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Le fonds américain Carlyle s’intéresse à la privatisation en Algérie

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  • Le fonds américain Carlyle s’intéresse à la privatisation en Algérie

    Il a levé 500 millions de dollars pour la région MENA. Le groupe d’investissement privé américain a constitué un fonds pour investir dans la région du Moyen-Orient et l’Afrique du Nord (MENA).


    Il a levé 500 millions de dollars destinés exclusivement à cette région. L’Algérie fait partie des pays vers lesquels lorgne le groupe nord américain, d’autant plus qu’elle offre de opportunités non négligeables dans les secteurs intéressés par Carlyle MENA. Il s’agit de la santé, de l’énergie, des services financiers, de l’industrie, de l’infrastructure, de la technologie et du transport. Le groupe Carlyle MENA, représenté au Caire, à Dubaï et à Istanbul, vise les pays du Maghreb, du Proche-Orient et du Golfe, ainsi que la Turquie. Au mois de juillet dernier, Carlyle MENA a d’ailleurs pris 50% de participation dans le constructeur turc de bateaux, TVK Gemi Yapim ve Ticaret A.S. Carlyle serait intéressé par une prise de participation dans des entreprises publiques proposées à la privatisation en Algérie. Il avait déjà manifesté son intérêt pour le groupe privé de fabrication d’emballage Tonic. Il avait même envoyé une délégation pour visiter et s’enquérir de la situation sur le site industriel de cette entité à Bou Ismaïl.

    Mais il semblerait que cette acquisition ne soit plus à l’ordre du jour. A l’instar des autres pays où il compte s’implanter, Carlyle Group a constitué un groupe de travail pour étudier les possibilités d’investissements qui s’offrent à lui en Algérie. Carlyle MENA a été lancé en 2007. Il possède des représentations au Caire, à Dubaï et à Istanbul. Il vise la région du Maghreb (Algérie, Tunisie, Maroc, Libye et l’Egypte), les membres du conseil de coopération du Golfe (Bahreïn, Koweït, Oman, Qatar, Arabie saoudite et les Emirats Arabes Unis) ainsi que le Liban, la Jordanie et le Pakistan. Le Groupe Carlyle est une société d'investissements américaine fondée en 1987. Basé à Washington, il est présent dans de nombreux domaines d'activités, comme l'aéronautique, la défense, l'industrie automobile et des transports, l'énergie, les télécommunications et les médias.

    9,3 milliards de dollars de capitaux propres

    Ses investissements sont essentiellement situés en Amérique du Nord, en Europe et en Asie du Sud-est. Le groupe possède 89,3 milliards de dollars de capitaux propres et il emploie plus de 515 professionnels de l'investissement dans 21 pays. Les différentes entreprises de son portefeuille emploient, quand à elles, plus de 286.000 personnes dans le monde et Carlyle a environ 1.100 investisseurs répartis dans 31 pays à travers le monde.

    Le groupe compte parmi ses membres de prestigieux noms dont James Baker, ancien Secrétaire d'Etat américain, George H.W. Bush (père), ancien président des États-Unis, John Major, ancien Premier-ministre conservateur de Grande-Bretagne, Merrill Lynch, société financière américaine, le Fonds de pension de General Motors et Olivier Sarkozy (demi-frère de Nicolas Sarkozy). Carlyle n’est pas coté en Bourse, et n’est donc non tenu de divulguer à la Securities and Exchange Commission (la commission américaine chargée de veiller à la régularité des opérations boursières) le nom des associés, des actionnaires, pas plus que leurs parts respectives.

    Yasmine Idjer
    Le Financier
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    Le groupe compte parmi ses membres de prestigieux noms dont James Baker, ancien Secrétaire d'Etat américain, George H.W. Bush (père), ancien président des États-Unis, John Major, ancien Premier-ministre conservateur de Grande-Bretagne, Merrill Lynch, société financière américaine, le Fonds de pension de General Motors et Olivier Sarkozy (demi-frère de Nicolas Sarkozy). Carlyle n’est pas coté en Bourse, et n’est donc non tenu de divulguer à la Securities and Exchange Commission (la commission américaine chargée de veiller à la régularité des opérations boursières) le nom des associés, des actionnaires, pas plus que leurs parts respectives.
    lol On comprend pourquoi ce groupe fait polémique.
    Je fais plein de fautes d'ortoghraphes : soyez indulgeants

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