La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Mme Louisa Hanoune a affirmé hier que le peuple donnera le jour de l’élection présidentielle «une leçon à tous les fatalistes qui ne croient pas en l’avenir du pays».
«Le peuple algérien est assez intelligent pour donner le 9 avril prochain une autre leçon à tous les fatalistes qui ne croient pas au changement et en l’avenir de leur pays, a-t-elle déclaré lors d’un rassemblement des militants de son parti à Berrouaghia, dans la wilaya de Médéa.
Mme Hanoune a estimé que la situation sécuritaire s’est «nettement améliorée», indiquant que son parti a «de tout temps œuvré à faire tarir les sources de la violence, qui, un certain moment, a constitué une véritable menace pour les fondements même de l’Etat».
Evoquant la situation politique que vit le pays, la secrétaire générale du PT a indiqué que la survie de la nation passe par la consolidation de la démocratie. Au plan économique, Mme Hanoune a dit appréhender la mondialisation de l’économie qui mènerait, selon elle, le pays à «la banqueroute et au désastre socioéconomique comme en témoigne la crise inégalée que vit actuellement le système capitaliste mondial». Pour préserver le pays des retombées néfastes de cette crise, a-elle indiqué, le PT a proposé un programme que certains ont qualifié de «populiste» mais qui, a-t-elle soutenu, demeure «la seule option et la seule réponse aux préoccupations quotidiennes des citoyens». Mme Hanoune a également plaidé pour des réformes profondes dans les secteurs de l’agriculture et de l’industrie, dénonçant «la maffia du foncier agricole qui a accaparée les meilleures terres du pays» ainsi que la politique industrielle menée jusque-là et qui a mené, selon elle, le secteur à «une véritable désertification industrielle transformant nos zones industrielles en de véritables cimetières». Elle a aussi appelé à une profonde réforme de l’université pour que celle-ci puisse «jouer pleinement son rôle de pôle de rayonnement culturel et scientifique».
Enfin, la secrétaire générale du PT s’est prononcée pour un nouveau découpage administratif devant assurer, a-t-elle estimé, une «meilleure maîtrise de la gestion des collectivités locales».
Le Jeune Indépendant
«Le peuple algérien est assez intelligent pour donner le 9 avril prochain une autre leçon à tous les fatalistes qui ne croient pas au changement et en l’avenir de leur pays, a-t-elle déclaré lors d’un rassemblement des militants de son parti à Berrouaghia, dans la wilaya de Médéa.
Mme Hanoune a estimé que la situation sécuritaire s’est «nettement améliorée», indiquant que son parti a «de tout temps œuvré à faire tarir les sources de la violence, qui, un certain moment, a constitué une véritable menace pour les fondements même de l’Etat».
Evoquant la situation politique que vit le pays, la secrétaire générale du PT a indiqué que la survie de la nation passe par la consolidation de la démocratie. Au plan économique, Mme Hanoune a dit appréhender la mondialisation de l’économie qui mènerait, selon elle, le pays à «la banqueroute et au désastre socioéconomique comme en témoigne la crise inégalée que vit actuellement le système capitaliste mondial». Pour préserver le pays des retombées néfastes de cette crise, a-elle indiqué, le PT a proposé un programme que certains ont qualifié de «populiste» mais qui, a-t-elle soutenu, demeure «la seule option et la seule réponse aux préoccupations quotidiennes des citoyens». Mme Hanoune a également plaidé pour des réformes profondes dans les secteurs de l’agriculture et de l’industrie, dénonçant «la maffia du foncier agricole qui a accaparée les meilleures terres du pays» ainsi que la politique industrielle menée jusque-là et qui a mené, selon elle, le secteur à «une véritable désertification industrielle transformant nos zones industrielles en de véritables cimetières». Elle a aussi appelé à une profonde réforme de l’université pour que celle-ci puisse «jouer pleinement son rôle de pôle de rayonnement culturel et scientifique».
Enfin, la secrétaire générale du PT s’est prononcée pour un nouveau découpage administratif devant assurer, a-t-elle estimé, une «meilleure maîtrise de la gestion des collectivités locales».
Le Jeune Indépendant
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