouverts de terre et ils sont devenus des pistes à peine praticables. Enfin, il ne reste plus qu’à espérer voir Mansourah revivre comme au bon vieux temps du célèbre «sons et lumières» qui, pendant la belle saison, faisait vibrer toute la capitale des Zianides.
Faïza B.
Un nouveau look pour Mansourah
Cette banlieue située à l’ouest du chef-lieu du Grand- Tlemcen, longtemps marginalisée, peut enfin espérer redevenir ce qu’elle était jadis. Mansourah avec ses ruines et son minaret faisait rêver plus d’un. A l’époque, ces vestiges historiques étaient le passage obligé des touristes qui se dirigeaient vers le Maroc.
Le minaret, ce monument historique, symbolise à lui seul plus de sept siècles d’histoire de la civilisation mérinide. Cependant, lors de la dernière décennie, «la Victorieuse» a sombré dans une totale indifférence au point de devenir un véritable dépotoir du chef-lieu de la wilaya. Il y a quelque temps, les habitants de cette commune ont été surpris par les grands travaux lancés par la nouvelle APC ; réfection du réseau routier principal, renouvellement des conduites des eaux usées, reboisement des grands espaces et surtout l’éclairage public. Les étudiants du campus universitaire d’Imama n’auront plus à enfiler des bottes pour traverser la mare d’eau qui se forme, après la moindre précipitation, à l’entrée de l’institut de biologie, de même que les habitants des 400-Logements se trouvaient bloqués pendant les intempéries. L’embellissement de la façade de l’université a agréablement surpris les étudiants. Au niveau du siège de la daïra, il a fallu recourir aux grands moyens pour mettre fin aux fréquentes inondations qui isolaient les autres quartiers du chef-lieu de la commune. Pour illuminer les chemins secondaires et les zones reculées, l’APC a entrepris une vaste campagne d’électrification. Cette mue a redonné en peu de temps un nouveau visage à cette commune en attendant le bitumage des grandes artères. Il semble bien que les nouveaux élus ont bien compris les besoins des citoyens, ce qui augure une ère nouvelle pour la plus belle commune de la wilaya. Toutefois, si des efforts sont consentis par les pouvoirs publics, on notera l’absence de civisme des entreprises privées qui n’hésitent pas à défoncer des routes récemment goudronnées. L’exemple frappant reste le tronçon traversant la cité El Badr, près des villas de l’AFIT, ainsi que celui qui passe par le nouveau CFPA qui ont été carrément détruits et recouverts de terre et ils sont devenus des pistes à peine praticables. Enfin, il ne reste plus qu’à espérer voir Mansourah revivre comme au bon vieux temps du célèbre «sons et lumières» qui, pendant la belle saison, faisait vibrer toute la capitale des Zianides.
Faïza B.
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