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La secrétaire générale du Parti des Travailleurs (PT), et candidate à l'élection présidentielle du 9 avril, Mme Louisa Hanoune, a appelé jeudi depuis Batna (nord-est) le peuple à faire du scrutin du 9 avril un "référendum pour concrétiser la souveraineté populaire, réhabiliter l'Etat algérien et le libérer de toutes les contradictions", a rapporté l'agence de presse algérienne APS.
"Ce scrutin constitue l'occasion d'un départ positif pour concrétiser une véritable souveraineté nationale et garantir à l'Algérie une issue à la crise", a-t-elle souligné, estimant que pour cela il faudrait "une véritable mobilisation populaire le jour du vote qui permette au peuple de s'affirmer, de déterminer son avenir et de participer au renforcement des institutions de l'Etat. Elle a tenu ces propos lors d'un meeting populaire devant une foule de militants et sympathisants de son parti. Par ailleurs, le président du parti AHD 54 et candidat à la prochaine présidentielle, Ali Fawzi Rebaïne, a estimé, jeudi à Alger, que la Commission politique nationale de surveillance de l'élection présidentielle (CPNSEP) aurait du être reconduite avec un nouveau statut et de nouvelles prérogatives. "Ce n'est pas de l'ordre du nationalisme chauvin de dire que la CPNSEP a un rôle à jouer lors de la présidentielle, mais il fallait la reconduire avec un nouveau statut et de nouvelle prérogatives", selon M. Rebaïne qui intervenait sur les ondes de la chaîne II de la radio nationale.
Il a minimisé "l'efficacité" de la présence des observateurs internationaux, lors de la prochaine présidentielle, dont le nombre avoisine les 200 observateurs, issus de l'Union africaine, de la Ligue arabe, de l'Organisation de la conférence islamique ( OCI) et de l'ONU, estimant qu'"ils ne pourront pas encadrer le 48. 000 bureaux de vote". Les six candidats en lice pour la présidentielle, dont les candidatures ont été validées par le Conseil constitutionnel, sont Bouteflika Abdelaziz, Touati Moussa, Mme Hanoune Louisa, Ali Fawzi Rebaïne, Mohand Oussaïd Belaïd et Younsi Djahid
Jeune Afrique
"Ce scrutin constitue l'occasion d'un départ positif pour concrétiser une véritable souveraineté nationale et garantir à l'Algérie une issue à la crise", a-t-elle souligné, estimant que pour cela il faudrait "une véritable mobilisation populaire le jour du vote qui permette au peuple de s'affirmer, de déterminer son avenir et de participer au renforcement des institutions de l'Etat. Elle a tenu ces propos lors d'un meeting populaire devant une foule de militants et sympathisants de son parti. Par ailleurs, le président du parti AHD 54 et candidat à la prochaine présidentielle, Ali Fawzi Rebaïne, a estimé, jeudi à Alger, que la Commission politique nationale de surveillance de l'élection présidentielle (CPNSEP) aurait du être reconduite avec un nouveau statut et de nouvelles prérogatives. "Ce n'est pas de l'ordre du nationalisme chauvin de dire que la CPNSEP a un rôle à jouer lors de la présidentielle, mais il fallait la reconduire avec un nouveau statut et de nouvelle prérogatives", selon M. Rebaïne qui intervenait sur les ondes de la chaîne II de la radio nationale.
Il a minimisé "l'efficacité" de la présence des observateurs internationaux, lors de la prochaine présidentielle, dont le nombre avoisine les 200 observateurs, issus de l'Union africaine, de la Ligue arabe, de l'Organisation de la conférence islamique ( OCI) et de l'ONU, estimant qu'"ils ne pourront pas encadrer le 48. 000 bureaux de vote". Les six candidats en lice pour la présidentielle, dont les candidatures ont été validées par le Conseil constitutionnel, sont Bouteflika Abdelaziz, Touati Moussa, Mme Hanoune Louisa, Ali Fawzi Rebaïne, Mohand Oussaïd Belaïd et Younsi Djahid
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