Une charte contre le trabendo
L’équité, la transparence, la responsabilité et la confiance sont les maîtres mots de la charte de bonne gouvernance de l’entreprise en Algérie pour lui permettre une croissance, une rentabilité et une pérennité sur le marché national et international.
Cette charte sera une plate forme de base qui permettra à l’entreprise, selon ses initiateurs, d’améliorer son rapport avec son environnement, notamment les banques et l’administration et de lutter contre l’informel et la contrefaçon, selon le présentateur du document.
A la demande des associations patronales dont le chef de fil est la Forum des chefs d’entreprises (FCE), les pouvoirs publics ont accepté de contribuer à l’élaboration de ce code lancé hier à Alger.
«Ce code se donne pour ambition d’inaugurer un processus de promotion de la gouvernance d’entreprise et de susciter un débat élargi sur les jalons ultérieurs possibles en la matière», a indiqué le ministre de la PME et de l’Artisanat, Mustapha Benbada, lors du lancement officiel de cette charte, ajoutant qu’en adhérent «l’entreprise gagnerait en crédibilité vis-à-vis de son entourage et sera plus compétitive».
A l’instar d’autres pays, l’Algérie se dote de son premier ce code de bonne gouvernance de l’entreprise qui est située au cœur de l’économie nationale notamment dans les secteurs d’activités hors hydrocarbures, a-t-on souligné.
La charte, qui est une initiative d’associations patronales et d’organisations professionnelles telles que le Forum des chefs d’entreprises (FCE) et le Cercle d’action et de réflexion autour de l’entreprise (CARE), est un «code d’éthique» et non pas une loi puisque l’adhésion de l’entreprise est «volontaire».
Enfin, les pouvoirs publics ont pris conscience de l’importance de la Petite et moyenne entreprise (PME) puisque dans son plan d’action court et à moyen termes le ministère de la PME, le ministre a présenté à sa hiérarchie une trentaine de propositions relatives notamment aux questions du financement, de la fiscalité, des marchés et du foncier.
Relevant le caractère «familial» des PME algérienne, ce qui est nullement péjoratif, selon les intervenants, elles doivent s’ouvrir au partenariat et l’actionnariat locaux et étrangers.
L’adoption de cette charte par l’entreprise lui ouvre droit à certains avantages car devenue productive et compétitive sur le marché international donc créatrice de valeur ajoutée. D’une centaine de pages, la charte s’ouvre sur une explication de la nécessité d’un tel code de gouvernance avant d’exposer les principaux standards de gouvernance d’entreprise, les parties prenantes internes de l’entreprise telles l’assemblée générale et le conseil d’administration, les relations de l’entreprise avec les parties prenantes externes dont essentiellement les banques, les autres institutions financières et les fournisseurs, ainsi que la qualité et la diffusion de l’information. Quant aux annexes de cette charte, elles couvrent notamment un check-list d’autoévaluation des pratiques de gouvernance d’entreprise, une vision panoramique des sociétés algériennes et les conflits d’intérêts dans les sociétés ainsi qu’un glossaire spécifique des entreprises.
L’équité, la transparence, la responsabilité et la confiance sont les maîtres mots de la charte de bonne gouvernance de l’entreprise en Algérie pour lui permettre une croissance, une rentabilité et une pérennité sur le marché national et international.
Cette charte sera une plate forme de base qui permettra à l’entreprise, selon ses initiateurs, d’améliorer son rapport avec son environnement, notamment les banques et l’administration et de lutter contre l’informel et la contrefaçon, selon le présentateur du document.
A la demande des associations patronales dont le chef de fil est la Forum des chefs d’entreprises (FCE), les pouvoirs publics ont accepté de contribuer à l’élaboration de ce code lancé hier à Alger.
«Ce code se donne pour ambition d’inaugurer un processus de promotion de la gouvernance d’entreprise et de susciter un débat élargi sur les jalons ultérieurs possibles en la matière», a indiqué le ministre de la PME et de l’Artisanat, Mustapha Benbada, lors du lancement officiel de cette charte, ajoutant qu’en adhérent «l’entreprise gagnerait en crédibilité vis-à-vis de son entourage et sera plus compétitive».
A l’instar d’autres pays, l’Algérie se dote de son premier ce code de bonne gouvernance de l’entreprise qui est située au cœur de l’économie nationale notamment dans les secteurs d’activités hors hydrocarbures, a-t-on souligné.
La charte, qui est une initiative d’associations patronales et d’organisations professionnelles telles que le Forum des chefs d’entreprises (FCE) et le Cercle d’action et de réflexion autour de l’entreprise (CARE), est un «code d’éthique» et non pas une loi puisque l’adhésion de l’entreprise est «volontaire».
Enfin, les pouvoirs publics ont pris conscience de l’importance de la Petite et moyenne entreprise (PME) puisque dans son plan d’action court et à moyen termes le ministère de la PME, le ministre a présenté à sa hiérarchie une trentaine de propositions relatives notamment aux questions du financement, de la fiscalité, des marchés et du foncier.
Relevant le caractère «familial» des PME algérienne, ce qui est nullement péjoratif, selon les intervenants, elles doivent s’ouvrir au partenariat et l’actionnariat locaux et étrangers.
L’adoption de cette charte par l’entreprise lui ouvre droit à certains avantages car devenue productive et compétitive sur le marché international donc créatrice de valeur ajoutée. D’une centaine de pages, la charte s’ouvre sur une explication de la nécessité d’un tel code de gouvernance avant d’exposer les principaux standards de gouvernance d’entreprise, les parties prenantes internes de l’entreprise telles l’assemblée générale et le conseil d’administration, les relations de l’entreprise avec les parties prenantes externes dont essentiellement les banques, les autres institutions financières et les fournisseurs, ainsi que la qualité et la diffusion de l’information. Quant aux annexes de cette charte, elles couvrent notamment un check-list d’autoévaluation des pratiques de gouvernance d’entreprise, une vision panoramique des sociétés algériennes et les conflits d’intérêts dans les sociétés ainsi qu’un glossaire spécifique des entreprises.
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