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Les brésiliens intéréssés par le Fer de TINDOUF

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  • Les brésiliens intéréssés par le Fer de TINDOUF

    Des experts d'une entreprise brésilienne ont effectué récemment une visite de prospection des gisements de Gara Djebilet et de Mechri Abdelaziz qui se trouvent à 170 km au sud-ouest de Tindouf, a-t-on appris auprès du directeur de l'industrie et des mines.

    Le déplacement des experts brésiliens qui représentent une entreprise de réputation internationale dans l'exploitation minière «Valio Rio Dos», s'inscrit dans le cadre d'accords liant le ministère de l'Energie et des Mines aux entreprises mondiales d'investissement intéressées par les richesses minières algériennes. Les experts brésiliens étaient accompagnés par des représentants de l'entreprise algérienne Ferphos qui compte établir des relations de partenariat avec les Brésiliens et asseoir une stratégie d'exploitation du minerai des deux gisements en question. Les premières données relatives à cette visite de prospection montrent que les experts brésiliens «ont fait part de leur intérêt pour ces deux gisements et de leur volonté d'investissement». Les services concernés s'attendent au cours du mois de novembre prochain à une présence accrue d'entreprises mondiales pour des missions de prospection des investissements aux gisements de Gara Djebilet et Mechri Abdelaziz, surtout que la date limite de dépôt des dossiers d'investissements au ministère de tutelle, reste ouverte jusqu'à la fin de l'année en cours.

    Selon la direction de l'industrie et des mines de la wilaya de Tindouf, les deux gisements de Gara Djebilet et de Mechri Abdelaziz comptent trois (03) milliards de tonnes de fer brut. Rappelons que le gisement de Gara Djebilet notamment est considéré comme l'un des plus important au monde au vu de ses réserves. Cependant, sa position géographique, en plein désert, loin des ports et des voies de communication notamment l'absence de chemin de fer, a empêché son exploitation. Des études ont été faites, dans les années soixante-dix, pour l'exploitation du gisement de Gara Djebilet, mais les coûts exorbitants et les difficultés techniques de la réalisation d'une ligne de chemin de fer reliant le sud de la Wilaya de Tindouf et Bechar, n'ont pas plaidé en faveur de la création d'un deuxième pôle sidérurgique sur la côte ouest du pays. Manifestement les Brésiliens et autres investisseurs étrangers, intéressés par les gisements riches en fer du sud ouest du pays, ont pris en considération les difficultés techniques de leur exploitation et ont dû esquisser des solutions rentables avant de s'engager dans un tel projet.

    Il s'agit là d'investissements lourds qui nécessitent autant de moyens financiers que de technologie pour que le champ sidérolitique de Gara Djebilet fasse de l'extrême sud-ouest du pays une zone d'activités qui sortirait enfin de son isolement.
    Source : La tribune 27-10-2005.

    Gara Djebilet et Mecheri Abdelaziz sont une excellente opportunité pour dynamiser la région. Mais le projet en lui même date des années 70. Gara Djebilet et fut découverte, par un explorateur espagnol au début du siecle.

    Après l'indépendance, plusieurs études ont été dirigées par la SONAREM avec des partenaires étrangers ayant une notoriété internationale dans le domaine minier (LKAB - Suède, IRSID - France, TEMPO & KAISER ENGENERING - USA, INSC - Japon et KLOCKNER - RFA) pour d'exploiter ce gisement de 3.2 milliards de tonnes de fer d'une pureté à 52 %. Seul le fer Suédois posséde une telle pureté. Seulement exploiter Gara Djebilet n'est pas une mince affaire. Il faut d'abord acheminer ce minerai vers un port ! le plus proche fut celui de Gazaouet à 1500 Km ! confié au cabinet de conseil e, engineering canadien TECSULT
    http://www.tecsult.com/ . Cette idée n'a jamais vu le jour vu le cout prohibitif de 1500 km de ligne de chemin de fer et son entretien à cause de l'ensablement.

