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Bobo

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  • Bobo

    ce n’est que momentané

    conscience est

    en moi humain bébé
    interloqué
    regardant la télé

    ce n’est pas mickey
    c’est mort animée
    produite et jouée
    par mes aînés

    bides gonflés
    poussée de friqués
    estomacs vouées
    que pour rêvasser
    ventres enflés

    sagesses déroutées
    folies d’idées
    guerre sans arrêt
    l’action préféré
    paix raréfié

    sur maman nature, mes aînés
    n’arrêtent pas de taper
    pourtant elle ne fait que leur donner
    le sein pour qu’ils puissent EXISTER

    décidément ils sont tapés
    mes aînées
    moi je veux rester bébé
    ainsi grand humain et vrais
    je vous laisse c’est l’heure du lait

  • #2
    course à l’ovaire
    pour ère primaire
    arrivée sur terre
    course secondaire
    histoire
    en gros similaire

    avec congénères
    majoritaires
    hâte en têtard
    avant l’heure
    vers bonheur
    de matière
    longueur de parcours
    !!!!à franchir !!!!
    égoïsme, manière
    de raccourcir
    avec amour-propre
    fort impropre
    les dehors
    enjôleurs
    intérieurs
    de trompeurs
    l’amour demeure
    chez les minoritaires

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    • #3
      dans l’esprit d’un amoureux convaincu et je dis
      bonheur !!!!
      d’une tel ampleur
      qu’il se croyait rêveur
      âme sœur naguère

      supposée, se révèle vérité sûr
      éprouvée en ses profondeurs
      prouvée de son JE TAIME ensorceleur
      en souveraine douceur à l’endroit de son cœur
      faisant honneur à l’AMOUR dans toute sa grandeur
      et le fait témoin de la VIE dans toute sa valeur
      où il renaît dans un Eden
      à la dimension « SPLENDEUR HUMAINE »


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      • #4
        Yeux au ciel, l’Afrique
        en nuage m’évoque celle
        d’ici-bas en misère

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        • #5
          Cœur primaire
          être de fissures
          évolution d’usure

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          • #6
            place dans un cœur
            avec vue sur l’amour

            il se détache de réalité cruelle
            que reflète bêtise humaine
            il vit rêve réelle
            retrouve bel humain de naguère
            adam et eve a la manière
            humanité première
            d’un shoote
            de divine drogue
            l’Amour
            came de l’âme !

            ps : à prendre sans modération
            mais avec précaution

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            • #7
              CONTINU... j'aime bien

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              • #8
                lugana !
                Il voit son pareil
                il perçoit le générique humain
                il cotoit son plus vif sentiment
                foi de sa psyché, l'égocentrisme
                affamé d'hypocrisie et de mesquinerie

                Il broit du noir
                conscience avec effroi
                coeur en émoi, âme dans le désaroi
                le moi aux abois, le surmoi sans voix
                le ça, faiseur de loi, s'intronise roi
                sous son poids, sa raison est en voie....................de perdition


                Vain sursaut réflexif, l'heure est à la dérive
                la folie est effective

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                • #9
                  [IMG]http://idata.**************/0/46/92/69/cliparts/clipart-coureur-anime.gif[/IMG]
                  marathon sur boue
                  il bégaye dans son parcours
                  au-delà du rouleau

                  Dernière modification par schizoïde, 26 mars 2009, 01h13.

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                  • #10
                    ……..mais il s’agrippe
                    comme la vie de ces tripes
                    en parterre de végétation
                    sur du béton

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                    • #11
                      fatals coups dures
                      a nouveaux célibataire
                      mais toujours
                      pondu
                      au désormais défendu
                      récidive du cruel sort
                      amitié s’avère éphémère
                      dorénavant détenu
                      dans la case désert
                      dans la peau délétère
                      d’un solitaire
                      sans repère
                      sans recours
                      sans issue de secoure
                      intérieure si noir
                      quelle frayeur
                      cela ne présage guerre
                      jour meilleur
                      vide étendu
                      à petit feu, me tue
                      goût de la vie perdu
                      le tout être tendu
                      tordu
                      inspiration disparue
                      main suspendu
                      plume abattue

                      c’est foutu

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                      • #12
                        après une sieste
                        nocturne
                        le jour se lève
                        je me réveil
                        dans ma nuit
                        dans mes ténèbres

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                        • #13
                          chagrins d’amour et d’amitié
                          personne pour panser
                          plaies bées

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                          • #14
                            ……marchant à ces cotés, le cœur en premier, secrètement, dans ma naïveté, il creusa un charnier à notre amitié…....
                            plaie toujours bée, de chagrin d’amitié, toujours animé…...en duo avec amour empoisonné………..

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                            • #15
                              transe psychologique
                              Peux pas se transmettre à l’autre en une seule nature….Profusion de brutes….Pour la raison résiduelle se met en phase terminal en croyant que dans son monde tous le monde est originel et vrai….Avec l’ambiante ambiguïté de l’extérieur et le concours de sa biologie, en tête, à fort potentiel dans le sens du non sens, Le MOI, éparpillé, donné en vrac, broyé à la schyzo à maximal attraction déchirante entretenu par de latents chocs divers et variés à long étalement temporel….Et l’amour, le point de convergence demeureras qu’une théorie invérifiable.... intouchable.....Aussi loin que terre l’est de venus

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