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L'Otan a salué mercredi l'intention de la France de reprendre sa place dans le commandement intégré de l'Alliance, annoncée un peu plus tôt par le président Nicolas Sarkozy. Evènement
"Je salue chaleureusement le choix du président français", a déclaré le secrétaire général de l'Otan, Jaap de Hoop Scheffer, dans un communiqué.
"Sa décision représente à la fois la culmination d'un rapprochement constant de la France vers l'Otan depuis 15 ans et une nouvelle impulsion aux relations entre la France et l'Alliance à quelques semaines du sommet de l'Otan de Strasbourg/Kehl, où l'Otan sera confrontée à des décisions stratégiques pour son avenir", a-t-il ajouté.
"La France a toujours été un allié important au sein de l'Otan. Sa contribution actuelle aux opérations et aux missions (de l'alliance) est cruciale", a-t-il ajouté.
"Sa pleine participation à toutes les décisions civiles et militaires et aux processus de planification ne peut à mon avis que renforcer encore l'Alliance. Je pense que cela ouvrira aussi de nouvelles perspectives pour une relation solide, confiante et complémentaire entre l'Otan et l'UE", a-t-il poursuivi.
La France avait quitté le commandement intégré de l'Otan en 1966, sous la présidence du général Charles de Gaulle, tout en restant membre de l'Alliance atlantique.
"Le moment est venu de mettre fin à cette situation, car c'est l'intérêt de la France et de l'Europe", a déclaré mercredi Nicolas Sarkozy, dans un discours à l'Ecole militaire à Paris.
La décision de Nicolas Sarkozy doit faire l'objet mardi d'un vote de confiance du Parlement français, avant sa formalisation au sommet de l'Otan qui se tiendra les 3 et 4 avril à Strasbourg (France) et Kehl (Allemagne).
source : AFP
"Je salue chaleureusement le choix du président français", a déclaré le secrétaire général de l'Otan, Jaap de Hoop Scheffer, dans un communiqué.
"Sa décision représente à la fois la culmination d'un rapprochement constant de la France vers l'Otan depuis 15 ans et une nouvelle impulsion aux relations entre la France et l'Alliance à quelques semaines du sommet de l'Otan de Strasbourg/Kehl, où l'Otan sera confrontée à des décisions stratégiques pour son avenir", a-t-il ajouté.
"La France a toujours été un allié important au sein de l'Otan. Sa contribution actuelle aux opérations et aux missions (de l'alliance) est cruciale", a-t-il ajouté.
"Sa pleine participation à toutes les décisions civiles et militaires et aux processus de planification ne peut à mon avis que renforcer encore l'Alliance. Je pense que cela ouvrira aussi de nouvelles perspectives pour une relation solide, confiante et complémentaire entre l'Otan et l'UE", a-t-il poursuivi.
La France avait quitté le commandement intégré de l'Otan en 1966, sous la présidence du général Charles de Gaulle, tout en restant membre de l'Alliance atlantique.
"Le moment est venu de mettre fin à cette situation, car c'est l'intérêt de la France et de l'Europe", a déclaré mercredi Nicolas Sarkozy, dans un discours à l'Ecole militaire à Paris.
La décision de Nicolas Sarkozy doit faire l'objet mardi d'un vote de confiance du Parlement français, avant sa formalisation au sommet de l'Otan qui se tiendra les 3 et 4 avril à Strasbourg (France) et Kehl (Allemagne).
source : AFP
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