    Reste le débouché par l'atlantique via le Maroc. Le 22 novembre 1963, le quotidien économique marocain rapporte le communiqué suivant :

    Le Bureau d’investissements en Afrique (BIA) remettra d’ici peu à M. Ben Bella le rapport que lui a demandé le chef d’Etat algérien sur la possibilité d’évacuer par Colomb-Béchar et Oran le minerai de fer du gisement de Gara Djebilet. Ce rapport sera, bien entendu, négatif : 1500 kilomètres séparant Gara Djebilet d’Oran, le coût du transport serait prohibitif. Il n’existe d’ailleurs aucune voie ferrée transportant du minerai de fer sur 1500 kilomètres.
    Si le fer de ce site doit être exploité un jour, la voie d’évacuation normale du minerai serait la côte marocaine qui est éloignée seulement de 500 à 510 km. La SERMI (Société d’études et de recherches minières), dont le capital est détenu en totalité par des organismes publics français, qui effectue actuellement un avant-projet de mise en valeur du gisement, a reconnu un tracé qui aboutit en territoire marocain au sud de l’Oued Draâ et qui ne nécessiterait qu’un minimum d’ouvrages d’art.
    La SERMI a également entrepris une étude du port minéralier éventuel qui serait situé au sud du Draâ.
    Les investissements nécessaires à la mise en valeur du gisement sont évalués à
    1,2 milliard de nouveaux francs, y compris la construction du port et de la voie ferrée. En étude et en travaux divers, le BIA et la SERMI auront dépensé au 31 décembre 1963, quelque 20 millions de nouveaux Francs.
    Il faut dire que la rivalité Algéro-Marocaine e empéchée pour l'instant, un accord de ce genre. Sans compter que certaines sphéres du pouvoir marocain continue à dire que TIndouf est une contrée marocaine. De plus, est ce que l'état Algérien est pret à investir des milliards juste à une frontiére trés instable qui risque d'etre une cible potentiel au moindre conflit armé.

    Le quotidien La tribune ne cite pas le nom de la campagnie Brésilienne, mais il est presque sur, que c'est le numéro deux mondiale le Brésilien CVRD. De son coté le numéro un mondiale de l'expoilatation miniére PHP BILTON serait lui aussi trés intérrésé par Gara Djeblet selon Maghreb Condidentiel

    alger
    Le fer de "Gara Djebilet" intéresse BHP Billiton

    BHP Billiton, numéro un mondial des mines, pourrait répondre à l'appel d'offres pour le développement des gisements de fer de Gara Djebilet dans le sud-ouest du pays. Ses réserves sont estimées à 2 milliards de tonnes. Des investisseurs chinois et brésiliens sont également intéressés.

    Voici enfin l'appel d'offre international que vient de lancer L'Agence Nationale du Patrimoine Minier

    L'Agence Nationale du Patrimoine Minier lance un appel d'offres international pour la mise en exploitation des gisements de minerais de fer de GARA DJEBILET et ABDELAZIZ MECHERI. Ces gisements, situés au Sud Ouest de l'Algérie, à 130 km de Tindouf, se caractérisent par: un grand potentiel minier de plus de 3 milliards de tonnes de minerai de fer (magnetite), une matière première à forte teneur en fer (52 à 57%), une facile exploitation à ciel ouvert mécanisée, l'existence de nombreuses études (géologiques, exploitation minière, transport, traitement de minerai). Voir la note technique sur les gisements de fer de gara djebilet et mechri abdelaziz L'Agence Nationale du Patrimoine Minier invite les compagnies minières intéressées par cette opportunité, à faire une offre technique. L'offre technique portera sur les variantes possibles de mise en valeur des deux gisements. Pour permettre aux compagnies de faire leur offre, un Data Room sera ouvert au siège du Ministère de l'Energie et des Mines (80 Avenue Ahmed Ghermoul. - Alger) du 05 juin au 15 octobre 2005. Toutes les données existantes seront disponibles pour consultation dans ce Data Room. Pour plus d'informations, vous pouvez prendre contact avec Monsieur le Président de l'Agence Nationale du Patrimoine Minier: par fax : +213.66.10 39 par email : [email protected]
    Avant de terminer, je n'oublie pas de citer la voracité de l'industrie chinoise et son besoin vitale de minerai d'acier. les Chinois seraient intéréssés par le minerai de fer Algérien, mais aucune information officielle n'a filtrée pour l'instant



