La décision de la cour d’appel de Paris, le 28 février, de lever le contrôle judiciaire sur le diplomate algérien Mohamed Ziane Hassani, a été saluée comme une victoire à Alger. Cette affaire politico-judiciaire avait sérieusement assombri les relations franco-algériennes.
Soupçonnant Hassani, directeur du protocole au ministère algérien des Affaires étrangères, d’être le commanditaire de l’assassinat à Paris, en 1987, de l’opposant Ali André Mecili, la justice française avait lancé un mandat d’arrêt contre le diplomate, en décembre 2007. Interpellé à l’aéroport de Marseille le 14 août 2008, Hassani est alors transféré à Paris, mis en examen et contraint de rester à la disposition du magistrat instructeur. Il clame son innocence, invoque une méprise due à une homonymie et subit des tests ADN, qui se révéleront négatifs.
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Jeune Afrique
Soupçonnant Hassani, directeur du protocole au ministère algérien des Affaires étrangères, d’être le commanditaire de l’assassinat à Paris, en 1987, de l’opposant Ali André Mecili, la justice française avait lancé un mandat d’arrêt contre le diplomate, en décembre 2007. Interpellé à l’aéroport de Marseille le 14 août 2008, Hassani est alors transféré à Paris, mis en examen et contraint de rester à la disposition du magistrat instructeur. Il clame son innocence, invoque une méprise due à une homonymie et subit des tests ADN, qui se révéleront négatifs.
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