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Initialement prévu en juin 2008, le viaduc de Ain Turk, dans la wilaya de Bouira, est ouvert, depuis hier, à la circulation. Deux ouvrages d'art qui font partis du projet d'autoroute Est-Ouest, et d'autres projets, pour améliorer le quotidien des citoyens seront, également, lancés pour désenclaver la région. C'est ce qui ressort de la visite, hier, du ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, dans la wilaya de Bouira. Cette ouverture complète à la circulation permettra, faut-t-il le dire, d'éliminer les points noirs caractérisant la RN 05, ce qui facilitera le trafic routier et réduira le nombre d'accidents qui ont fait la triste réputation de cette même route nationale. La fluidité du mouvement des véhicules permettra également aux automobilistes de réduire leur temps de parcours. Ces derniers, pourront, désormais, éviter la localité d'Aomar, en empruntant les tunnels de Aïn Chriki, dans la localité de Djebahia.
Conclu entre l'Agence nationale des autoroutes (ANA) et le Groupement mixte algéro-italien de travaux publics (GMTP) le viaduc, le plus grand d'Afrique, et parmi les plus importants au monde, est constitué de 25 ouvrages d'art dont cinq viaducs de diverses longueurs allant de 120 à 745 mètres, ponts, passages supérieurs et murs de soutènement.
Il a nécessité près de 60 000 m3 de béton et 8 000 tonnes d'acier. Il a été érigé sur un sol irrégulier qui a poussé les maîtres d'œuvre à faire appel à des techniques sophistiquées pour que les piliers puissent sortir de terre.
Cet ouvrage d'art, qui a coûté la bagatelle de 14 millions de dollars, est doté de cloisons latérales anti-choc et de panneaux de signalisation dotés d'alarmes préventives de pointe. Sa réalisation obéit aux meilleures normes techniques en vigueur à l'échelle universelle, notamment dans son aspect sécuritaire et prévention, grâce notamment à ses parois latérales dotées d'une fonction pare-choc et aux divers panneaux de signalisation longeant la route avant d'accéder au viaduc. Aussi, ces panneaux de signalisation vont de pair avec un éclairage des plus modernes longeant les deux abords de cet ouvrage, dont la vue de nuit laisse admiratif plus d'un.
Lotfi C.(Le Maghreb)
Conclu entre l'Agence nationale des autoroutes (ANA) et le Groupement mixte algéro-italien de travaux publics (GMTP) le viaduc, le plus grand d'Afrique, et parmi les plus importants au monde, est constitué de 25 ouvrages d'art dont cinq viaducs de diverses longueurs allant de 120 à 745 mètres, ponts, passages supérieurs et murs de soutènement.
Il a nécessité près de 60 000 m3 de béton et 8 000 tonnes d'acier. Il a été érigé sur un sol irrégulier qui a poussé les maîtres d'œuvre à faire appel à des techniques sophistiquées pour que les piliers puissent sortir de terre.
Cet ouvrage d'art, qui a coûté la bagatelle de 14 millions de dollars, est doté de cloisons latérales anti-choc et de panneaux de signalisation dotés d'alarmes préventives de pointe. Sa réalisation obéit aux meilleures normes techniques en vigueur à l'échelle universelle, notamment dans son aspect sécuritaire et prévention, grâce notamment à ses parois latérales dotées d'une fonction pare-choc et aux divers panneaux de signalisation longeant la route avant d'accéder au viaduc. Aussi, ces panneaux de signalisation vont de pair avec un éclairage des plus modernes longeant les deux abords de cet ouvrage, dont la vue de nuit laisse admiratif plus d'un.
Lotfi C.(Le Maghreb)
on voit de la verdure et la belle nature! chez toi, c'est le desert
La vallée est plus escarpée et plus verdoyante
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