    Source: Usine Nouvelle N° 2980

    Bonne chance à l'industrie algérienne

    Saha Ftourkoum

    Stansilas

    Dernière modification par Stanislas, 30 octobre 2005, 08h21.
    “If you think education is expensive, try ignorance”
    Derek Bok

  • #2
    Je pense que toute la région a deja connue des essais d'exploitations notamment la région de kenadssa pas loin de bechar où les installations de l'époque coloniales existent toujours à nos jours

    le problème qui se posait à l'époque est celui du transport

    malgré que le minerais de fer est présent tres abandament dans cette région les autorité algérienne à l'époque ont opté pour l'option wanza el hadjar à cause de leur approchement de la face méditerranienne donc des couts de transport encore plus attractifs .

    le problème qui s'est posé à l'époque en plus de l'instabilité à la région c'était avec les dunes qui se déplacent sans prévenir personne

    et si une compagnie d'exploitataion compte transporter la matière première jusqu'aux ports algériens de l'ouest il y aurait encore un millier de kilometres de chemin de fer a construire sur une région de hamada et de erg

    les hamada ne posent pas de problemes car La Hamada est un Plateau rocheux en général recouvert d'un REG(Grande étendue de pierres)
    ce qui pose probleme est
    L'Erg (massifs de dunes de sables)
    Les dunes ne recouvrent que 20% de la superficie du Sahara, les plus hautes peuvent dépasser les 250m.

    avec le conflit du sahara occidental des rumeurs disait que tout l'appui de l'algérie au peuple sahraoui se basait sur un espoir de réaliser un projet de chemin de fer du coté de l'océan avec consentemant d'un éventuel gouvernement sahraoui influencé par l'état algérien, un tel chemin de fer couterai beaucoup moins en terme de budjet d'entretien et serait plus réalisable que du projet qui consistait à acheminer le minerai jusqu'au port d'Oran ou de Mostaganem

    avec l'augmentation des prix des matières premieres surtout le fer de construction , le cuivre , etc causé par la forte demande de la chine l'inde et le brésil et une quantité d'autres pays émergeants
    le projet entier revient à l'ordre du jour et sa réalisation dépon d'un investiment conséquent.

    si les compagnies brésiliennes sont pretes pour un tel investimenet ça ne pourrait être que bénéfique pour l'état algérien et donc pour le peuple algérien.

    mais ça se peut aussi qu'ils rebroussent chemin quand ils s'opposeront aux vraies réalitsé du sahara qui est loin de la nature de terre qu'ils ont connu en amazonie.
    Dernière modification par 3mplq, 30 octobre 2005, 08h26.

    علمي ماهوش من المسيد مانيش مثقف
    قراني الجوع و الحفى
    je n'ai pas appris à l'école. Je ne suis pas cultivé, j'ai eu pour maîtres la faim et le dénuement.

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    • #3
      Trés bonne analyse 3mplq et trés intétressantes remarques. ...

      Je te rejoins sur le fait que le Sahara est pas facile, mais je me dis tout est question de prix. Si le minerai de Fer continue sa montée, du moins reste a ses niveaux actuels. Tous les obstacles seront surmontés.

