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La baisse des taux d’intérêt bancaires passe par la privatisation.

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  • La baisse des taux d’intérêt bancaires passe par la privatisation.

    la rencontre avec le ministre des Finances, M. Mourad Medelci «invité du club Excellence et Management dans la soirée du mercredi» avait pour objet le planning pour la mise en oeuvre du programme quinquennal de soutien à la croissance qui s’étale de 2005 à 2009, et parmi les points posés et discutés : Le taux d’intérêt bancaires «jugé élevé pour l’économie nationale», et qui d’après le ministre, peut être régulé «baisser» par la mise sur la privatisation des banques (CPA d’abord, la BDL ensuite).
    La privatisation des Banques sera d’un grand apport pour le marché et l’économie.
    Le ministre des Finances, M. Mourad Medelci, qui était l’invité du club Excellence et Management dans la soirée du mercredi, a indiqué que le gouvernement a établi un planning précis pour la mise en oeuvre du programme quinquennal de soutien à la croissance qui s’étale de 2005 à 2009.

    Devant un auditoire composé de chefs d’entreprises, d’économistes et d’ambassadeurs étrangers, il s’est déclaré plus rassuré qu’il y a six mois quant à l’exécution de ce projet.

    «Je peux vous annoncer que la réalisation de la moitié du programme d’un million de logements a été lancée et que la quasi-totalité des projets hydrauliques, de travaux publics et de transports ont démarré», a-t-il dit comme pour illustrer l’objet qui fonde son optimisme. La mise en oeuvre, sans doute pour parer à toute lenteur, sera accompagnée d’une évaluation régulière de la réalisation.

    Autre indice optimiste pour le ministre. 75% des crédits de 4.200 milliards de DA mobilisés pour ce programme ont déjà été affectés aux secteurs et aux régions en termes d’autorisation de programme, dans le cadre de la loi de finances complémentaire pour 2005 et du projet de loi de finances pour 2006. Le ministre des Finances a laissé entendre que la capacité d’évaluation et de projection des dépenses publiques est nouvelle en Algérie. Et elle a donné ses fruits depuis l’année 2004 quand il a été relevé que 100% du budget de fonctionnement et 86% du budget d’équipement de 2004 ont été réalisés.

    Au sujet de la loi de finances 2006 qui marque la deuxième année de l’exécution de ce programme quinquennal, elle reconduit, selon Medelci, le même souci de maîtrise des projections, en arrêtant le prix du baril à 19 dollars. La volatilité du marché pétrolier n’autorise pas, à ses yeux, de se distancer de cette prudence, car «à tout moment les prix peuvent s’effondrer». «Nous avons adopté un programme quinquennal et nous devons en assumer l’aboutissement», a-t-il affirmé pour prévenir toute mauvaise surprise de l’affaissement des prix du baril et qui peut compromettre la réalisation du programme.

    Dans le cas de la consolidation du coût élevé du pétrole, le fonds de régulation est là pour capter l’écart entre les recettes réelles et les recettes prévisionnelles du budget. Le solde de ce fonds est actuellement de 18 milliards de dollars.

    Le ministre des Finances s’est, d’autre part, montré rassurant quant à la promesse de construire 1 million de logements. Des sites d’implantation de 2,8 millions de logements ont été identifiés. Il a ajouté que le programme du million d’habitations sera ainsi renforcé si la bonne situation financière du pays se maintient à son niveau actuel.

    Interpellé sur le maintien des taux d’intérêt bancaires à un niveau jugé élevé pour l’économie nationale, M. Medelci a répondu que la régulation du taux en ce domaine doit provenir de la compétition. Il mise sur la privatisation des banques (CPA d’abord, la BDL ensuite) pour voir le taux d’intérêt baisser. A une question d’un opérateur sur le récurrent problème du foncier industriel, le ministre dira qu’un décret exécutif qui traduira dans les faits la mesure prévue dans la loi de finances 2005 consistant en la récupération par l’Etat des sites détenus par les entreprises publiques dont la superficie dépasse leurs besoins réels d’exploitation, sera «fin prêt» et sera bientôt signé.
    Omar Sadki, Le Quotidien D’Oran

  • #2
    oui la privatisation des banques fera du bien a notre economie mais la meilleur facon de faire baisser les taux d interet est de faire jouer la concurrence entre les banques algeriennes et faire entrer desz banques etrangeres qui elles ont du metier
    de plus si les taux d interets sont aussi élevés c est aussi du au niveau d endettement de nos agents economiques: Etat bien sur , mais aussi banques publiques, ménages et surtout entreprises publiques qui accumulent je crois plus de dix milliards de dollars de creances..
    l 'Australie est en bonne santé économique , avec une légère tension sur les prix

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    • #3
      ...exact 2

      Effectivement il n'y a qu'avec l'investisement des banque étrangère que l'Algerie pourra voir un semblant d'amelioration dans ce domaine..car tous simplement..on ne sait pas faire.

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