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Le porte-parole du syndicat national des pharmaciens d’officines (SNAPO), le docteur Belamiri Massoud, a mis en garde avant-hier contre l’achat de médicaments mis en vente hors réseaux officiels.
Lors des travaux de la cinquième réunion des pharmaciens, organisée à Oran, il a appelé les professionnels à vérifier l’authenticité des médicaments mis en vente notamment par des délégués commerciaux, notamment le «Viagra» (sous licence), signalant que la composition des médicaments appelés «rapides» est inconnue au même titre que leurs effets secondaires.
Le programme de cette rencontre a été marqué par la communication présentée par le porte parole du SNAPO axée sur, «la menace de la pharmacopée contrefaite».
Le conférencier a mis, notamment, en garde contre l’acquisition des médicaments mis en vente hors réseaux officiels. Il a appelé les professionnels à vérifier l’authenticité des médicaments mis en vente notamment par des délégués commerciaux.
Il dira que ces médicaments contrefaits sont devenus d’un usage courant chez certains alors que leurs compositions ne répondent pas aux normes scientifiques et par conséquent sont inefficaces et souvent dangereux et mortels pour les patients, comme l’ont démontré plusieurs études menées par la FDA (Food and drug administration USA) dont les rapports révèlent que les produits contrefaits représentent plus de 10% du marché mondial du médicament, dont 60% concernent les pays pauvres.
Le docteur Belamiri a rappelé également, dans sa communication sur les médicaments contrefaits, que le «pharmacien n’est pas responsable de la disponibilité du médicament sur le marché et que des filières officielles sont chargées de son importation et de sa distribution».
Il a également mis en garde le pharmacien du non-respect des textes réglementaires régissant ce domaine, rappelant que toute infraction est passible de détention, de fermeture de l’officine ou de privation d’exercice du métier.
Evoquant les raisons à l’origine de la contrefaçon dans le médicament, le Dr Belamiri a notamment critiqué «l’absence d’une législation répressive», rappelant dans ce contexte la grande quantité de médicaments saisis ces dernières années à travers le monde. Ainsi, en 2006 il a été enregistré par les services de la douane algérienne près de 2.199 saisies.
- Pressedz
Lors des travaux de la cinquième réunion des pharmaciens, organisée à Oran, il a appelé les professionnels à vérifier l’authenticité des médicaments mis en vente notamment par des délégués commerciaux, notamment le «Viagra» (sous licence), signalant que la composition des médicaments appelés «rapides» est inconnue au même titre que leurs effets secondaires.
Le programme de cette rencontre a été marqué par la communication présentée par le porte parole du SNAPO axée sur, «la menace de la pharmacopée contrefaite».
Le conférencier a mis, notamment, en garde contre l’acquisition des médicaments mis en vente hors réseaux officiels. Il a appelé les professionnels à vérifier l’authenticité des médicaments mis en vente notamment par des délégués commerciaux.
Il dira que ces médicaments contrefaits sont devenus d’un usage courant chez certains alors que leurs compositions ne répondent pas aux normes scientifiques et par conséquent sont inefficaces et souvent dangereux et mortels pour les patients, comme l’ont démontré plusieurs études menées par la FDA (Food and drug administration USA) dont les rapports révèlent que les produits contrefaits représentent plus de 10% du marché mondial du médicament, dont 60% concernent les pays pauvres.
Le docteur Belamiri a rappelé également, dans sa communication sur les médicaments contrefaits, que le «pharmacien n’est pas responsable de la disponibilité du médicament sur le marché et que des filières officielles sont chargées de son importation et de sa distribution».
Il a également mis en garde le pharmacien du non-respect des textes réglementaires régissant ce domaine, rappelant que toute infraction est passible de détention, de fermeture de l’officine ou de privation d’exercice du métier.
Evoquant les raisons à l’origine de la contrefaçon dans le médicament, le Dr Belamiri a notamment critiqué «l’absence d’une législation répressive», rappelant dans ce contexte la grande quantité de médicaments saisis ces dernières années à travers le monde. Ainsi, en 2006 il a été enregistré par les services de la douane algérienne près de 2.199 saisies.
- Pressedz