      Amitiés

      Stan
      Dernière modification par Stanislas, 30 octobre 2005, 08h37.
      “If you think education is expensive, try ignorance”
      Derek Bok

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      • #4
        s'ils arrivent à installer un complexe de traitement du minerais sur place pour en faire du fer de construction qui est très demandé en ce moment et les pronostiquent le qualifie parmis les valeurs sures des prochaines années

        ou bien des pipe lines pour l'industrie hydrocarbure , et se servir du transport routier pour les acheminer vers le nord , ça pourrait être moins contraignant en réalisabilité du projet mais plus contraignant pour leur poches

        alors un investisseur dans un tel domaine doit avoir les poches solides.

        s'ils se sont rapprochés des canadiens je pense qu'ils auraient eu de meilleures débouchés pour un pays de tres grande capacité technologique et surtout financière dans le domaine minerais mais il faut qu'ils soient encore intéréssés par le projet

        le future va nous apprendre à qui aura la chance on aurait aimé que ça soit une entreprise gérée par des algériens

        mais on vient de prendre notre indépendance il faut laisser encore des choses à créer pour les prochaines générations
        Dernière modification par 3mplq, 31 octobre 2005, 02h17.

        علمي ماهوش من المسيد مانيش مثقف
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        je n'ai pas appris à l'école. Je ne suis pas cultivé, j'ai eu pour maîtres la faim et le dénuement.

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        • #5
          Souhaitons que les blocages politiques et que les coûts empêchent son exploitation

          D'un côté les gestionnaires nous promettent un essor industriel et de l'autre ils veulent evacuer tous les atouts naturels de l'algérie.

          Si les coùts de transport sont prohibitifs il faut dès maintenant transformé sur place en produits à forte marge.
          Ne croyez pas avoir etouffe la Casbah, Ne croyez pas batir sur nos depouilles votre nouveau monde.(Kateb Yacine)

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          • #6
            @ Alforza et 3mplq

            Valoriser, le minerai sur place oui pourquoi pas ? Pour le valoriser il faut transformer ce minerai de fer en fonte ou en acier.

            L'acier plus valorisant , reste à contacter les leaders mondiaux de l'acier

            - N°1 mondial de l'Acier Mittal Steel avec 54 Millions de tonnes d'acier/an, est déjà présent en Algérie. Il vient de racheter les mines d'El Ouenza qui sont proches de son site de El Hadjar. Il a sûrement réfléchi à cette hypothèse, mais l'investissement reste colossal. Une aciérie intégrée coute entre 2 à 3 milliards de dollars et puis Mittal n'a pas encore consolidé son complexe d'ElHadjar auquel plusieurs affaires de malversations financières ont défrayées la chronique des derniers temps. Enfin mittal, qui vient d'acheter l'aciériste Ukrainien Kryvorijstal pour 4 milliards € ne compte pas à mon avis investir à court terme dans un projet aussi colossal. Reste au ministère algérien de l'industrie de le convaincre. Ce qui est possible ! car le CEO de Mittal Steel a de très bonnes relations avec Ahmed Ouyahia et le Président Algérien Abdelaziz Bouteflika.

            N° Arcelor : Ce groupe avec 34 millions de tonnes/an de production n'a aucun site de production en Afrique et il est plutôt basé en Europe. Ces dernières années ses acquisition furent surtout le Bresilien CST et vient aussi d'acquérir à 100 % le producteur d'acier INOX Brésilien Acesita. Sur la rive méditerranéen Il vise plutôt à acheter le producteur d'acier Turc EDMIR. Au Maghreb il fait les yeux doux pour acquérir l'aciériste Libyen. Ses visées en Asie sont actuellement en Chine. Son CEO Guy Dollé est en pourparlers avec les autorités chinoises pour acquérir un groupe chinois de l'acier. Jusqu'a présent il n'a en Chine que'une joint-venture commerciale avec le japonais Nippon Steel et le Chinois Bao Steel.
            Pour l'Algérie La politique de ARCELOR est claire : pas d'usines qui ne soit pas prés de débouchées marines. D'ailleurs il vend tous ces sites qui sont dans le continent dans le monde . Alors on va pas leur proposer TINDOUF !!!

