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Hanoune plaide pour la souveraineté nationale
La secrétaire générale du Parti des travailleurs, Mme Louisa Hanoune, estime que la parole devrait revenir au peuple et que les institutions élues n’ont d’autre mission que de servir la collectivité nationale.
Selon la candidate à la présidentielle du 9 avril, il est temps d’opérer une véritable rupture au niveau de nos institutions, qui, ajoute la SG du PT, devront servir de tribune à la parole du peuple. S’exprimant sur les ondes de la radio Chaîne III, Mme Hanoune a évoqué l’essentiel de son programme électoral. Le débat qui s’est focalisé sur les questions sociales et économiques n’a pas éludé la question politique. Dans ce chapitre, la secrétaire générale du PT a insisté sur l’aspect lié à la souveraineté nationale. «Nous devons préserver nos intérêts suprêmes et refuser toute ingérence dans nos affaires», a souligné la candidate du Parti des travailleurs, ajoutant qu’»une telle politique ne serait possible que si le lien n’est pas rompu entre les gouvernants et les gouvernés».
Evoquant sa stratégie en matière économique, Mme Hanoune a plaidé pour une réforme «véritable» à même, dit-elle, de répondre aux attentes du peuples algérien. Dans ce contexte, la secrétaire générale du PT a signalé que les richesses nationales doivent appartenir à la nation, laissant entendre par là que la politique économique suivie jusque-là mérite d’être corrigée.
Dans un meeting tenu le 12 mars dernier à Batna (450 km au nord-est d’Alger), Hanoune a appelé le peuple à faire du scrutin du 9 avril un «référendum pour concrétiser la souveraineté populaire, réhabiliter l’Etat algérien et le libérer de toutes les contradictions», selon l’APS. «Ce scrutin constitue l’occasion d’un départ positif pour concrétiser une véritable souveraineté nationale et garantir à l’Algérie une issue à la crise», a-t-elle souligné, estimant qu’il faudrait pour cela «une véritable mobilisation populaire le jour du vote qui permette au peuple de s’affirmer, de déterminer son avenir et de participer au renforcement des institutions de l’Etat». Ce meeting a drainé une foule de militants et sympathisants de son parti.
Le Jeune Indépendant
Selon la candidate à la présidentielle du 9 avril, il est temps d’opérer une véritable rupture au niveau de nos institutions, qui, ajoute la SG du PT, devront servir de tribune à la parole du peuple. S’exprimant sur les ondes de la radio Chaîne III, Mme Hanoune a évoqué l’essentiel de son programme électoral. Le débat qui s’est focalisé sur les questions sociales et économiques n’a pas éludé la question politique. Dans ce chapitre, la secrétaire générale du PT a insisté sur l’aspect lié à la souveraineté nationale. «Nous devons préserver nos intérêts suprêmes et refuser toute ingérence dans nos affaires», a souligné la candidate du Parti des travailleurs, ajoutant qu’»une telle politique ne serait possible que si le lien n’est pas rompu entre les gouvernants et les gouvernés».
Evoquant sa stratégie en matière économique, Mme Hanoune a plaidé pour une réforme «véritable» à même, dit-elle, de répondre aux attentes du peuples algérien. Dans ce contexte, la secrétaire générale du PT a signalé que les richesses nationales doivent appartenir à la nation, laissant entendre par là que la politique économique suivie jusque-là mérite d’être corrigée.
Dans un meeting tenu le 12 mars dernier à Batna (450 km au nord-est d’Alger), Hanoune a appelé le peuple à faire du scrutin du 9 avril un «référendum pour concrétiser la souveraineté populaire, réhabiliter l’Etat algérien et le libérer de toutes les contradictions», selon l’APS. «Ce scrutin constitue l’occasion d’un départ positif pour concrétiser une véritable souveraineté nationale et garantir à l’Algérie une issue à la crise», a-t-elle souligné, estimant qu’il faudrait pour cela «une véritable mobilisation populaire le jour du vote qui permette au peuple de s’affirmer, de déterminer son avenir et de participer au renforcement des institutions de l’Etat». Ce meeting a drainé une foule de militants et sympathisants de son parti.
Le Jeune Indépendant