Après Khaled Nezzar et Mohammed Lamari
Une source bien informée a indiqué que le Général Larbi Belkheir, dont le nom a été lié au « cabinet secret », qui désigne et met en retraite les présidents de l’Algérie, a décider d’arrêter définitivement d’exercer le pouvoir, suite à son état de santé qui ne fait qu’empirer depuis la fin de l’année passée. Suite à sa demande, le président de la République a accepté de dégager Larbi Belkheir de ses missions d’Ambassadeur de l’Algérie à Rabat et son remplacement par le directeur de cabinet de la présidence de la République, M. Mohammed Moulay Kendil.
La même source a indiqué à El Khabar que le remplacement de Belkheir par Kendil aura lieu lors du grand mouvement prévu dans le corps diplomatique, que le président de la République veut faire après les élections présidentielles (cette volonté reflète sa conviction qu’il sera réélu pour un troisième mandat). La même source a expliqué que le Général Larbi Belkheir a demandé au président de la République de l’exempter de ses missions d’Ambassadeur de l’Algérie à Rabat pour qu’il puisse se soigner.
D’autres sources informées du dossier ont indiqué que le premier responsable près de l’Ambassade de l’Algérie à Rabat sera le Directeur de Cabinet près de la Présidence de la République, M. Mohammed Moulay Kendil, que Bouteflika a choisi pour succéder au « cardinal de Frenda », c’est ainsi qu’on appelait le Général Larbi Belkheir par rapport à sa ville natale Frenda, dans la wilaya de Tiaret.
Les mêmes sources ont révélé que le Général Nadjib chargé de la sécurité présidentielle et secrétaire du Haut Conseil de la Sécurité remplacera Kendil au Palais d’El Mouradia. Le retrait de Belkheir du pouvoir signifie qu’une page d’une époque importante dans l’Histoire du pays vient d’être pliée, vu le rôle qu’a joué cet homme en tant que décideur pour une période de 25ans en moins.
Une source bien informée a indiqué que le Général Larbi Belkheir, dont le nom a été lié au « cabinet secret », qui désigne et met en retraite les présidents de l’Algérie, a décider d’arrêter définitivement d’exercer le pouvoir, suite à son état de santé qui ne fait qu’empirer depuis la fin de l’année passée. Suite à sa demande, le président de la République a accepté de dégager Larbi Belkheir de ses missions d’Ambassadeur de l’Algérie à Rabat et son remplacement par le directeur de cabinet de la présidence de la République, M. Mohammed Moulay Kendil.
La même source a indiqué à El Khabar que le remplacement de Belkheir par Kendil aura lieu lors du grand mouvement prévu dans le corps diplomatique, que le président de la République veut faire après les élections présidentielles (cette volonté reflète sa conviction qu’il sera réélu pour un troisième mandat). La même source a expliqué que le Général Larbi Belkheir a demandé au président de la République de l’exempter de ses missions d’Ambassadeur de l’Algérie à Rabat pour qu’il puisse se soigner.
D’autres sources informées du dossier ont indiqué que le premier responsable près de l’Ambassade de l’Algérie à Rabat sera le Directeur de Cabinet près de la Présidence de la République, M. Mohammed Moulay Kendil, que Bouteflika a choisi pour succéder au « cardinal de Frenda », c’est ainsi qu’on appelait le Général Larbi Belkheir par rapport à sa ville natale Frenda, dans la wilaya de Tiaret.
Les mêmes sources ont révélé que le Général Nadjib chargé de la sécurité présidentielle et secrétaire du Haut Conseil de la Sécurité remplacera Kendil au Palais d’El Mouradia. Le retrait de Belkheir du pouvoir signifie qu’une page d’une époque importante dans l’Histoire du pays vient d’être pliée, vu le rôle qu’a joué cet homme en tant que décideur pour une période de 25ans en moins.
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