            Saha Ftourkoum.
            Dernière modification par Stanislas, 30 octobre 2005, 14h52.
            “If you think education is expensive, try ignorance”
            Derek Bok

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            • #7
              Je trouve l'idée de valoriser autant que possible le minerai sur place trés bonne mais je me pose des questions sur sa faisabilité : des usines sidérurgiques a cet endroit sont-elles envisageables ?
              "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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              • #8
                Je parie que ce sont les chinois ou les Indiens qui vont avoir le marché vu qu'ils son en pleine expansion. Ce serait bien que Sonatrach par exemple s'associe avec un géant du secteur pour y faire un complexe de traitement du minerais sur place ! Wait and see...
                La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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                • #9
                  Bonne analise sur les Top de l'acier Satan, je pense que faire un complexe sur place c'est la meilleur idee aulieux d'extraire et de vendre alors plus 50% de la valeur va outside du pays, il y'a beaucoup qui on demanderont croyer moi, il faut juste poser nos conditions, c'est nous qui avont le minerais, et c'est eux qui veulent faire des $ donc, ils y'aurra toujour des interesses .
                  We were all Born newbies... some grow up with the time and some just dont...

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                  • #10
                    Envoyé par Harrachi
                    des usines sidérurgiques a cet endroit sont-elles envisageables ?
                    Je pense également qu'il est plus intéressant pour l'Algérie de développer son industrie sidérurgique que de se contenter d'ouvrir l'exploitation des mines aux compagnies extérieures.

                    Ceci dit comme tu le précises, installer des usines de sidérurgie en plein sahara, pour valoriser la matières brutes (le fer) par la fabrication de fonte ou d'acier étant donné le coût de transport, n'est pas chose facile.
                    Le fonctionnement d'une usine demande beaucoup d'energie : electricité, eau, et ces ressources énergiques si elles ne sont pas déjà présentes sur place, il faudra l'acheminer.
                    Le carbone qui servira à la fabrication des alliages de fonte et d'acier, devra lui aussi être acheminé sur place, à moins que les procédés de fabrication actuels permettent de puiser le carbone facilement dans le milieu naturel (air, sol, etc).

                    Néanmonis j'espère vivement que l'Algerie puisse développer ses propos industries, celle de l'acier est une industrie majeure !

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                    • #11
                      Tout à fait Harrachi et Salim. Techniquement c'est possible. Voici le schéma de principe pour fabriquer de l'acier.

                      On extrait le minerai et on le valorise. On extrait aussi du charbon du coke (carbone) necessaire pour élaborer la fonte dans le haut fourneaux. La fonte est le premier produit de cette fusion. Sa fragilité ne lui permet pas des utlisations à fortes solicitations mécaniques. Pour ce faire il faut la transformer en acier. Pour cela, il suffit d'abaisser le taux de carbone à moins de 2 %. Outre le carbone, on lui associe aussi des éléments d'additions tel que le Cr, Mn, Mo, Ni , ... pour lui procurer d'autres propriétés. Le passage de la fonte à l'acier se passe généralement dans un convertisseur, ou grace à l'oxygéne qui est injecté, le carbone est liée à l'oxygéne pour former du CO et du CO2.

                      Dernière modification par Stanislas, 31 octobre 2005, 10h33.
                      “If you think education is expensive, try ignorance”
                      Derek Bok

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                      • #12
                        Merci Stan pour ce schéma simple et clair sur le procédé de fabrication de l'acier.
                        C'est effectivement un alliage avec des propriétés plus intéressantes que la fonte. L'acier a une bien meilleure élasticité tout en gardant une certaine dureté grâce au carbone.
                        En gros l'acier peut se déformer de manière plus importante avant qu'il n'y ait rupture.

                        C'est aujourd'hui le métal le plus consommé au monde. Il est présent dans les plus grands secteurs de l'industrie : bâtiment, génie civile, automobile, construction navale, etc.
                        Pas étonnant que la Chone, dont l'économie galope à une vitesse vertigineuse, soit devenu l'un des plus gros consommateurs d'acier. Le cours de l'acier s'est d'ailleurs envolé.

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                        • #13
                          Donc, si j'ai bien compris une industrie sidérurgique sur place c'est possibles mais a condition de consentir à des investissements lourds voire collossaux ?!
                          "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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